election francaise
Page 1 sur 1
election francaise
TRIBUNE DE GENÈVE
Spécial élection présidentielle française
Dimanche 6 mai 2007
Nicolas Sarkozy
Ségolène Royal
53-55%
47-45%
Selon des premiers sondages recueillis à la sortie des urnes, Nicolas Sarkozy est donné gagnant (53-55%).
Le candidat de l'UMP devance largement la candidate socialiste.
A Paris, le parti socialiste vient de confirmer à l'agence de presse suisse ATS la défaite de Ségolène Royal (46%).
Le taux de participation à 17 heures était de 75%
Selon CSA/CISCO le taux de participation à 20 heures pourrait être de 86%. Le précédent record date de 1974. Le taux de participation avait alors atteint 87,33%. Le 22 avril dernier, le taux de participation avait été de 84,6%. Il s'agit d'une première estimation qui sera affinée au fil des minutes.
Au vu du résultat, il se confirme que l'écart entre les deux candidats s'est creusé entre les deux tours. Une partie de l'électorat qui avait voté François Bayrou semble s'être reportée en priorité sur le candidat de la Droite. Il semble que l'on se soit particulièrement mobilisé dans les départements traditionnellement acquis à l'UMP. Ce résultat est conforme au sondage interdit en France et publié samedi sur notre site qui annonçait Nicolas Sarkozy à 54,5%. Le porte-parole genevois l'UMP confirme le résultat que nous annonçons.
Les Français de Genève se sont rendus aux urnes
Ce matin dès 8h, les bureaux de vote genevois ont ouvert leurs portes. Et dès 8h, ils ont vu affluer les Français de Genève, parmi lesquels une majorité de binationaux. Pour le seul canton, ils sont 26 000 à s'être inscrits sur la liste consulaire afin de glisser leur bulletin dans l'une des 20 urnes réparties sur cinq sites (à l'école Hugo-de-Senger, à Champel, à Nations, à Carouge et à Chêne-Bourg).
Tout au long de la journée, le flot des électeurs a été fluide et constant. Avertis des perturbations de circulation dues au marathon de Genève, les électeurs avaient pris leurs dispositions en venant voter plus tôt, notamment au bureau des Nations. Le taux de participation s'annonce égal voire légèrement supérieur à celui du premier tour. Le dimanche 22 avril , à la clôture du scrutin, il s'élevait à 50,7%. A Genève, Nicolas Sarkozy était sacré favori avec 40.4% et François Bayrou, le candidat centriste, avec 23.8% devançait d'une courte tête Ségolène Royal (23.3%)
A 18h, les bureaux de vote genevois ont fermé et le dépouillement a débuté. (mp)
PUBLICITÉ
www.tdg.ch
Spécial élection présidentielle française
Dimanche 6 mai 2007
Nicolas Sarkozy
Ségolène Royal
53-55%
47-45%
Selon des premiers sondages recueillis à la sortie des urnes, Nicolas Sarkozy est donné gagnant (53-55%).
Le candidat de l'UMP devance largement la candidate socialiste.
A Paris, le parti socialiste vient de confirmer à l'agence de presse suisse ATS la défaite de Ségolène Royal (46%).
Le taux de participation à 17 heures était de 75%
Selon CSA/CISCO le taux de participation à 20 heures pourrait être de 86%. Le précédent record date de 1974. Le taux de participation avait alors atteint 87,33%. Le 22 avril dernier, le taux de participation avait été de 84,6%. Il s'agit d'une première estimation qui sera affinée au fil des minutes.
Au vu du résultat, il se confirme que l'écart entre les deux candidats s'est creusé entre les deux tours. Une partie de l'électorat qui avait voté François Bayrou semble s'être reportée en priorité sur le candidat de la Droite. Il semble que l'on se soit particulièrement mobilisé dans les départements traditionnellement acquis à l'UMP. Ce résultat est conforme au sondage interdit en France et publié samedi sur notre site qui annonçait Nicolas Sarkozy à 54,5%. Le porte-parole genevois l'UMP confirme le résultat que nous annonçons.
Les Français de Genève se sont rendus aux urnes
Ce matin dès 8h, les bureaux de vote genevois ont ouvert leurs portes. Et dès 8h, ils ont vu affluer les Français de Genève, parmi lesquels une majorité de binationaux. Pour le seul canton, ils sont 26 000 à s'être inscrits sur la liste consulaire afin de glisser leur bulletin dans l'une des 20 urnes réparties sur cinq sites (à l'école Hugo-de-Senger, à Champel, à Nations, à Carouge et à Chêne-Bourg).
Tout au long de la journée, le flot des électeurs a été fluide et constant. Avertis des perturbations de circulation dues au marathon de Genève, les électeurs avaient pris leurs dispositions en venant voter plus tôt, notamment au bureau des Nations. Le taux de participation s'annonce égal voire légèrement supérieur à celui du premier tour. Le dimanche 22 avril , à la clôture du scrutin, il s'élevait à 50,7%. A Genève, Nicolas Sarkozy était sacré favori avec 40.4% et François Bayrou, le candidat centriste, avec 23.8% devançait d'une courte tête Ségolène Royal (23.3%)
A 18h, les bureaux de vote genevois ont fermé et le dépouillement a débuté. (mp)
PUBLICITÉ
www.tdg.ch
piporiko- Super Star
-
Nombre de messages : 4753
Age : 54
Localisation : USA
Opinion politique : Homme de gauche,anti-imperialiste....
Loisirs : MUSIC MOVIES BOOKS
Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: L'impulsif
Re: election francaise
Présidentielle 2007
Présidentielle. Rencontre télévisée. Le feuilleton autour du débat Royal-Bayrou relance la polémique sur les relations ambiguës du candidat de l'UMP avec les patrons de presse.
La haute main de Sarkozy sur les médias
REUTERS
Par Raphaël GARRIGOS, Catherine MALLAVAL, Isabelle ROBERTS
QUOTIDIEN : samedi 28 avril 2007rl] sont-ils au service de Sarkozy ? Et, si oui, qui passe les plats ? Alors que l'organisation du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou a continué vendredi de défrayer la chronique (lire ci-contre), la question d'une certaine intrusion ­ pour rester poli ­ du candidat Sarkozy dans les médias se repose avec une méchante acuité. Suite d'un long feuilleton, lors duquel l'homme a su déployer un large registre : grosse colère (récemment, en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3, parce qu'il n'avait pas de loge), invectives directes à des journalistes, remerciements douteux, par exemple à Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005, quand il ne s'agit pas d'abus de pouvoir caractérisé. C'est bien Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur, a exigé et obtenu le limogeage du patron de Paris Match, qui avait eu l'outrecuidance de montrer Cécilia en compagnie d'un autre que lui en une. Caractère autoritaire ? Manque de respect pour l'indépendance des médias ? Ce qui est sûr, c'est ce que le candidat jouit d'un formidable réseau de copains qui tiennent le haut du pavé dans les médias.
Présidentielle. Rencontre télévisée. Le feuilleton autour du débat Royal-Bayrou relance la polémique sur les relations ambiguës du candidat de l'UMP avec les patrons de presse.
La haute main de Sarkozy sur les médias
REUTERS
Par Raphaël GARRIGOS, Catherine MALLAVAL, Isabelle ROBERTS
QUOTIDIEN : samedi 28 avril 2007rl] sont-ils au service de Sarkozy ? Et, si oui, qui passe les plats ? Alors que l'organisation du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou a continué vendredi de défrayer la chronique (lire ci-contre), la question d'une certaine intrusion ­ pour rester poli ­ du candidat Sarkozy dans les médias se repose avec une méchante acuité. Suite d'un long feuilleton, lors duquel l'homme a su déployer un large registre : grosse colère (récemment, en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3, parce qu'il n'avait pas de loge), invectives directes à des journalistes, remerciements douteux, par exemple à Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005, quand il ne s'agit pas d'abus de pouvoir caractérisé. C'est bien Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur, a exigé et obtenu le limogeage du patron de Paris Match, qui avait eu l'outrecuidance de montrer Cécilia en compagnie d'un autre que lui en une. Caractère autoritaire ? Manque de respect pour l'indépendance des médias ? Ce qui est sûr, c'est ce que le candidat jouit d'un formidable réseau de copains qui tiennent le haut du pavé dans les médias.
- grand réseau
D'abord, il y a Martin Bouygues, le plus proche de tous, son meilleur ami et, ça tombe bien, patron de TF1 (soit un tiers de l'audience télévisuelle). Mais il y a aussi Arnaud Lagardère, son «frère», patron du groupe qui abrite en son giron Europe 1, Paris Match, le JDD, etc. C'est sans compter avec Serge Dassault, déçu du chiraquisme, et propriétaire du Figaro, Bernard Arnault, le témoin de son mariage avec Cécilia, et propriétaire de la Tribune, ou encore François Pinault, propriétaire du Point avec qui Sarko partage entre autres la même passion du vélo. Et alors ? Tous ces patrons-actionnaires ont-ils le petit doigt sur la couture et peuvent-ils vraiment mettre leurs journalistes au garde-à-vous ? Pas si simple. Mais certains faits sont troublants.
La télé sous influence
Coups de fil, conseils, pressions, et sans doute et aussi une bonne dose d'autocensure de la part des chaînes de peur de déplaire, l'ombre de Sarko plane sur les JT. La crise des banlieues de 2005 en est l'illustration toute spéciale. Novembre de cette année-là, 7 à 8 (TF1) saisit en caméra cachée une provocation policière envers des jeunes. Savon du directeur de l'information. Le dimanche suivant, l'émission contrebalance avec les interviews de maires de banlieues chaudes. Le 10 novembre, cette fois, c'est France 2 qui diffuse dans son JT les images du tabassage de jeunes par des policiers. Ceux-ci sont suspendus. Arlette Chabot décide d'ôter le reportage du site web de France 2 : «Nous ne voulions pas tomber dans la surenchère.» En août dernier, le ministre de l'Intérieur, invité à TF1 pour une interview, en profite pour passer un savon mémorable à un journaliste. La raison ? Un reportage sur les sans-papiers de Cachan, jugé trop complaisant. En juin 2005, quand Canal + songe à se débarrasser de Karl Zéro à la déontologie variable, Sarkozy appelle Bertrand Méheut, patron du groupe, pour l'en dissuader. Pour le coup, il n'est pas le seul, puisque Laurent Fabius s'est lui aussi fendu d'un coup de fil. Autre affaire : le 7 mars 2006, la veille d'un délicat voyage du ministre aux Antilles, TF1 annonce que le joker de PPDA sera désormais le journaliste noir et antillais Harry Roselmack. Un bien beau hasard n'arrivant jamais seul, Sarkozy est déjà au courant. Le 17 février, recevant Place Beauvau le club Averroes, qui défend l'image des minorités dans les médias, le ministre de l'Intérieur avait en effet annoncé la nouvelle : il y aura, cet été, un Noir au 20 heures. D'ici à ce que ce soit Sarkozy qui ait lui-même soufflé l'idée à Bouygues... Plus récemment, ainsi que le raconte cette semaine le Canard enchaîné, Claude Guéant, directeur de campagne de Sarkozy, a tenté de s'assurer auprès de Patrick de Carolis, président de France Télévisions, que les émissions de Georges-Marc Benhamou, récent soutien de l'UMP, seraient bien reconduites à la rentrée. Raté : Carolis l'a envoyé sur les roses. Mercredi dernier encore, lors de l'interview de Sarkozy sur TF1 par PPDA et François Bachy, un détail amusant : plusieurs plans ont montré que, sous la table, le candidat de l'UMP avait enlevé ses chaussures. Sarkozy en chaussettes ! Il se croit chez lui, ou quoi ?
Brouillage sur les ondes
Est-ce un hasard si les Guignols s'en donnent à coeur joie sur un si zélé Jean-Pierre Elkabbach qui, du haut d'Europe 1, pratiquerait à outrance des interviews cire-UMP ? En tout cas, en février 2006, le Canard enchaîné révèle que Jean-Pierre Elkabbach, directeur de la station, a pris conseil auprès de Nicolas Sarkozy sur le choix d'un journaliste politique. «C'est normal, fanfaronne Sarkozy. J'ai été ministre de la Communication.» Et il ajoute : «Je les connais, les journalistes.» De son côté, Elkabbach revendique sa «méthode» de recrutement, qui consiste, dit-il, à prendre l'avis des politiques, mais aussi de syndicalistes ou d'associations : «Je fais cela pour tous les services parce que je veux avoir les meilleurs... Je ne peux pas interdire aux politiques de me donner leur avis. Mais, ensuite, je décide à 100 % moi-même.»
Pressions sur la presse
C'est sans doute sur Paris Match que les interventions de Nicolas Sarkozy ont été les plus directes et les plus pressantes. Témoin, l'incroyable limogeage de l'ancien patron de Paris Match, Alain Genestar. Témoin aussi, depuis, le chouchoutage du candidat. Ah ! ce titre «Un destin en marche», dont a bénéficié Sarkozy en décembre dernier (sans parler des huit pages lui étant dédiées). Mais si c'était tout. Très déboussolant aussi, le tout récent «outing» de Joseph Macé-Scaron, actuellement directeur adjoint de la rédaction de Marianne (1) , dans l'émission On refait le monde du 16 avril sur RTL : «J'ai été démissionné du Figaro Magazine [en juin 2005], tout simplement parce que j'ai refusé de tailler des pipes à M. Nicolas Sarkozy.» Direct. Autant que les coups de fil de Sarkozy à Edouard de Rothschild (actionnaire de référence de Libération ) pour se plaindre...
(1) Les Inrockuptibles du 24 avril.
europa
un peu de sérieux
J'ai toujours préféré ceux qui ,par tous les moyens, essayaient de Parler à ceux qui essayent de nous faire taire. Par contre : Nous savons que Martin Bouygues est le parrain du fils d...[url=] - ]naifs...
... ou malhonnetes ceux qui poussent des cris d'orfraie suite a cet article ? Il suffisait de lire Marianne, d'ailleurs, pour se convaincre de la mainmise de Sarkosy sur les medias. Quelles autres pr...[url=] Dimanche 29 Avril 2007 - 15:09[/url]
vraie question
le csa devrait se bouge
deux questons ; - pouquoi deux rédactions ont fait le choix de ne pas organiser un débat, en pretextant le role du CSA, alors que finalement le debat etait possible ? - le CSA etant mis en cause,...
Oignon
Ouahhh
Ouahhh, ça m'épate toujours de voir autant de gens venir défendre le pauvre petit Nicolas S. dans les réactions des lecteurs de Libération? Libération lu par ceux qui votent Sarkozy ? Bonne nou...] Dimanche 29 Avril 2007 - 15:09
Ben
UMP
Tiens, ils sont revenus de WE, à l'UMP? Le contre feu n'aura pas été long à allumer!!! On fait paraître un article dans un journal régional (pourquoi Nice Matin, d'ailleurs? On y reviendra!) et ... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:09
scooter
ump dehors
c'est sur que l'article ne parle que des pressions de sarko sur la presse régionale (qui lui cire les bottes depuis 5 ans) pas du tout du fait que 95% de la presse soit à ses pieds grâce aux propr... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:08
lebretondusud
Boomerang
Vous verrez que mercredi prochain, elle n'osera pas reparler de ces soit-disant pressions de NS à l'encontre des médias. L'effet boomerang est proche...... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:07
prof déconomie
c'est fini pour lui
c'est fait, c'est plié; Après la prestation époustouflante de Ségolène aux cotés de François Bayrou, Depuis l'augmentation inquiétante dles délires paranoiaques de Monsieur Sarkozy,, les sta... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:07[/url]
Rémy
Anathème
Après une campagne haineuse , les pompiers pyromanes expliqueront que c'est la faute a NS si les banlieues s'embrasent au soir de son élection. Continuez , devant le vide du projet socialiste votre... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:07
Milou
ça ne vous suffit pas
ça ne vous suffit donc pasmesdames et messieurs de l'UMP/FN, 90% des médias nationaux et régionaux appartiennent à DASSAULT sénateur UMP, LAGARDERE et BOUYGUES les principaux bailleurs de fond du... Dimanche 29 Avril 2007 - 15:07
Voir toutes les
piporiko- Super Star
-
Nombre de messages : 4753
Age : 54
Localisation : USA
Opinion politique : Homme de gauche,anti-imperialiste....
Loisirs : MUSIC MOVIES BOOKS
Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: L'impulsif
Sujets similaires
» C'est officiel, Wyclef Jean est écarté de la course à la présidence.
» The U.S. Election is Already Over.
» Élection en équateur
» Election au Honduras
» Haiti-politique : Des élections dans 5 ans ou 10 ans ...
» The U.S. Election is Already Over.
» Élection en équateur
» Election au Honduras
» Haiti-politique : Des élections dans 5 ans ou 10 ans ...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum