Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
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Pi gran TEYORISYEN anti-EDIKASYON ann AYITI se te JEAN PIERRE BOYER le misye te di ke "Ou pa bezwen konn li pou w travay la TE"
Sa te vin ranfose ak KONKODA a ,ak MOUN T ap APLIKE l .Pou yo EDIKASYON se ann EKLIZIVITE pou yo seten KLAS MOUN.
BOLSONARO limenm di ke l pou EDIKASYON men yon seten EDIKASYON ,yon EDIKASYON lan manye FASIS EWOPEYEN lan premye MWATYE 20em SYEK lan:
Au Brésil, la mise au pas de l’enseignement
Par Anaïs Fléchet, membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil et Sébastien Rozeaux, membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil — 26 mars 2019 à 18:16
Lors d’un cours de discipline militaire près de Brasília, le 12 février.
Lors d’un cours de discipline militaire près de Brasília, le 12 février. Photo Sergio LIMA. AFP
Depuis son accession au pouvoir, le président brésilien Jair Bolsonaro a lancé une croisade idéologique contre le système éducatif du pays. Certains enseignants engagés sont contraints à l’exil.
Au Brésil, la mise au pas de l’enseignement
Tribune. Champ de bataille traditionnel de l’extrême droite brésilienne, l’éducation est devenue le fer de lance de la croisade idéologique menée par Jair Bolsonaro depuis son accession au pouvoir. Le Président a annoncé clairement la couleur en nommant Ricardo Vélez Rodríguez, un protégé du chroniqueur réactionnaire Olavo de Carvalho, à la tête du ministère de l’Education : écoles, collèges, lycées et universités doivent être débarrassés au plus vite du «marxisme culturel». Cette nébuleuse aux contours flous, qui recouvre pêle-mêle le politiquement correct, le socialisme, le multiculturalisme, le féminisme et la supposée théorie du genre, constitue depuis longtemps la cible privilégiée du mouvement Escola Sem Partido («école sans parti»), qui milite pour une purge de l’Education au nom de la patrie, de l’ordre social et des valeurs chrétiennes. Depuis l’élection de Bolsonaro, cette mise au pas est devenue une priorité gouvernementale et fait peser de lourdes menaces sur la liberté de l’enseignement, au point de faire renaître le spectre de la censure et des persécutions.
Trois tweets récents du Président ont avivé les craintes des milieux enseignants. Le premier dénonce les investissements massifs réalisés par les gouvernements de Luiz Inácio Lula da Silva et de Dilma Rousseff dans le secteur. Le deuxième opère un glissement vers les contenus : «Tout a été fait à l’envers : les enseignements prioritaires et les montants investis. Pour enquêter là-dessus, le ministère de l’Education, avec le soutien du ministère de la Justice, de la Police fédérale et des organes de contrôle de l’Union, a lancé le Lava Jato de l’Education.» Nettoyer l’éducation au Kärcher en utilisant les méthodes de la lutte contre les scandales de corruptions révélés par l’opération Lava Jato, qui a conduit à l’emprisonnement, sur des bases juridiques extrêmement fragiles, de l’ex-président et candidat Lula il y a tout juste un an : la menace est explicite. Le troisième tweet enfonce le clou : «L’institution a été détournée pour favoriser des intérêts qui ne sont pas ceux du Brésil. Nous savons que cette action peut entraîner des grèves et des mouvements allant à l’encontre des intérêts des Brésiliens.»
Coupes budgétaires et dénonciation des «ennemis de la patrie» vont de pair, permettant au passage de favoriser les intérêts des grands groupes de l’enseignement privé et les milieux évangéliques les plus conservateurs. Les premières mesures du gouvernement témoignent de cette double orientation réactionnaire et néolibérale. Après avoir annoncé une révision des manuels scolaires visant à effacer toute mention de la «dictature militaire», les autorités fédérales ont mis en place une commission chargée d’évaluer les «contenus idéologiques» et d’expurger toutes les références à «l’idéologie du genre» de l’Enem, l’équivalent du baccalauréat. Un examen déjà violemment critiqué par l’extrême droite en 2015 pour avoir intégré des extraits du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir dans une épreuve. Parallèlement, Jair Bolsonaro a supprimé, par décret, 13 710 charges administratives dans l’enseignement public (dont de nombreux postes de direction et de coordination pédagogique, notamment dans les universités fédérales récemment créées dans l’intérieur du pays). C’est toute la politique de démocratisation de l’enseignement mise en place par le gouvernement Lula qui risque ainsi d’être balayée, mais aussi l’héritage de grands pédagogues brésiliens, au premier rang desquels Paulo Freire, référence internationale en matière d’éducation populaire, voué aux gémonies par le nouveau pouvoir. La promotion de l’enseignement à domicile et des collèges militaires, jugés plus propices à la reproduction des valeurs traditionnelles, la réintroduction de l’hymne national dans les écoles lors de cérémonies filmées, l’appel à la délation pour dénoncer les professeurs de gauche annoncent le retour de l’obscurantisme.
Les universitaires que nous sommes recevons déjà de nombreux appels à l’aide de collègues brésiliens : les dénonciations des enseignants «marxistes» prolifèrent sur les réseaux sociaux, et la persécution morale instille un climat de peur qui pousse déjà certains à partir. Le Réseau européen pour la démocratie au Brésil (RED.Br) a reçu des dizaines d’appels à l’aide depuis sa création en janvier. Nos collègues dont les objets de recherche sont particulièrement sensibles craignent à la fois pour leur liberté de travail et leur intégrité. Un enseignant en science politique de l’Université fédérale Fluminense décrit l’atmosphère délétère que les milices font régner aux abords du campus d’Angra dos Reis dans l’Etat de Rio de Janeiro, où des étudiants n’hésitent plus à venir armés. Ses recherches sur les liens entre violence, criminalité et milices factieuses sont à l’arrêt, par crainte de représailles ; il utilise un pseudonyme et envisage de quitter le Brésil. Un autre message offre le récit glaçant des pressions subies par une enseignante d’une petite ville de l’intérieur de l’Etat de Bahia. Photographiée à son insu à la sortie de l’école, son image a été jetée en pâture sur les réseaux sociaux par des mères d’élèves promptes à dénoncer toute parole partisane. Depuis, son «angoisse» et son «infinie tristesse» sont telles qu’elle envisage de renoncer à exercer son métier, pour préserver sa personne et sa famille.
Ces témoignages traduisent la chape de plomb qui s’abat sur tous les échelons de l’institution scolaire au Brésil. Les menaces pousseront certains vers l’exil, qu’ont déjà choisi Jean Wyllys et la philosophe féministe Márcia Tiburi, mais la plupart, faute d’alternatives, seront contraints au silence. Nous ne pouvons rester insensibles devant une telle situation, et il est désormais urgent d’agir aux côtés de celles et ceux qui osent encore défendre au Brésil une école républicaine, inclusive et émancipatrice.
Anaïs Fléchet membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil , Sébastien Rozeaux membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil
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Au Brésil, la mise au pas de l’enseignement
Par Anaïs Fléchet, membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil et Sébastien Rozeaux, membre cofondateur du Réseau européen pour la démocratie au Brésil — 26 mars 2019 à 18:16
Lors d’un cours de discipline militaire près de Brasília, le 12 février.
Lors d’un cours de discipline militaire près de Brasília, le 12 février. Photo Sergio LIMA. AFP
Depuis son accession au pouvoir, le président brésilien Jair Bolsonaro a lancé une croisade idéologique contre le système éducatif du pays. Certains enseignants engagés sont contraints à l’exil.
Au Brésil, la mise au pas de l’enseignement
Tribune. Champ de bataille traditionnel de l’extrême droite brésilienne, l’éducation est devenue le fer de lance de la croisade idéologique menée par Jair Bolsonaro depuis son accession au pouvoir. Le Président a annoncé clairement la couleur en nommant Ricardo Vélez Rodríguez, un protégé du chroniqueur réactionnaire Olavo de Carvalho, à la tête du ministère de l’Education : écoles, collèges, lycées et universités doivent être débarrassés au plus vite du «marxisme culturel». Cette nébuleuse aux contours flous, qui recouvre pêle-mêle le politiquement correct, le socialisme, le multiculturalisme, le féminisme et la supposée théorie du genre, constitue depuis longtemps la cible privilégiée du mouvement Escola Sem Partido («école sans parti»), qui milite pour une purge de l’Education au nom de la patrie, de l’ordre social et des valeurs chrétiennes. Depuis l’élection de Bolsonaro, cette mise au pas est devenue une priorité gouvernementale et fait peser de lourdes menaces sur la liberté de l’enseignement, au point de faire renaître le spectre de la censure et des persécutions.
Trois tweets récents du Président ont avivé les craintes des milieux enseignants. Le premier dénonce les investissements massifs réalisés par les gouvernements de Luiz Inácio Lula da Silva et de Dilma Rousseff dans le secteur. Le deuxième opère un glissement vers les contenus : «Tout a été fait à l’envers : les enseignements prioritaires et les montants investis. Pour enquêter là-dessus, le ministère de l’Education, avec le soutien du ministère de la Justice, de la Police fédérale et des organes de contrôle de l’Union, a lancé le Lava Jato de l’Education.» Nettoyer l’éducation au Kärcher en utilisant les méthodes de la lutte contre les scandales de corruptions révélés par l’opération Lava Jato, qui a conduit à l’emprisonnement, sur des bases juridiques extrêmement fragiles, de l’ex-président et candidat Lula il y a tout juste un an : la menace est explicite. Le troisième tweet enfonce le clou : «L’institution a été détournée pour favoriser des intérêts qui ne sont pas ceux du Brésil. Nous savons que cette action peut entraîner des grèves et des mouvements allant à l’encontre des intérêts des Brésiliens.»
Coupes budgétaires et dénonciation des «ennemis de la patrie» vont de pair, permettant au passage de favoriser les intérêts des grands groupes de l’enseignement privé et les milieux évangéliques les plus conservateurs. Les premières mesures du gouvernement témoignent de cette double orientation réactionnaire et néolibérale. Après avoir annoncé une révision des manuels scolaires visant à effacer toute mention de la «dictature militaire», les autorités fédérales ont mis en place une commission chargée d’évaluer les «contenus idéologiques» et d’expurger toutes les références à «l’idéologie du genre» de l’Enem, l’équivalent du baccalauréat. Un examen déjà violemment critiqué par l’extrême droite en 2015 pour avoir intégré des extraits du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir dans une épreuve. Parallèlement, Jair Bolsonaro a supprimé, par décret, 13 710 charges administratives dans l’enseignement public (dont de nombreux postes de direction et de coordination pédagogique, notamment dans les universités fédérales récemment créées dans l’intérieur du pays). C’est toute la politique de démocratisation de l’enseignement mise en place par le gouvernement Lula qui risque ainsi d’être balayée, mais aussi l’héritage de grands pédagogues brésiliens, au premier rang desquels Paulo Freire, référence internationale en matière d’éducation populaire, voué aux gémonies par le nouveau pouvoir. La promotion de l’enseignement à domicile et des collèges militaires, jugés plus propices à la reproduction des valeurs traditionnelles, la réintroduction de l’hymne national dans les écoles lors de cérémonies filmées, l’appel à la délation pour dénoncer les professeurs de gauche annoncent le retour de l’obscurantisme.
Les universitaires que nous sommes recevons déjà de nombreux appels à l’aide de collègues brésiliens : les dénonciations des enseignants «marxistes» prolifèrent sur les réseaux sociaux, et la persécution morale instille un climat de peur qui pousse déjà certains à partir. Le Réseau européen pour la démocratie au Brésil (RED.Br) a reçu des dizaines d’appels à l’aide depuis sa création en janvier. Nos collègues dont les objets de recherche sont particulièrement sensibles craignent à la fois pour leur liberté de travail et leur intégrité. Un enseignant en science politique de l’Université fédérale Fluminense décrit l’atmosphère délétère que les milices font régner aux abords du campus d’Angra dos Reis dans l’Etat de Rio de Janeiro, où des étudiants n’hésitent plus à venir armés. Ses recherches sur les liens entre violence, criminalité et milices factieuses sont à l’arrêt, par crainte de représailles ; il utilise un pseudonyme et envisage de quitter le Brésil. Un autre message offre le récit glaçant des pressions subies par une enseignante d’une petite ville de l’intérieur de l’Etat de Bahia. Photographiée à son insu à la sortie de l’école, son image a été jetée en pâture sur les réseaux sociaux par des mères d’élèves promptes à dénoncer toute parole partisane. Depuis, son «angoisse» et son «infinie tristesse» sont telles qu’elle envisage de renoncer à exercer son métier, pour préserver sa personne et sa famille.
Ces témoignages traduisent la chape de plomb qui s’abat sur tous les échelons de l’institution scolaire au Brésil. Les menaces pousseront certains vers l’exil, qu’ont déjà choisi Jean Wyllys et la philosophe féministe Márcia Tiburi, mais la plupart, faute d’alternatives, seront contraints au silence. Nous ne pouvons rester insensibles devant une telle situation, et il est désormais urgent d’agir aux côtés de celles et ceux qui osent encore défendre au Brésil une école républicaine, inclusive et émancipatrice.
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel
Sa wou ekri la anko daktualite an Ayiti . Se pou sa ke gouveneman yo à l'exception du gvt Lavalas p janm enterese nan zafe edukasyon de la masse dayiti .
Sa wou ekri la anko daktualite an Ayiti . Se pou sa ke gouveneman yo à l'exception du gvt Lavalas p janm enterese nan zafe edukasyon de la masse dayiti .
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
MAK,
Mwen byen kontan ou we bagay yo konsa.
Se ann AYITI selman ke PWOPAGANN anti-LAVALAS lan ap kontinye.
Gen de ETRANJE ki te konn koute NEG pou yo patisipe lan PWOPAGANN anti-LAVALAS ,kounye an yo ap admet ke yo te twonpe yo.
Se sel GOUVENMAN vre ,mwen vle pale de LAVALAS ,ki te gen PWOGRAM pou l te bati LEKOL.
SE TE YOMENM SEL .
E si yon MOUN di sa ,sa pa vle di di ou pro-LAVALAS.
SE LISTWA!!!!!!!
Mwen byen kontan ou we bagay yo konsa.
Se ann AYITI selman ke PWOPAGANN anti-LAVALAS lan ap kontinye.
Gen de ETRANJE ki te konn koute NEG pou yo patisipe lan PWOPAGANN anti-LAVALAS ,kounye an yo ap admet ke yo te twonpe yo.
Se sel GOUVENMAN vre ,mwen vle pale de LAVALAS ,ki te gen PWOGRAM pou l te bati LEKOL.
SE TE YOMENM SEL .
E si yon MOUN di sa ,sa pa vle di di ou pro-LAVALAS.
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Joel- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel
Pa bliye ke mwen se lavalasyen quand meme .
SOu site UNESCO eki ke se sou gouverneman lavalas ke taux moun ki alfabitise an ayiti t ogmante nan istwa dayiti des 60 dernieres années .
Pa bliye ke mwen se lavalasyen quand meme .
SOu site UNESCO eki ke se sou gouverneman lavalas ke taux moun ki alfabitise an ayiti t ogmante nan istwa dayiti des 60 dernieres années .
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel
Je suis lavalas et vous n'avez aucun parti . Kakakok dirait que vous etes un titidiste .lol
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Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
TITIDIS?
MAK,
Mwen pa di anyen DIFERAN de sa ke PRES PROGRESIS AMERIKEN ak ANGLE ap di de TITID lan denye LANNE yo.
Yo ap pale de MISYE menm jan yo pale de JACOBO ARBENZ GUZMAN ,prezidan GWATEMALA ke CIA te ranvese an 1954 lan.
JACOBO ARBENZ gen omwens 50 AN depi l mouri,men ARISTID limenm VIVAN toujou.
Pa gen pesonn ki pi prepare pou l anpeche NOFRAJ BATO AYISYEN an.
Se OPINYON pa m ,ou gen dwa gen pa m.
MAK,
Mwen pa di anyen DIFERAN de sa ke PRES PROGRESIS AMERIKEN ak ANGLE ap di de TITID lan denye LANNE yo.
Yo ap pale de MISYE menm jan yo pale de JACOBO ARBENZ GUZMAN ,prezidan GWATEMALA ke CIA te ranvese an 1954 lan.
JACOBO ARBENZ gen omwens 50 AN depi l mouri,men ARISTID limenm VIVAN toujou.
Pa gen pesonn ki pi prepare pou l anpeche NOFRAJ BATO AYISYEN an.
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Joel- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel , mon bon ami depuis les années 2000, je n'ai vraiment pas envie de refaire ce débat Aristide au pouvoir . Je ne crois pas qu'il a la sagesse de Mandela pour diriger aujourd'hui Haiti que j'ai vu de mes yeux ...
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
MARC,
You've lost me.
La sagesse de MANDELA?
Vous repetez les arguments "primaires" contre ARISTIDE.
Et puis ,je ne sais pas si vous connaissez l'histoire de l'administration MANDELA.
Pour commencer ,les BOERS ont reconnu qu'ils etaient COUPABLES.
Les DUVALIERISTES?
Et puis ,depuis apres la TRANSITION,tous les MINISTRES de l'AFRIQUE DU SUD etaient de l'ANC.
Et puis ,ne prenez pas MANDELA pour une "poule mouillee"
Quand les ZOULOUS de GATSHA BOUTHELEZI allies avec des RADICAUX BOERS causaient des TROUBLES ,MANDELA avait menace de les annihiler .
MARC,
Il n'y a pas une personne en HAITI actuellement qui approche ARISTIDE,sa dimension.
LES AMERICAINS LE SAVENT.
Ils le repetent constamment,dans leurs depeches.
Un EMBASSADEUR avait meme fait une reference qu'il etait un des ROIS D'HAITI.C'etait bien apres le COUP D'ETAT de 2004.Un testament que la campagne de DESINFORMATION contre ARISTIDE n'avait pas reussi comme celui fait contre DESSALINES apres son ASSASSINAT.
You've lost me.
La sagesse de MANDELA?
Vous repetez les arguments "primaires" contre ARISTIDE.
Et puis ,je ne sais pas si vous connaissez l'histoire de l'administration MANDELA.
Pour commencer ,les BOERS ont reconnu qu'ils etaient COUPABLES.
Les DUVALIERISTES?
Et puis ,depuis apres la TRANSITION,tous les MINISTRES de l'AFRIQUE DU SUD etaient de l'ANC.
Et puis ,ne prenez pas MANDELA pour une "poule mouillee"
Quand les ZOULOUS de GATSHA BOUTHELEZI allies avec des RADICAUX BOERS causaient des TROUBLES ,MANDELA avait menace de les annihiler .
MARC,
Il n'y a pas une personne en HAITI actuellement qui approche ARISTIDE,sa dimension.
LES AMERICAINS LE SAVENT.
Ils le repetent constamment,dans leurs depeches.
Un EMBASSADEUR avait meme fait une reference qu'il etait un des ROIS D'HAITI.C'etait bien apres le COUP D'ETAT de 2004.Un testament que la campagne de DESINFORMATION contre ARISTIDE n'avait pas reussi comme celui fait contre DESSALINES apres son ASSASSINAT.
Joel- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel
Il ne faut pas prendre ou comprendre mon intervention comme une critique destructive du président Aristide . J'ai basé mon observation en fonction de la réalité et l'expérience récente du président Aristide au pouvoir . Un homme qui est incapable de rallier des leaders à son mouvement n'arriverait pas à la stabilité politique dont Haiti aura besoin pour sortir de la dépendance économique , à mon humble avis .
Il ne faut pas prendre ou comprendre mon intervention comme une critique destructive du président Aristide . J'ai basé mon observation en fonction de la réalité et l'expérience récente du président Aristide au pouvoir . Un homme qui est incapable de rallier des leaders à son mouvement n'arriverait pas à la stabilité politique dont Haiti aura besoin pour sortir de la dépendance économique , à mon humble avis .
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Marc H a écrit:Joel
Il ne faut pas prendre ou comprendre mon intervention comme une critique destructive du président Aristide . J'ai basé mon observation en fonction de la réalité et l'expérience récente du président Aristide au pouvoir . Un homme qui est incapable de rallier des leaders à son mouvement n'arriverait pas à la stabilité politique dont Haiti aura besoin pour sortir de la dépendance économique , à mon humble avis .
ADYE MAK;
Allez etudier l'histoire de ce pays ,de ces 15 dernieres annees.
Stabilite ,quelle stabilite .
Si stabilite il y a ,ca a servi a quoi
Ca fait 15 ANS que ARISTIDE avait ete renverse et le pays est plus pauvre qu'il ne l'a ete en 2004.
Il ne faut pas oublier que ARISTIDE n'avait pas recu une GOURDE d'AIDE entre 2001 et 2004.
MARC ,
Voici un ARTICLE que STEPHEN LENDMAN un intellectuel bien connu de la GAUCHE DEMOCRATIQUE AMERICAINE avait ecrit en 2006:
http://thirdworldtraveler.com/Stephen_Lendman/Haiti_AchievementsAristide.html
Les réalisations d'Haïti sous Aristide et Lavalas
par Stephen Lendman
http://towardfreedom.com/, 5 janvier 2006
Le peuple haïtien, qui souffre depuis longtemps, a subi un choc catastrophique en février 2004 lorsque les US Marines ont enlevé et destitué le président démocratiquement élu, Jean-Bertrand Aristide. Les États-Unis, soutenus par le Canada et la France, l'obligèrent à l'exil, lui interdirent même de retourner dans l'hémisphère et rétablirent un gouvernement fantoche provisoire despotique, soutenu et imposé par de prétendus casques bleus de l'ONU et une police nationale haïtienne brutale.
Des responsables américains ont également menacé Aristide d'un deuxième enlèvement, suivi d'un procès et d'une incarcération aux États-Unis [accusation totalement frauduleuse de pillage du trésor haïtien, de blanchiment d'argent et de tirer profit des trafiquants de drogue] s'il avait osé agir ou s'exprimer avec force contre son éviction, l'exil forcé et la situation déplorable qui règne actuellement en Haïti. Ces accusations sont actuellement incluses dans une action en justice sans fondement que le soi-disant gouvernement intérimaire d'Haïti a intentée contre le président Aristide alors même qu'il mène un règne de terreur contre le peuple haïtien. Et ce faisant, la situation dans le pays continue de se dégrader, les forces d'occupation réprimant la population avant les soi-disant élections présidentielles et législatives de janvier. Haïti étant un pays occupé, la liberté et la démocratie dont ils disposaient ont maintenant été perdues, accompagnées d'une décennie de gains sociaux, économiques et politiques impressionnants comme jamais auparavant.
Pourquoi les États-Unis ont-ils planifié et mené à bien cet acte de banditisme sauvage contre un dirigeant aimé de son peuple et réélu en 2000 avec 92% des voix? C'est parce qu'il se souciait des 80% ou plus des Haïtiens désespérément pauvres et désavantagés et qu'il était déterminé à améliorer leurs vies. Il était déterminé à servir leurs intérêts plutôt que ceux de son voisin du nord dominant. Cette politique de tout pays, en particulier des pays moins développés, est toujours inacceptable pour l'agenda néolibéral prédateur de toutes les administrations américaines, des sociétés transnationales géantes dont ils servent les intérêts et, en Haïti, de leurs partenaires d'affaires d'élite. L’administration Bush, en accord avec ces intérêts commerciaux dominants, entend ramener ce pays de 8,5 millions d’habitants, le plus pauvre des Amériques, à son statut de serviteur virtuel antérieur à Aristide. Pour ce faire, ils ont détruit la liberté et la première démocratie d'Haïti dans son histoire et transformé le pays en un terrain meurtrier. Et pour justifier ce qu'ils ont fait, ils ont mené une campagne de désinformation sans scrupule, aidée par un média corporatif complice et corrompu, affirmant à tort que le gouvernement Aristide était en proie à la corruption, au trafic de drogue et aux droits de l'homme. Ils ont également affirmé qu'Haïti était mal gouvernée par des personnes fondamentalement incompétentes [un racisme sans scrupule]. Ils ont appelé cela un État défaillant ayant besoin d'une "réforme" et d'une "intervention humanitaire".
Pour les entreprises américaines et l'élite des entreprises haïtiennes, Haïti a toujours été le paradis de la main-d'œuvre parmi les moins chères de la planète. Il y a également un problème endémique à long terme d'hommes, de femmes et d'enfants victimes de la traite des êtres humains à des fins d'exploitation sexuelle, de servitude pour dettes et de travail personnel. Aucun dirigeant ou parti, aussi bien intentionné soit-il, ne pourrait résoudre tous ces problèmes facilement ou rapidement. Mais Aristide a essayé. Il voulait quelque chose de mieux et a réalisé pendant dix ans des réalisations impressionnantes avec peu de soutien financier extérieur et contre toute attente. Ce que les administrations Lavalas ont accompli est expliqué ci-dessous.
GAINS SOCIAUX SOUS LAVALAS
1. SOINS DE SANTÉ
Le gouvernement Aristide a rénové et construit des cliniques de santé, des hôpitaux et des dispensaires et a amélioré les services médicaux. Cela a considérablement augmenté le nombre de travailleurs de la santé, y compris les médecins. Il a consacré une part plus importante de son budget aux soins de santé par rapport aux gouvernements haïtiens précédents. Il a lancé un programme efficace de prévention et de traitement du sida, salué par des experts internationaux, qui a permis de réduire le taux de prévalence du VIH de 6,1% à 5% et le taux de transmission mère-enfant de 30% à 9%. Dans un effort de coopération avec Cuba, il a envoyé des centaines d'étudiants en médecine haïtiens dans ce pays pour devenir médecins et a bénéficié de l'aide de centaines d'autres professionnels de la santé cubains se rendant en Haïti pour travailler en zones rurales. Il a créé une nouvelle école de médecine à Tabarre, qui dispense un enseignement médical gratuit à des centaines d’étudiants haïtiens et prévoit d’ouvrir une école de sciences infirmières, ce que le coup d’Etat de 2004 a empêché.
Dans l’ensemble, la disponibilité et l’amélioration des soins de santé ont fait des gains impressionnants par rapport à son état jadis lamentable. Une des mesures était la baisse de la mortalité infantile de 125 à 110 pour 1000 et la baisse du pourcentage de naissances de poids insuffisant de 28% à 19%.
2. ÉDUCATION
Aristide et Fanmi Lavalas ont mis en place un programme d'enseignement universel visant à inclure tous les enfants haïtiens. Haïti consacrait 20% de son budget à l'éducation et, entre 2001 et 2004, le taux de scolarisation est passé de 68% à 72%. Sous les administrations Lavalas, 195 nouvelles écoles primaires et 104 nouvelles écoles secondaires publiques ont été construites, y compris dans les zones rurales où aucune école n’avait jamais existé auparavant. En outre, Fanmi Lavalas a fourni des milliers de bourses aux enfants qui fréquentent des écoles privées. Il a subventionné les manuels et les uniformes et élargi les programmes de cantines scolaires pour servir 700 000 repas chauds par jour à des enfants qui, autrement, auraient pu ne pas manger.
Le gouvernement Aristide a également lancé une campagne nationale d'alphabétisation, imprimé 2 millions de manuels d'alphabétisation et formé des milliers d'élèves en alphabétisation. Il a ouvert 20 000 centres d'alphabétisation pour adultes, dont beaucoup combinent un centre d'alphabétisation et une cuisine communautaire afin de fournir des repas à faible coût aux communautés dans le besoin. Entre 2001 et 2003, ce programme a appris à 100 000 personnes à lire et, de 1996 à 2003, le taux d’analphabétisme a été ramené de 85% à 55%.
3. JUSTICE ET DROITS DE L'HOMME
Contrairement à la campagne de diabolisation et de désinformation contre Aristide et Lavalas, les droits de l’homme et la résolution des conflits ont permis des gains importants sous les administrations Lavalas. Pour la première fois en Haïti, les droits de l'accusé ont été respectés. Les personnes arrêtées ont une audience formelle devant un juge généralement dans les deux jours. Les procédures judiciaires se sont déroulées en créole, la langue française dérivée que tous les Haïtiens comprennent. Depuis le coup d'État de 2004, des partisans de Lavalas sont régulièrement assassinés ou emprisonnés pendant des mois, sans inculpation ni recours à un procès équitable.
En 1995, le gouvernement Lavalas a ouvert une école de magistrats. Entre 1996 et 2003, 100 nouveaux juges et procureurs ont été diplômés. Des palais de justice et des commissariats de police ont également été construits et rénovés dans tout le pays. Des tribunaux spéciaux pour les enfants ont été mis en place et une unité spéciale de protection de l’enfance a été créée au sein de la Police nationale haïtienne. Des lois ont également été adoptées interdisant toutes les formes de châtiment corporel contre les enfants. Et en 2003, une nouvelle loi a été adoptée abrogeant une disposition du code du travail autorisant le service domestique pour enfants [principalement du travail non rémunéré et donc brouillé], ainsi qu'une législation supplémentaire interdisant toute traite des personnes [un abus endémique à long terme en Haïti affectant adultes et enfants].
Aristide a supprimé le principal instrument de répression étatique et des dizaines de coups d'État antérieurs en dissolvant l'armée haïtienne détestée - entraînée par les États-Unis à devenir un instrument de contrôle civil et à utiliser des tactiques brutales et abusives pour le faire. Cela a permis au peuple haïtien de jouir d'un niveau de liberté de parole, de réunion et de sécurité sans précédent, sans précédent. Il a également créé la Commission nationale pour la vérité et la justice chargée d'enquêter sur les crimes commis pendant la période du coup d'État de 1991-1994 et de faire rapport à leur sujet. Il a recommandé une mesure de justice en 1996. En conséquence, d'anciens soldats et paramilitaires ont été jugés pour leurs crimes et condamnés pour avoir été reconnus coupables de procès équitables.
GAINS POLITIQUES SOUS LAVALAS
Avant l'élection d'Aristide en 1990, Haïti n'avait jamais eu de président élu démocratiquement. Aristide a pris ses fonctions en 1991, mais son administration a été de courte durée en raison d'un coup d'Etat militaire qui l'a destitué plus tard dans l'année. Mais dans un accord conclu avec l'administration Clinton, Aristide est rétabli dans ses fonctions en 1994 et reste en poste jusqu'en 1996. Puis, empêché par la loi haïtienne, René Préval, allié d'Aristide et Premier ministre en 1991, est élu. Président avec 88% des voix. Aristide a ensuite été réélu en novembre 2000 [représentant le parti Fanmi Lavalas qu'il a formé en 1996] et a exercé ses fonctions jusqu'au coup d'État de février 2004 le destituant.
La commission électorale indépendante d'Haïti a supervisé les élections présidentielles de 1996 et 2000, ainsi que trois élections législatives et locales. En mai 2000, 29 500 candidats se présentaient pour 7 500 postes. Quatre millions d'Haïtiens se sont inscrits aux élections et 60% d'entre eux ont voté. De nombreuses femmes et dirigeants paysannes ont été élues à la Chambre des députés, ont formé un caucus et ont travaillé au Parlement pour améliorer la vie des agriculteurs ruraux. Pour la toute première fois, des Haïtiennes ont occupé les postes de Premier ministre, de ministre des Affaires étrangères, de ministre des Finances et de chef de la police. En outre, en 1995, le président Aristide a créé un ministère des affaires féminines au niveau du cabinet chargé de veiller au bien-être des femmes. Son objectif était multiple et comprenait l'aide aux victimes de viol, l'amélioration de l'alphabétisation et l'accès à l'éducation, des services de santé vitaux tels que les soins prénatals et l'inclusion des femmes pour bénéficier d'augmentations du salaire minimum.
Pendant cette période, le peuple haïtien a bénéficié d’une liberté sans précédent d’organiser, de parler librement et de se réunir. Le nombre de stations de radio à Port-au-Prince est passé à 44 et à 100 autres en dehors de la capitale. 16 chaînes de télévision étaient enregistrées dans la capitale et 35 autres dans tout le pays. De plus, la Constitution haïtienne de 1987 a été imprimée en créole et a été largement diffusée afin que les Haïtiens soient conscients de leurs droits qu’ils avaient réellement pour la première fois.
Pendant près de 10 ans, le peuple haïtien a eu sa seule démocratie en 500 ans d’histoire. Il a choisi un gouvernement et des dirigeants qui, pour la première fois, se préoccupaient du bien-être des Haïtiens ordinaires et mettaient en place des politiques pour améliorer leur vie. Tout cela a été perdu en février 2004. Le peuple haïtien veut le restaurer et la résistance augmente pour tenter de le réaliser.
GAINS ECONOMIQUES SOUS LAVALAS
Aristide a augmenté le salaire minimum en 1995 et l'a doublé en 2003. Il a mis en place un vaste programme de réforme agraire qui distribue 2,47 acres de terres à chacune des 1 500 familles paysannes de la vallée de la rivière Artibonite. Son gouvernement a fourni des outils, du crédit, une assistance technique, des engrais et du matériel lourd aux agriculteurs. Les systèmes d'irrigation ont été réparés pour fournir de l'eau à 7 000 agriculteurs. En conséquence, les rendements en riz [issus de la principale culture de base d'Haïti] sont passés de 2,7 tonnes par hectare à entre 3 et 3,5 tonnes.
Le gouvernement a distribué des dizaines de milliers de porcs créoles réintroduits aux agriculteurs haïtiens. Cela a annulé une politique d'extermination menée par l'Agence américaine de développement international (USAID) en 1980 pour des raisons frauduleuses afin d'empêcher les agriculteurs haïtiens de concurrencer les éleveurs de porc aux États-Unis.
L'administration Aristide a fait campagne de manière agressive pour recouvrer les factures d'impôts et de services publics impayées au gouvernement par des hommes d'affaires riches et puissants de l'élite. Grâce à cet effort, ils ont généré de nouveaux revenus qui ont été utilisés pour les soins de santé et l’éducation.
Le gouvernement a réparé et rouvert la sucrerie appartenant à l'État à Dabonne, qui a permis à Haïti de transformer son propre sucre. En outre, 30 000 pêcheurs ont bénéficié d'une assistance technique et d'une formation à la construction de bateaux, les stocks de poissons des lacs haïtiens et la construction de 50 nouveaux lacs.
Les administrations Lavalas ont créé des centaines de magasins et de restaurants communautaires qui vendaient des aliments à prix discount, forçant les monopoles d'importation des élites fortunées à réduire leurs prix et à les rendre plus abordables pour les Haïtiens pauvres. En conséquence, en 2003, la malnutrition était passée de 63% à 51%.
En 2002 et 2003, plus de 1 000 logements à prix modique ont été construits et des prêts à faible taux d'intérêt ont permis à de simples haïtiens appartenant à la classe ouvrière de les acheter.
En 1994, le gouvernement haïtien a mis en place un programme visant à aider les réfugiés qui ont fui le pays après le coup d'État de 1991 à rentrer. Les programmes comprenaient des ateliers de menuiserie et de couture et une aide à la création de coopératives agricoles. Cette initiative a aidé 100 000 réfugiés à rentrer chez eux. Le gouvernement a également créé un bureau de la protection civile pour aider la Croix-Rouge haïtienne à envoyer des alertes rapides aux catastrophes naturelles imminentes et à aider les victimes de ces catastrophes.
Tous ces gains essentiels sont maintenant annulés ou affectés négativement par l'actuel gouvernement fantoche installé aux États-Unis.
AUTRES REALISATIONS NOTABLES LAVALAS
Malgré des informations erronées, les administrations Lavalas ont adopté une législation visant à lutter contre le trafic de drogue et le blanchiment d’argent et ont coopéré avec la DEA (Drug Enforcement Agency) américaine pour interdire les trafiquants de drogue et les expulser recherchés par les autorités américaines. En outre, le Comité national de lutte contre le blanchiment de capitaux, le Comité national de lutte contre le trafic de drogue et les toxicomanies et une Unité de renseignements financiers ont été créés pour faire respecter les lois adoptées.
Le gouvernement a également fait campagne contre la corruption en publiant des messages d'intérêt public et en instituant de nouvelles procédures pour lutter contre ces abus. Des enquêtes ont été menées sur des responsables gouvernementaux et autres employés impliqués dans des activités illégales ou illégales, et les personnes reconnues coupables ont été licenciées ou poursuivies.
Les administrations Lavalas ont consenti des investissements importants dans des projets d’aide au peuple haïtien. Ils comprenaient d'importantes améliorations des infrastructures, des transports en commun et de l'agriculture. Des milliers de kilomètres de canaux de drainage ont été construits, réparés ou dragués. À Jacmel, une nouvelle centrale électrique a été construite et le port et le quai ont été rénovés. À Port-au-Prince, l'aéroport international et le stade national ont été rénovés. Des dizaines de marchés en plein air [une importante institution haïtienne] ont été construits ou rénovés dans des villes du pays.
CONDITIONS EN HAÏTI AUJOURD'HUI DEPUIS LE COUP DE 2004
Toutes les réalisations évoquées ci-dessus sont impressionnantes et remarquables si l'on considère la longue et tragique histoire d'Haïti comme un État brutalement exploité - d'abord par l'Espagne et la France, puis par les États-Unis. Cependant, depuis le coup d'Etat du président Aristide en 2004, ils ont tous été touchés ou renversés. .
Le plus grave a été la destruction de la démocratie et de la liberté réelles en Haïti et les conséquences tragiques et horribles qui en ont découlé. Pour servir les intérêts des entreprises américaines et de l'élite des riches haïtiens, la Police nationale haïtienne (PNH) et les soi-disant Casques bleus de l'ONU (MINUSTAH) ont déclenché un règne de terreur contre le peuple haïtien. Le parti Fanmi Lavalas du président Aristide a été détruit et ses responsables emprisonnés, assassinés ou contraints de fuir pour échapper à l'un ou l'autre de ces événements. En outre, des milliers de sympathisants de Lavalas [la grande majorité des Haïtiens] et de militants associatifs et syndicaux ont été tués, emprisonnés, ont disparu ou ont été contraints de se cacher. En outre, des milliers de petites entreprises ont été incendiées et détruites, tout comme les habitations d’un grand nombre de pauvres. Des emplois ont également été perdus, y compris ceux de 4000 travailleurs du secteur public recrutés sous le président Aristide, immédiatement éliminés après le coup d'État. En conséquence, le taux de chômage, déjà très élevé, a encore augmenté.
L'ancienne armée haïtienne, brutale et détestée, a également été reconstituée et contrôle désormais de vastes régions du pays dans un climat de loi martiale. Dans les villes, la PNH fonctionne comme une force paramilitaire de facto avec un permis pour terroriser et tuer en toute impunité. Aux côtés de la MINUSTAH [dirigée par des contingents du Brésil et du Chili, qui répriment depuis longtemps leurs populations d'origine], la PNH effectue de fréquents affrontements violents dans les communautés et les quartiers pauvres, tels que Cité Soleil et Bel Air, attaquant, arrêtant et assassinant des dirigeants communautaires, militants et autres partisans de Lavalas.
Dans les zones rurales, les propriétaires absents et les paramilitaires armés ont saisi les terres des paysans qui leur avaient été attribuées dans le cadre des projets de réforme agraire par les administrations lavalas. Le nouveau gouvernement américain intérimaire, dirigé par le Premier ministre Gérard Latortue [importé de Floride], a mis fin aux subventions sur les engrais indispensables aux riziculteurs paysans. En conséquence, le coût des engrais a plus que doublé et le prix du riz [la principale culture de base d'Haïti] a fortement augmenté, affectant négativement la majorité des pauvres [80% ou plus de la population]. Le gouvernement provisoire a également annulé les subventions aux écoles et aux manuels scolaires ainsi que le financement des programmes d'alphabétisation. De nombreuses familles pauvres ont donc été incapables de garder leurs enfants à l'école.
Des agences américaines telles que l'Agence américaine de développement international (USAID) et le Projet pour la démocratie en Haïti, indépendant et nominalement indépendant, participent également de manière déterminante à l'élaboration de la politique d'Haïti. Ce dernier est financé par la riche famille d'extrême droite Boulos, Haïtien, Radio Vision 2000, financé par l'USAID, ainsi que par d'autres entreprises commerciales haïtiennes. Son conseil d'administration comprend d'anciens ambassadeurs américains en Haïti, d'autres proches du département d'État américain et des chefs d'entreprise haïtiens. Cette organisation [ou groupe de réflexion indépendant comme ils s'appellent eux-mêmes] avec l'ambassadeur par intérim des États-Unis, Timothy Carney, prend probablement des décisions politiques au jour le jour en Haïti, tandis que l'USAID répond aux objectifs généraux des États-Unis en tentant de "pacifier" le pays. Cela se fait par le biais d'un programme fictif et totalement inadéquat consistant à créer quelques opérations de type organisation non gouvernementale [ONG] pour fournir des services essentiels tels que "soins primaires" et "services de survie de l'enfant", à la place de Lavalas, tout en même temps. administrer avec un poing de fer. Il a ouvert la première prison pour enfants avec d'autres pour enfants et adultes susceptibles de suivre. L’objectif général est de faire d’Haïti une "colonie pénitentiaire" à ciel ouvert, combinée et tranquille, afin de créer un climat favorable aux affaires.
En outre, les agences de prêt internationales prédatrices, y compris le FMI et la Banque mondiale, exigent une livre de chair qui approfondira encore la pauvreté accablante et accablante d’Haïti. Comme à leur habitude, ils ont activement mis en œuvre leurs politiques d'ajustement structurel abusives et destructrices: privatisations forcées et réduction des activités appartenant à l'État, ainsi que l'élimination des programmes sociaux mis en place par Lavalas en échange d'une aide financière, ce qui alourdit le fardeau déjà lourd de la dette d'Haïti. "odieux" dette].
Les grands médias des États-Unis et la communauté internationale ont globalement ignoré la tragédie et l'horreur perpétrées en Haïti depuis le coup d'État. Sans jeu de mots, Haïti est aujourd'hui littéralement un trou noir, à l'abri des regards. Les États-Unis appellent maintenant à l'attaque alors que leurs mandataires complices et asservis dans le pays ont fait demi-tour en arrière de son horrible passé despotique de répression brutale et d'une pauvreté encore plus extrême, de dépravation et de souffrances humaines.
ELECTIONS PRESIDENTIELLES ET LEGISLATIVES PREVUES
Le soi-disant gouvernement intérimaire d'Haïti [IGH] a programmé un premier tour des élections présidentielle et législatives le 8 janvier. Un second tour suivra le 15 février et les élections locales se tiendront enfin le 5 mars. Il s'agit de la quatrième réinitialisation des dates des élections dans le pays. 5 derniers mois. En effet, la planification et la préparation gérées par la Commission électorale provisoire (CEP) ont été aussi faussées que la notion de processus libre et démocratique dans un pays désormais dirigé par un Premier ministre nommé par les États-Unis, chargé de diriger la junte militaire de facto devant le gouvernement. Administration Bush. Bien que 3,5 millions sur les 4,2 millions de personnes susceptibles de voter aient été enregistrés, la liste des candidats en lice exclut presque tous les anciens membres de Lavalas. Actuellement et sous réserve de modifications, 32 candidats sont candidats à la présidence, y compris René Préval, qui a exercé les fonctions de président élu démocratiquement pendant un mandat complet de 1996 à 2000. Lavalas étant un parti détruit et sorti du processus politique, le fait que Preval ait autorisé à courir signifie qu'il a probablement été coopté et qu'il a déserté ses anciens alliés démocratiques et accepté ou rejoint ceux qui sont au pouvoir.
Le père Gérard Jean-Juste, l'homme le plus aimé et le plus populaire encore en Haïti, ne sera pas autorisé à se porter candidat et a été emprisonné sans inculpation pour empêcher son inclusion dans l'élection. Il est actuellement diagnostiqué avec une maladie grave nécessitant sa libération pour pouvoir être traité correctement. Sans un tollé et une intervention pour lui, il est douteux qu'il l'obtienne, et cela pourrait mettre sa vie en danger. La plupart des autres candidats sont ceux "jugés acceptables" par l'administration Bush, y compris Dumarsais Simeus, un milliardaire d'origine haïtienne née au Texas, Guy Philippe [un ancien chef de la police et un gangster paramilitaire qui a dirigé le coup d'État armé contre le président Aristide en 2004] et Dany Toussaint [un présumé meurtrier ]. En outre, plus de 1100 candidats se présentent au Parlement.
Lorsque ces prétendues élections seront finalement achevées, le résultat ne représentera pas la volonté du peuple haïtien. Lavalas [le choix écrasant de la majorité haïtienne] étant en grande partie détruite en tant qu'entité politique, le pays soumis à une occupation militaire répressive et étrangère et l'ensemble du processus électoral profondément imparfait et efficacement truqué, l'espoir d'une élection démocratique est nul. En outre, la probabilité de fraude électorale est très grande, et la mission de surveillance d'Élections Canada dans ce pays pour le détecter risque peu de l'être, en raison de l'appui du Canada au coup d'État dirigé par les États-Unis et à sa participation à la MINUSTAH. Il n’existe également aucun moyen de savoir combien d’Haïtiens voteront en dépit du nombre déclaré enregistré. Ceux qui le souhaitent se verront gênés ou incapables de le faire, car le nombre de bureaux de vote a été réduit de 12 000 en 2000 à 600 actuellement, principalement dans les zones urbaines. La majorité des pauvres qui ont soutenu Aristide / Lavalas se trouvent dans les zones rurales, à des heures du vote. La distance et la menace de violence électorale peuvent les arrêter.
Pour l’instant, le rêve de la plupart des Haïtiens n’est pas réalisé et il est peu probable qu’il s’améliore de si tôt. Pourtant, malgré leur désespoir et sans soutien extérieur, le peuple haïtien reste résolu et courageux. Depuis le coup d'Etat, ils se sont rassemblés à maintes reprises et ont manifesté massivement dans les rues pour demander la libération des prisonniers politiques, le retour du président Aristide et le rétablissement de leur brève démocratie. Et malgré la terreur quotidienne et la violence à leur encontre, ils ont poursuivi leur résistance avec courage. Leur histoire doit être racontée et ils méritent le soutien total de personnes attentionnées du monde entier.
Stephen Lendman vit à Chicago et peut être contacté à lendmanstephen@sbcglobal.net. Photo de Uruguay.indymedia.org
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Joel- Super Star
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Oui Joel
Je sais qu'on n'a jamais eu de stabilité des 30 dernières années . C'est pourquoi il faut envisager de faire autrement .
Je sais qu'on n'a jamais eu de stabilité des 30 dernières années . C'est pourquoi il faut envisager de faire autrement .
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Joel
Je serai de votre avis si je n'avais pas constaté le refus de plusieurs membres de la société civile de travailler avec Aristide . Quand on veut gouverner , il faut savoir rallier les amis aussi bien les ennemis . C'est ce qu'on appelle le leadership.
Je serai de votre avis si je n'avais pas constaté le refus de plusieurs membres de la société civile de travailler avec Aristide . Quand on veut gouverner , il faut savoir rallier les amis aussi bien les ennemis . C'est ce qu'on appelle le leadership.
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Je ne suis pas votre LOGIQUE.
Ces gens de la societe civile ,comme vous les appelez ne comptent pas dans la lutte qu'ARISTIDE mene contre les IMPERIALISTES .
Les AMERICAINS connaissent ARISTIDE .Allez lire la lutte tenace de plus haut niveau,d'OBAMA lui-meme pour que ARISTIDE ne retournait pas en HAITI.
Les gens de la SOCIETE CIVILE ,comme vous les appelez,ne comptent pas en ce qui concerne ARISTIDE.
Ce n'est pas une LUTTE pour le POUVOIR,c'est une LUTTE pour sauver le PAYS.
La stature d'ARISTIDE continue de grandir,allez lire le dernier ARTICLE de HAITIAN TIMES (par SAM BOJARSKI)
qui est un JOURNAL de DROITE.
REGINALD BOULOS,APAID ak ASOSYE yo ,pa EKIPE pou yo konbat ARISTID san APWI ENPERYALIS yo.
Yo konn sa,MERIKEN yo konn sa
Ces gens de la societe civile ,comme vous les appelez ne comptent pas dans la lutte qu'ARISTIDE mene contre les IMPERIALISTES .
Les AMERICAINS connaissent ARISTIDE .Allez lire la lutte tenace de plus haut niveau,d'OBAMA lui-meme pour que ARISTIDE ne retournait pas en HAITI.
Les gens de la SOCIETE CIVILE ,comme vous les appelez,ne comptent pas en ce qui concerne ARISTIDE.
Ce n'est pas une LUTTE pour le POUVOIR,c'est une LUTTE pour sauver le PAYS.
La stature d'ARISTIDE continue de grandir,allez lire le dernier ARTICLE de HAITIAN TIMES (par SAM BOJARSKI)
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REGINALD BOULOS,APAID ak ASOSYE yo ,pa EKIPE pou yo konbat ARISTID san APWI ENPERYALIS yo.
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Joel- Super Star
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Pourtant ma logique est limpide
Le president est le président de tout le monde mais si les grandes institutions et ceux qui ont de l'Argent en Haiti ,comme c'est souvent le cas ,ne veulent pas de lui , on a un méchant problème Joel .
Le president est le président de tout le monde mais si les grandes institutions et ceux qui ont de l'Argent en Haiti ,comme c'est souvent le cas ,ne veulent pas de lui , on a un méchant problème Joel .
Marc H- Super Star
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Re: Yon ATIK LIBERATION sou POLITIK EDIKASYON BOLSONARO lan BREZIL
Trop SIMPLISTE.
Et si ces "grandes institutions",ceux qui ont de l'argent sont pareils aux memes?
Et puis ceux qui ont de l'argent.
D'ou vient leur argent?
Tous ceux dont vous avez fait reference ne veulent d'aucun changement.
C'est la raison pour laquelle ils ont peur d'ARISTIDE.
Ils ne peuvent pas faire competition,ils ont peur d'un pays "normal"
Et si ces "grandes institutions",ceux qui ont de l'argent sont pareils aux memes?
Et puis ceux qui ont de l'argent.
D'ou vient leur argent?
Tous ceux dont vous avez fait reference ne veulent d'aucun changement.
C'est la raison pour laquelle ils ont peur d'ARISTIDE.
Ils ne peuvent pas faire competition,ils ont peur d'un pays "normal"
Joel- Super Star
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Jeu de rôle: Le patriote
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