MArtine Moise accusée de menteuse

Daniel St Cyr est avec Evens Dubois et
16 autres personnes
.
16 min ·
Sa yo bay pou martine moise la rizèz anpil, anba ti vant, machann lèt anpil. Manzè gen don rizèz pou l ap jwe senaryo bay manti sa. Sa pa etonan nou sonje li te kòmanse plede nan dosye dèmalòg la. Ti vòlèz la rizèz anpil.
Fòk yo stop martine pi rapid posib nan senaryo bay manti pou fè kapital politik sou do avadra jovenel, ki mouri nan pye travay li.
Kiyes kap gen kouraj pou entèpelé martine pou di l sispann bay manti ou konnen se nan drogue jovenel mouri? Tout tan pa gen moun ou yon gwoup moun ki pran kouraj fè sa martine moise fèk kare itilize kapab avadra jovenel pou jwe sou emsoyon moun pou fè politik.


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Post EVANS DUBOIS yo toujou "sur le point".
Men denye nouvel NEW YORK TIMES sou "ANKET" SASINAY JOVENEL MOISElan:

https://www.nytimes.com/2021/08/02/world/americas/haiti-jovenel-moise-killing.html

Des Haïtiens enquêtant sur la mort du président, menacés, se cachent
Les fonctionnaires, deux greffiers et un juge d'instruction qui ont recueilli les preuves de l'assassinat du président Jovenel Moïse, se cachent désormais.

Trous de balles dans la vitre d'un des véhicules de sécurité du président Jovenel Moïse. Il a été tué chez lui il y a environ trois semaines.
Trous de balles dans la vitre d'un des véhicules de sécurité du président Jovenel Moïse. Il a été tué chez lui il y a environ trois semaines.Crédit...Orlando Barria/EPA, via Shutterstock
Par Anatoli Kourmanaïev
2 août 2021
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PORT-AU-PRINCE, Haïti - Ils ont examiné les corps du président haïtien assassiné et des mercenaires accusés d'avoir comploté pour le tuer. Maintenant, ils se cachent, changeant de lieu toutes les quelques heures, avec un sac à dos rempli de documents juridiques qui pourraient déterminer le sort du procès le plus important d'Haïti depuis des décennies.

Un juge et deux greffiers qui ont recueilli des preuves pour l'enquête sur le meurtre du président Jovenel Moïse ont déclaré lors d'entretiens et dans des plaintes formelles auprès du bureau du procureur que des appelants et des visiteurs inconnus les avaient poussés à modifier les déclarations sous serment des témoins. S'ils ne se conformaient pas, leur a-t-on dit, ils pourraient « s'attendre à une balle dans la tête ».

Leurs demandes d'aide aux autorités ont été ignorées, ont déclaré les greffiers, Marcelin Valentin et Waky Philostène ; et le juge de paix, Carl Henry Destin, mettant leur vie en danger.

Les menaces ont également mis en péril une enquête qui, selon les experts, a été entachée dès le début par des irrégularités – et que de nombreux Haïtiens craignent de ne pas révéler la vérité sur le meurtre, malgré les vœux des dirigeants actuels du pays de rendre justice rapidement.

"Il y a de grands intérêts en jeu qui ne sont pas intéressés par la résolution de cette affaire", a déclaré M. Valentin. "Il n'y a pas de progrès, pas de volonté de trouver la vérité."


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Carl Henry Destin, deuxième à partir de la droite, juge d'instruction, avec des policiers recueillant des preuves devant la résidence de M. Moïse à Port-au-Prince le 7 juillet.
Carl Henry Destin, deuxième à partir de la droite, juge d'instruction, avec des policiers recueillant des preuves devant la résidence de M. Moïse à Port-au-Prince le 7 juillet. Crédit...Valérie Baeriswyl/Agence France-Presse — Getty Images
Lors d'un entretien dans une maison sûre en Haïti, M. Valentin et M. Philostène ont décrit avoir été témoins de nombreuses violations de procédure alors qu'ils accompagnaient les juges d'instruction à la résidence du président et au domicile des suspects. La police a déplacé les corps des personnes soupçonnées d'être des assaillants, a emporté une partie des preuves et leur a refusé l'accès à la scène du crime pendant des heures, ont-ils déclaré, en violation du code juridique haïtien.

Plus de trois semaines après que des assaillants ont pris d'assaut la résidence de M. Moïse et lui ont tiré dessus à 12 reprises dans sa chambre, les enquêteurs haïtiens ont détenu ou recherchent plus de 50 suspects. Mais aucun des 44 détenus – dont les 18 commandos colombiens à la retraite accusés d'avoir participé à l'assaut de la résidence présidentielle et la plus d'une dizaine d'agents de sécurité chargés de protéger M. Moïse – n'a été inculpé ou traduit en justice.

La loi haïtienne exige que les suspects soient inculpés dans les 48 heures ou libérés, et les avocats représentant certains des suspects ont déclaré que le retard pourrait compromettre le procès. Beaucoup de personnes détenues n'ont pas été autorisées à bénéficier d'un avocat et certaines ont déclaré à des représentants légaux qu'elles avaient été battues pour leur extorquer des aveux.


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Des impacts de balles et de la suie sur la façade d'une maison à Port-au-Prince où certaines des personnes accusées d'être les assassins se seraient cachées la nuit où M. Moïse a été tué.
Des impacts de balles et de la suie sur la façade d'une maison à Port-au-Prince où certaines des personnes accusées d'être les assassins se seraient cachées la nuit où M. Moïse a été tué.Crédit...Victor Moriyama pour le New York Times
Bien que le système juridique haïtien soit depuis longtemps en proie à la corruption et aux dysfonctionnements , les experts et les avocats de la défense ont déclaré qu'ils n'avaient jamais vu de telles violations systématiques de la procédure régulière dans une affaire très médiatisée.

« Tout cela est hautement irrégulier et illégal », a déclaré Samuel Madistin, un avocat représentant deux des suspects. « Si les gens ne font pas confiance au processus, ils ne feront pas confiance au verdict. »

Quelques heures après l'assassinat de M. Moïse le 7 juillet, le Premier ministre par intérim du pays, Claude Joseph, s'est engagé à traduire les responsables en justice.

« Vous pouvez tuer le président, mais vous ne pouvez pas tuer ses rêves, vous ne pouvez pas tuer son idéologie et vous ne pouvez pas tuer ce pour quoi il se battait », a déclaré M. Joseph. « C'est pourquoi je suis déterminé à obtenir justice pour le président Jovenel Moïse .

Peu de temps après, M. Joseph a demandé à Interpol et aux agences de sécurité des États-Unis et de Colombie d'envoyer des enquêteurs en Haïti. Pourtant, une fois sur place, certains d'entre eux ont eu du mal à accéder aux preuves et aux suspects, selon des responsables proches de l'enquête. Ils disent que cela a gâché une occasion de faire avancer l'affaire à une phase cruciale.

En outre, aucun des suspects détenus ou recherchés par la police haïtienne ne semble avoir les ressources ou les relations pour organiser et financer un complot qui, selon les autorités haïtiennes et colombiennes, a été ourdi en Haïti et en Floride et impliquait de voler dans deux douzaines d'anciens commandos hautement qualifiés. de Colombie.

« Ce qui m'intéresse vraiment, c'est qu'on attrape la personne qui a donné l'ordre », a déclaré Martine Moïse, l'épouse de M. Moïse, qui a été grièvement blessée dans l'attaque . « Il s'agit de trouver les personnes qui ont payé l'argent.


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Martine Moïse, qui a été blessée dans l'attaque qui a tué son mari, a déclaré qu'elle était plus intéressée à trouver le cerveau de l'assassinat.
Martine Moïse, qui a été blessée dans l'attaque qui a tué son mari, a déclaré qu'elle était plus intéressée à trouver le cerveau de l'assassinat.Crédit...Maria Alejandra Cardona pour le New York Times
Mme Moïse a déclaré qu'elle avait placé ses espoirs de percée dans les enquêteurs internationaux, dont le Federal Bureau of Investigation, qui a envoyé une délégation pour aider la police haïtienne.

Rares sont ceux en Haïti qui croient que la police et les procureurs sous-payés et en sous-effectif du pays seront en mesure de trouver eux-mêmes le coupable ultime. Et le dysfonctionnement du système juridique du pays a rendu l'enquête vulnérable à la manipulation, ont déclaré des experts juridiques.

« Nous n'avons pas d'État de droit en Haïti », a déclaré Pierre Espérance, un éminent militant haïtien des droits humains. « Toutes les institutions ont été démantelées à des fins personnelles. »

M. Valentin, le greffier, a déclaré que peu après avoir assisté aux interrogatoires initiaux des suspects détenus et écrit leurs déclarations, il a reçu un appel téléphonique du chef de la sécurité de M. Moïse, Jean Laguel Civil, lui demandant ce qu'ils avaient dit.

L'assassinat du président haïtien
Un assassinat frappe une nation troublée : le meurtre du président Jovenel Moïse le 7 juillet a secoué Haïti, attisant la peur et la confusion quant à l'avenir. Bien que nous sachions beaucoup de choses sur cet événement, il y a encore beaucoup de choses que nous ne savons pas.
Un personnage au centre de l'intrigue : les interrogations tournent autour de l'arrestation du Dr Christian Emmanuel Sanon, 63 ans, un médecin lié à la Floride décrit comme ayant joué un rôle central dans la mort du président.
Plus de suspects : deux Américains font partie d'au moins 20 personnes qui ont été arrêtées jusqu'à présent. Plusieurs des personnes faisant l'objet d'une enquête se sont rencontrées dans les mois qui ont précédé le meurtre pour discuter de la reconstruction du pays après la chute du président, a déclaré la police haïtienne.
Des années d'instabilité : L'assassinat de M. Moïse intervient après des années d'instabilité dans le pays, qui a longtemps souffert de l'anarchie, de la violence et des catastrophes naturelles.
Plus tard dans la journée, a-t-il dit, il a reçu la visite dans son bureau d'un homme qu'il ne connaissait pas, qui a demandé à M. Valentin d'ajouter les noms de deux Haïtiens éminents - Reginald Boulos, un homme d'affaires, et Youri Latortue, un homme politique - aux déclarations des suspects, les impliquant en fait dans le complot.

Après le refus de M. Valentin, a-t-il dit, il a commencé à recevoir des menaces de mort.

« Greffier, vous pouvez vous attendre à une balle dans la tête », peut-on lire dans un SMS reçu par M. Valentin le 16 juillet, selon une copie d'une plainte officielle qu'il a déposée auprès du parquet. « Nous vous avons ordonné de faire quelque chose, et vous faites tout pour vous. »

M. Boulos, l'homme d'affaires, a cité la tentative de tisser son nom dans le complot comme un exemple de la façon dont des personnes puissantes tentaient de profiter de l'affaire pour persécuter les opposants.

"Ils n'ont pu trouver aucune preuve contre moi", a déclaré M. Boulos dans une interview, alors "ils essaient de renverser le processus en faisant pression et en menaçant les tribunaux".


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Un enquêteur médico-légal gardant des preuves à l'arrière d'un camion à la résidence Moïse le 15 juillet.
Un enquêteur médico-légal gardant des preuves à l'arrière d'un camion à la résidence Moïse le 15 juillet.Crédit...Ricardo Arduengo/Reuters
Le collègue de M. Valentin, M. Philostène, a déclaré avoir reçu des menaces similaires du même numéro à peu près au même moment.

M. Civil, le chef de la sécurité, a depuis été arrêté en lien avec l'assassinat. Son avocat n'a pas répondu à une demande de commentaire.

M. Valentin et M. Philostène ont déclaré que leurs plaintes concernant les menaces avaient été ignorées. Ils ont dit que le chef de la police et le ministre de la Justice leur avaient promis une escorte armée mais qu'elle n'est jamais venue.

M. Destin, le juge d'instruction qui s'est rendu sur les lieux du crime et a examiné le corps du président, a déclaré qu'il avait également subi des pressions pour modifier les déclarations sous serment et qu'il avait été menacé de mort s'il ne s'exécutait pas. Il a gardé l'interview courte, a-t-il dit, de peur de parler.

Le préfet de police, Léon Charles, n'a pas répondu aux nombreuses demandes d'interview.

La corruption ordinaire semble également avoir entaché l'enquête. Des documents judiciaires montrent que deux anciens soldats colombiens tués après l'assassinat ont été retrouvés avec environ 42 000 $ en espèces sur ou à proximité de leur corps. Dans les rapports de police ultérieurs, l'argent ne figure pas parmi les preuves trouvées sur les lieux.

Une telle malversation apparente, a déclaré M. Valentin, non seulement érode la confiance du public, mais, dans ce cas, peut avoir coûté aux enquêteurs la possibilité de retracer l'argent grâce aux numéros de série des factures.

"C'est un cas exceptionnel", a-t-il déclaré. "Mais il est mené dans le même système d'impunité et de corruption que tous les autres."

Karlos

Il faut croire que tout est possible en Haiti . Je te le dis ; tout est possible

Lougarou , zobop c'est vrai . ici je fais un clin d'oeil à notre bon ami Joel qui ne croit pas dans les loas vodoo.

MARC;
DESOLE,

Il n'y a pas de LOUGAROU ,par contre les ZOBOPS (SOCIETES SECRETES) existent.

A CUBA presque les memes ZOBOP qui existent en HAITI,elles ne sont pas secretes.

Quant aux LOUGAROUS,ce sont des LEGENDES EUROPEENNES que nous avons herite de la vieile FRANCE.

Ces legendes ont disparu en FRANCE

Il n'y a pas de LOAS,tout comme il n'y a pas de "SAINTS DANS LE CIEL"

Ce sont des manifestations culturelles.

Joel a écrit:Quant aux LOUGAROUS,ce sont des LEGENDES EUROPEENNES que nous avons herite de la vieile FRANCE.

Les loas sont hérités des Romains.
Les vévés sont hérités des Normands.
Les dieux vaudous ont quasiment tous des contre-parties chez les saints catholiques.

L'influence européenne est bien plus présente que vous ne le pensez dans les croyances haïtiennes

D'ailleurs le mambo et le tchatcha sont des danses développées en Haïti puis importées à Cuba par des gens ayant fui la révolution haïtienne.  



Et pour les Zobops, ce sont des croyances du Nord. Il n'y avait pas ça naturellement chez lavalas, loa vaudou du sud.

Non JUDE,vous tombez dans des lieux communs.

Les loas existaient a CUBA ,bien avant ceux qui avaient emigre a CUBA durant le mouvement revolutionnaire commence en 1791.

Le nom des LOAS sont des noms pour la plupart YORUBAS.

Ce sont les memes noms qu'ils ont a CUBA et au BRESIL.On les appelle ORISHAS a CUBA et au BRESIL.ORISHA est un nom YORUBA.

Cela veut dire qu'ils sont presents dans des religions d'origine AFRICAINE du BRESIL comme le CANDOMBLE et le MACUMBA.

J'ai le LIVRE de ALFRED METRAUX l'anthropologue BELGE qui avait publie "HAITIAN VOODDO" ,le "VAUDOU HAITIEN"

Il a fait une etude comparee des religions d'origine africaine dans les AMERIQUES;pour HAITI ,il avait la collaboration de JACQUES ROUMAIN et de la SOCIOLOGUE EDITH MENESSON RIGAUD.

Les RELIGIONS d'origine AFRICAINE sont plus "purs" a CUBA et au BRESILtout simplement ,ils n'ont pas eu les terribles campagnes de "REJETE" qu'on a eu en HAITI.

Savez vous que FIDEL CASTRO avait un enterrement "CHANGO" (d'apres le NEW YORK TIMES) qui avait dure 9 jours.

Dans la province d'ORIENTE d'ou les CASTROS sont originaires ,tout le monde est PRATIQUANT.....

Joel a écrit:Non JUDE,vous tombez dans des lieux communs.

Les loas existaient a CUBA ,bien avant ceux qui avaient emigre a CUBA durant le mouvement revolutionnaire commence en 1791.

Le nom des LOAS sont des noms pour la plupart YORUBAS.

Ce sont les memes noms qu'ils ont a CUBA et au BRESIL.On les appelle ORISHAS a CUBA et au BRESIL.ORISHA est un nom YORUBA.

Cela veut dire qu'ils sont presents dans des religions d'origine AFRICAINE du BRESIL comme le CANDOMBLE et le MACUMBA.

J'ai le LIVRE de ALFRED METRAUX l'anthropologue BELGE qui avait publie "HAITIAN VOODDO" ,le "VAUDOU HAITIEN"

Il a fait une etude comparee des religions d'origine africaine dans les AMERIQUES;pour HAITI ,il avait la collaboration de JACQUES ROUMAIN et de la SOCIOLOGUE EDITH MENESSON RIGAUD.

Les RELIGIONS d'origine AFRICAINE sont plus "purs" a CUBA et au BRESILtout simplement ,ils n'ont pas eu les terribles campagnes de "REJETE" qu'on a eu en HAITI.

Savez vous que FIDEL CASTRO avait un enterrement "CHANGO" (d'apres le NEW YORK TIMES) qui avait dure 9 jours.

Dans la province d'ORIENTE d'ou les CASTROS sont originaires ,tout le monde est PRATIQUANT.....  

Oh c'est un scoop sur Castro ! Je n'en avais absolument aucune idée ! Ça l'air d'être un large sujet, même si beaucoup de sources viennent de ses opposants politiques, les exilés cubains. Je vais me renseigner à ce sujet tout en gardant un œil sceptique et bien ouvert ! Car il faut faire attention, c'est comme si on demandait aux Israéliens de décrire l'Iran.

Pas de problemes si vous gardez un oeil sceptique.

J'aime faire des echanges avec ceux qui gardent un oeil sceptique c'est le plus sur moyen d'etre pret de la verite.

Si je vous avais dit que l'enterrement de CASTRO etait fait dans la CATHEDRALE de SANTIAGO ,vous ne seriez pas trop etonne pas ca?

Et puis dans la communaute cubaine ,la SANTERIA (le VODOU CUBAIN) n'est pas vu aussi negativement comme nous voyons notre VODOU.

Si vous allez a MIAMI dans tous les coins de rue ,a little HAVANA,vous trouvez des BOTANICA (OUNFO)et des BABALAWEYO (HOUGAN)
Et puis comme je l'ai deja dit ,les religions africaines n'ont pas subi les campagnes de desinformation ,de negativite comme c'est le cas en HAITI.

Il y a un article du NEW YORK TIMES sur la mort d'une MAMBO dans l'ETAT de BAHIA au BRESIL.
Ses FUNERAILLES etaient comme celle d'un PAPE.On y trouvait d'anciens GOUVERNEURS d'ETAT,des LEGISLATEURS etc...
Ca ne se ferait pas en HAITI ou le VODOU a ete DIABOLISE.....

Joel a écrit:Pas de problemes si vous gardez un oeil sceptique.

J'aime faire des echanges avec ceux qui gardent un oeil sceptique c'est le plus sur moyen d'etre pret de la verite.

Si je vous avais dit que l'enterrement de CASTRO etait fait dans la CATHEDRALE de SANTIAGO ,vous ne seriez pas trop etonne pas ca?

Et puis dans la communaute cubaine ,la SANTERIA (le VODOU CUBAIN) n'est pas vu aussi negativement comme nous voyons notre VODOU.

Si vous allez a MIAMI dans tous les coins de rue ,a little HAVANA,vous trouvez des BOTANICA (OUNFO)et des BABALAWEYO (HOUGAN)
Et puis comme je l'ai deja dit ,les religions africaines n'ont pas subi les campagnes de desinformation ,de negativite comme c'est le cas en HAITI.

Il y a un article du NEW YORK TIMES sur la mort d'une MAMBO dans l'ETAT de BAHIA au BRESIL.
Ses FUNERAILLES etaient comme celle d'un PAPE.On y trouvait d'anciens GOUVERNEURS d'ETAT,des LEGISLATEURS etc...
Ca ne se ferait pas en HAITI ou le VODOU a ete DIABOLISE.....  

La mort de Rosenfer avait été un évènement national... Malheureusement ou heureusement, encore aucun autre hougan n'avait réussi à atteindre cette stature.

Et merci, je suis en train de regarder les botanica et les babalaweyo, je n'avais jamais pensé à m'intéresser au vodou à Cuba avant aujourd'hui !

Joel

Mwen sevi loa puis tu me dis de manifestation de ceci de cela . Pa betize tande . Pa fe loa m yo fache contre vous .

Et pour les Zobops, ce sont des croyances du Nord. Il n'y avait pas ça naturellement chez lavalas, loa vaudou du sud. a écrit:

Sacré Jude , pourtant tu dis vrai . Lavalas est le nom d'un loa du sud . Aristide connait bien cela . Cela explique pourquoi et comment il a pu envoûté bien des haïtiens ...

JUDE;
Comme beaucoup de VENEZUELIENS ,HUGO CHAVEZ etait un pratiquant.

Dans l'un de ses voyages a CUBA ou il suivait des soins pour son CANCER,IL avait commissione l'un des plus grands services pour demander a CHANGO et ELEGUA(LEGBA) d'interceder pour lui