Un pasteur baptiste américain naturalisé haitien est contre Obama

Je me pose la question, est-ce que je rêve ou non sur l'élan d'Obama ?

Avez-vous lu l'entrevue du pasteur baptiste américain naturalisé haïtien sur OBama ? Il l'appelle Oussama et le traite de Musulman. Penseriez-vous que cette étiquette nuirait à Obama si jamais il serait nominé candidat aux élections de novembre 2008?

Terry Nelson, pasteur américain vivant en Haïti a dit :

Selon le révérend aux allures de basketteur, Barak Obama (qu’il a appelle par lapsus Ossama) ne peut pas remporter les élections, notamment par ce qu’il est musulman ou que des membres de sa famille le sont. Quoique le candidat de père kenyan et de mère américaine ait tout fait pour convaincre l’Amérique de sa chrétienté, voire aller assister a un service religieux dans un temple baptiste.

Les américains ne sont pas dupes, lance ce pasteur ayant collaboré dans sa jeunesse avec le célèbre télévangéliste baptiste Billy Graham. « Ils ne vont pas voter pour ceux qui ont essayé de les détruire à tout prix», indique ce conservateur américain.

La suite : http://www.haitipressnetwork.com/news.cfm?articleID=9651

Comment se fait-il que cet homme ait en sa possession un passeport haitien alors qu'il n'a jamais renoncé à son passeport américain?

Comment se fait-il que cet homme ait en sa possession un passeport haitien alors qu'il n'a jamais renoncé à son passeport américain?

Bonne question !
Ce qui veut dire que l'état haitien reconnait et accepte la double citoyenneté. Donc nous pouvons conclure qu'il y a discrimination envers les fils du pays comme moi dont l'État haitien, ma propre patrie ne reconnait pas ma citoyenneté haitienne.

Le mardi 12 fév 2008


Obama enflamme les électrices

Agence France-Presse

College Park, États-Unis

Cela se voit sur leur visage, cela s'entend dans leurs cris: elles disent que le «phénomène Obama» est indescriptible mais en parlent à leurs amies, leurs soeurs, leurs filles et leurs mères, et si possible reviennent le voir.

Barack Obama, 46 ans, s'est adressé lundi à une foule de 16 000 personnes entassées dans un stade universitaire de la ville de College Park dans le Maryland, à la veille de la primaire démocrate dans cet État. Le candidat n'a pas cillé quand des femmes interrompaient son discours de campagne pour lui crier leur «amour».





Photo Reuters

«Je vous aime aussi», s'est-il même interrompu pour répondre à un cri monté de la foule.

Le même jour, mais à des années-lumière dans le style, Hillary Clinton faisait aussi campagne. Elle a d'abord pris un café avec des électeurs de la ville de Washington, puis visité une usine d'automobiles «écologiques» du Maryland, avant de participer à une conférence universitaire en Virginie.

L'ex-première dame concède que les «envolées rhétoriques» ne sont pas son fort et préfère en appeler à la raison des électeurs: «Je veux que vous me demandiez des comptes», leur dit-elle.

A College Park, Barack Obama, fils d'une mère adolescente du Kansas et d'un étudiant kényan, a énuméré ses propositions pour mettre fin à la guerre en Irak, financer les études universitaires, mettre l'assurance maladie à portée de tous, suscitant ovations debout et trépignements d'enthousiasme.

Avant son arrivée sur l'estrade, des militants brandissaient des pancartes avec l'inscription «Barack, mon monde» ou «Faites la fête comme une Barack-star», sur fond de musique hip-hop, tandis qu'à l'extérieur une longue file de militants bravait des températures glaciales dans l'espoir de voir leur héros en chair et en os.

À la sortie du rassemblement, Karen Ruffin, 42 ans, a estimé que Barack Obama suscitait l'inspiration et l'espoir et l'a qualifié de «phénoménal». Elle avoue un pincement au coeur à l'idée de ne pas soutenir la première femme ayant une chance de conquérir la Maison-Blanche, «mais après quelques discours, il m'a progressivement convaincue».

Son amie Tyra Simpkins, 37 ans, est fan de toujours. «Je suis sûre qu'il va faire des tas de choses bien pour les handicapés», dit cette malade atteinte de sclérose en plaques. Son discours «m'a de nouveau rendue fière d'être américaine», ajoute-t-elle.

Barbara Jackson, 57 ans, est venue avec sa fille et sa petite-fille, expliquant que son soutien à Barack Obama venait de son désir de changer le cours de l'histoire américaine.

«Des gens sont morts pour que nous ayons le droit de nous asseoir ici, je voudrais que nos enfants et petits-enfants grandissent dans un monde différent de celui de notre enfance», explique-t-elle.

Marty Lallis, 61 ans, a expliqué qu'Obama lui rappelait Robert Kennedy, assassiné il y a quarante ans, quelques mois après Martin Luther King, alors qu'il briguait l'investiture présidentielle. «J'étais aussi enthousiaste pour Robert F. Kennedy quand j'étais adolescente - peut-être que je le suis encore un peu plus parce que je suis plus mûre».

«Chaque fois que je l'entends parler, mon espoir grandit et je deviens plus sûre qu'il serait le meilleur président possible», ajoute-t-elle, «il vous fait sentir qu'il s'adresse à vous personnellement».

On demande à Rachel Niederer, 21 ans, si elle connaît des électeurs ayant choisi Mme Clinton: «Mes grand-parents aiment Hillary, mais je ne connais personne de mon âge» dans ce cas, lâche-t-elle.

le pasteur est un menteur et que les journalistes haitiens ne vont pas le reprocher parcequ'ils sont des mendiants. la question posee la-dessus sur la double nationalite devrait etre posee par nos journalistes, mais comme ils sont tous en grande majorite des mediocres, ils ne vont pas se oser de poser une telle question a notre paternaliste pasteur; mais ils n'auront uncune hesitation de parler de "ti bebe nan pilon" et de soi-disant ceromonies sataniques au palais.

OBSERVER KEEN a écrit:le pasteur est un menteur et que les journalistes haitiens ne vont pas le reprocher parcequ'ils sont des mendiants. la question posee la-dessus sur la double nationalite devrait etre posee par nos journalistes, mais comme ils sont tous en grande majorite des mediocres, ils ne vont pas se oser de poser une telle question a notre paternaliste pasteur; mais ils n'auront uncune hesitation de parler de "ti bebe nan pilon" et de soi-disant ceromonies sataniques au palais.

BRAVO!

BRAVISSIMOOOOOOOOOOOOO! KEEN

Oui,ils reproduisent cette interview avec ce stupide ,cet ignorant pasteur qu'on retrouve une "dime a dozen" dans le Sud des Etats Unis.
Peut ètre que ces "journalistes veulent faire ce qu'on appelle de la transférance.Leur situation n'est pas claire après avoir fait le travail de la faction la plus vile la plus dégoutante des Républicains.
Eux aussi se sentent menacés par une administration Démocrate!