Elections générales anticipées ou Guerre Civile

Colo

mete youn ti dlo nan kleren w mon frè; pa jete lwil sou di fe ya non?Peyi ya pa ka pran youn chanbadman jeneral ankò.Guerre civile pa ladann mon frè.

Est-ce vraiment la realité ou ce que vous souhaiteriez?Vous me rappelez les jeunes du Souverain qui en 1957 vociferaient a la radio.Ils ne pouvaient pas attendre;ils etaient impatients ,intolerants et arrogants.Ils etaient tous des Duvalieristes.Duvalier sitot arrivé au pouvoir les exila tous soit en Afrique ou en Europe .Ils finissent leurs jours en exil(lol)

Ce n'est pas en deboulonnant ce gouvernement que nous aurions une amelioration pour nos concitoyens.Ce sera toujours les memes luttes pour le pouvoir.Critiquons avec objectivite ,mais respectons le mandat du President.

Guerre civile?

Cet homme est un ex macoute..gade bien figu misye

"L'autre enquête réalisée par une institution indépendante souligne que les biens de l'institution ont été pillés."

Quelle honte.je ne devrais pas etre etonné;ne dit-on pas qu'apres le départ d'un president les installations hygieniques du palais ont ete volées.Dans la nouvelle Constitution qui doit etre promulguée on devra repenser l'article qui accorde l'immunité aux Parlementaires.Ici aux Etats-Unis la FBI menotte les corrompus dans l'enceinte meme du batiment du Congres americain.

Vous voulez dire 47 pneus.?

Alors on comprend pourquoi les pauvres mangent la terre cuite en haiti.Ce qui indigne maintenant ce sont les fils du peuple qui le maintiennent dans cette souffrance à cause de leur malhonnèté.Est-ce pourquoi j'ai dit aucun fonctionnaire de l'etat ne devrait pouvoir se soustraire à la justice au nom d'une immunité.Gassant ,menottez les.Il faut que cette corruption finisse en haiti pour que les recettes de l'etat servent au bien-etre du plus grand nombre.

Quelle est la suite de cette histoire?

Le députe a-t-il été appréhendé ou est-t-il en circulation?

Quelle est l'action du parlement?

Haïti-Parlement-Justice


Mandat d’amener contre le Député Isidore Mercier


Invoquant le flagrant délit, le parquet de Port-au-Prince interdit également tout voyage à l’étranger du parlementaire à l’origine du sanglant incident de mardi

mercredi 2 avril 2008,
Radio Kiskeya






Le parquet de Port-au-Prince a décerné un mandat d’amener contre le Député Isidore Mercier accusé d’avoir ouvert le feu sur son collègue Anthony Dumont dans l’enceinte même du Palais Législatif, lors d’un grave incident mardi après-midi qui a fait un blessé, a appris mercredi Radio Kiskeya.

L’intéressé fait également l’objet de mesures d’interdiction de départ.

Aussitôt connue, la décision du parquet, qui fait suite à une tentative d’arrestation infructueuse d’Isidore Mercier, a commencé à soulever les protestations de Députés et Sénateurs qui ont fait valoir que le présumé coupable continuait de "jouir pleinement de son immunité parlementaire".

Un huissier de la Chambre des Députés, Antonio Célestin, a été légèrement touché à la clavicule et conduit à l’hôpital.

Mais, Mercier, représentant de Jérémie (Grand’Anse, sud-ouest) sous la bannière du Rassemblement des démocrates nationaux progressistes (RDNP), soutient que le projectile ayant atteint l’employé est parti accidentellement. En revanche, son collègue Anthony Dumont, élu de Léogâne et membre du même parti, affirme avoir échappé à une tentative d’assassinat.

Mardi, en fin de journée, le commissaire du gouvernement près le parquet du tribunal civil de Port-au-Prince, Claudy Gassant, avait fait demi-tour à l’issue d’une conversation avec le président de la Chambre basse, Pierre Eric Jean-Jacques, devant le Parlement. Dérogeant aux règles protocolaires, le Député était monté à bord du véhicule du magistrat afin de discuter de l’affaire qui avait attiré de nombreux curieux.

Auparavant, quatre substituts du commissaire du gouvernement avaient été violemment repoussés par des agents de sécurité en tentant de pénétrer dans la salle des séances de la Chambre des Députés pour appréhender Isidore Mercier sur la base du flagrant délit.

Des unités spécialisées de la Police Nationale et de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) étaient déployées pendant plusieurs heures autour du Palais Législatif dans le cadre de cette opération.

Depuis des semaines, les Députés, circulent dans leur grande majorité, armés et en gilet pare-balles à l’intérieur du Parlement, lieu de prédilection de batailles rangées entre groupes rivaux qui n’hésitent pas à proférer des menaces de mort les uns contre les autres.

Des incidents à répétition impliquant des parlementaires ont déjà entraîné, ces derniers mois, l’intervention du parquet de Port-au-Prince et suscité de sérieuses interrogations au sein de la population sur la moralité de ses représentants. spp/Radio Kiskeya