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President of World Bank to visit Haiti
Sasaye Sam 18 Oct 2008 - 15:12
President of World Bank to visit Haiti
Friday, 17 October 2008
World Bank President Robert Zoellick is scheduled to visit Haiti next week to rally international support for the country, which was ravaged by four successive storms since August.
Mr. Zoellick who is scheduled to meet with donor, civil society and private sector representatives while in Port au Prince, believes the international community needs to step up to the challenge and support the efforts of the Haitian government and its people.
Since 2005, the World Bank has approved 240 million US dollars in assistance for Haiti, including a recent 10 million US dollar emergency grant to help the government respond to the food price crisis.
Friday, 17 October 2008
World Bank President Robert Zoellick is scheduled to visit Haiti next week to rally international support for the country, which was ravaged by four successive storms since August.
Mr. Zoellick who is scheduled to meet with donor, civil society and private sector representatives while in Port au Prince, believes the international community needs to step up to the challenge and support the efforts of the Haitian government and its people.
Since 2005, the World Bank has approved 240 million US dollars in assistance for Haiti, including a recent 10 million US dollar emergency grant to help the government respond to the food price crisis.
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Re: President of World Bank to visit Haiti
Rodlam Sans Malice Sam 18 Oct 2008 - 16:20
We want the World bank to cancel haiti's debt.The poor didn't benefit from these debts.It would really be a great humanitarian gesture to cancel all haiti's debts.
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Re: President of World Bank to visit Haiti
piporiko Sam 18 Oct 2008 - 16:45
Dominique Strauss-Kahn soupçonné d'abus de pouvoir au FMI
Dominique Strauss-Kahn fait l'objet d'une enquête du Fonds monétaire international (FMI) pour un éventuel abus de pouvoir dans le cadre d'une liaison avec une subordonnée, a annoncé l'institution samedi. L'ancien ministre français nie tout népotisme ou discrimination envers cette femme, qui a quitté le FMI cet été. Un porte-parole du FMI, William Murray, a déclaré que le doyen du conseil d'administration du Fonds, A. Shakour Shaalan, avait eu connaissance à l'été de ces allégations, et que le FMI avait engagé le cabinet d'avocats Morgan, Lewis, & Bockius pour mener l'enquête.
Le conseil d'administration devrait recevoir un rapport sur ces investigations d'ici la fin octobre, selon M. Murray, qui a confirmé les informations révélées par le "Wall Street Journal".
Dominique Strauss-Kahn a affirmé dans un communiqué qu'il coopérait pleinement avec l'enquête du FMI sur "un incident qui s'est produit dans (sa) vie privée en janvier 2008". "A aucun moment je n'ai abusé de ma position en tant que directeur général du Fonds", assure-t-il. Il souhaite "que les faits soient établis aussi rapidement que possible", a confirmé M. Murray.
Selon le "Wall Street Journal", Dominique Strauss-Kahn a entretenu une liaison avec une ancienne haute responsable du département Afrique du FMI, Piroska Nagy, aujourd'hui en poste à la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) à Londres. Un porte-parole de la BERD a dit ne rien savoir de l'enquête.
A Washington, un avocat de Piroska Nagy, Me Robert Litt, a déclaré que sa cliente ne faisait pas de commentaire sur sa vie privée mais qu'elle n'avait bénéficié d'aucun traitement de faveur ni subi aucune discrimination, et avait quitté le FMI en août de son plein gré.
D'après le "WSJ", qui cite plusieurs personnes sans les nommer, l'ex-ministre socialiste de l'Economie, âgé de 59 ans, aurait approché Mme Nagy en décembre 2007. Ils auraient échangé des courriels et entamé une relation intime cette année lors d'une conférence en Europe, selon les mêmes sources. Peu de temps après, l'époux de cette femme, un économiste argentin ayant travaillé au FMI, aurait trouvé des courriels compromettants et la relation aurait pris fin.
Le socialiste "DSK", ancien ministre français de l'Economie, a été nommé à l'automne 2007 au poste de directeur général du FMI pour un mandat de cinq ans. Il souhaite profondément réformer l'institution pour la doter d'un rôle de surveillance des marchés financiers et d'alerte réclamé par plusieurs dirigeants européens dans le contexte actuel de crise financière internationale.
La révélation de cette éventuelle affaire intervient 15 mois après le départ de la direction de la Banque mondiale de Paul Wolfowitz, poussé vers la sortie pour favoritisme en raison d'une promotion et d'indemnités de départ confortables accordées à Shaha Riza, sa compagne de longue date et salariée du FMI. AP
Dominique Strauss-Kahn fait l'objet d'une enquête du Fonds monétaire international (FMI) pour un éventuel abus de pouvoir dans le cadre d'une liaison avec une subordonnée, a annoncé l'institution samedi. L'ancien ministre français nie tout népotisme ou discrimination envers cette femme, qui a quitté le FMI cet été. Un porte-parole du FMI, William Murray, a déclaré que le doyen du conseil d'administration du Fonds, A. Shakour Shaalan, avait eu connaissance à l'été de ces allégations, et que le FMI avait engagé le cabinet d'avocats Morgan, Lewis, & Bockius pour mener l'enquête.
Le conseil d'administration devrait recevoir un rapport sur ces investigations d'ici la fin octobre, selon M. Murray, qui a confirmé les informations révélées par le "Wall Street Journal".
Dominique Strauss-Kahn a affirmé dans un communiqué qu'il coopérait pleinement avec l'enquête du FMI sur "un incident qui s'est produit dans (sa) vie privée en janvier 2008". "A aucun moment je n'ai abusé de ma position en tant que directeur général du Fonds", assure-t-il. Il souhaite "que les faits soient établis aussi rapidement que possible", a confirmé M. Murray.
Selon le "Wall Street Journal", Dominique Strauss-Kahn a entretenu une liaison avec une ancienne haute responsable du département Afrique du FMI, Piroska Nagy, aujourd'hui en poste à la Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) à Londres. Un porte-parole de la BERD a dit ne rien savoir de l'enquête.
A Washington, un avocat de Piroska Nagy, Me Robert Litt, a déclaré que sa cliente ne faisait pas de commentaire sur sa vie privée mais qu'elle n'avait bénéficié d'aucun traitement de faveur ni subi aucune discrimination, et avait quitté le FMI en août de son plein gré.
D'après le "WSJ", qui cite plusieurs personnes sans les nommer, l'ex-ministre socialiste de l'Economie, âgé de 59 ans, aurait approché Mme Nagy en décembre 2007. Ils auraient échangé des courriels et entamé une relation intime cette année lors d'une conférence en Europe, selon les mêmes sources. Peu de temps après, l'époux de cette femme, un économiste argentin ayant travaillé au FMI, aurait trouvé des courriels compromettants et la relation aurait pris fin.
Le socialiste "DSK", ancien ministre français de l'Economie, a été nommé à l'automne 2007 au poste de directeur général du FMI pour un mandat de cinq ans. Il souhaite profondément réformer l'institution pour la doter d'un rôle de surveillance des marchés financiers et d'alerte réclamé par plusieurs dirigeants européens dans le contexte actuel de crise financière internationale.
La révélation de cette éventuelle affaire intervient 15 mois après le départ de la direction de la Banque mondiale de Paul Wolfowitz, poussé vers la sortie pour favoritisme en raison d'une promotion et d'indemnités de départ confortables accordées à Shaha Riza, sa compagne de longue date et salariée du FMI. AP
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Re: President of World Bank to visit Haiti
piporiko Sam 18 Oct 2008 - 16:47
Le FMI enquête sur une liaison de son patron Dominique Strauss-Kahn avec une employée
Amandine AMBREGNI Le directeur du Fonds monétaire international (FMI), le Français Dominique Strauss-Kahn, est la cible d'une enquête pour népotisme dans le cadre de relations intimes avec une subordonnée, une affaire qui fait écho au scandale ayant provoqué la chute du patron de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz, l'an dernier. L'institution, qui est l'un des acteurs de premier plan ces dernières semaines avec l'explosion de la crise financière, a ouvert une enquête sur son directeur avec l'intention de tirer les choses au clair rapidement, a indiqué samedi un porte-parole à l'AFP.
Le cabinet d'avocats Morgan, Lewis and Bockius, retenu par le Fonds, doit rendre ses conclusions "d'ici la fin du mois", selon le porte-parole. "Toutes les allégations, et en particulier celles impliquant la haute direction, sont prises extrêmement au sérieux".
M. Strauss-Kahn, considéré comme l'une des plus éminentes figures politiques européennes en matière d'économie, a été nommé en septembre 2007 à la tête du FMI pour réformer en profondeur cette institution.
A ce stade, le FMI n'a pas voulu entrer dans les détails de l'enquête, alors que le quotidien Wall Street Journal en a relaté les grandes lignes, dans son édition de samedi.
L'affaire porte sur une relation extra-conjugale qu'aurait eu M. Strauss-Kahn, âgé de 59 ans, avec Piroska Nagy, une ancienne haute responsable d'origine hongroise du département Afrique du FMI, mariée. M. Strauss-Kahn aurait approché Mme Nagy en décembre 2007. Les deux intéressés seraient devenus intimes début 2008, mais l'affaire aurait tourné court peu après, le mari de Mme Nagy ayant découvert des échanges de courriels compromettants.
Les enquêteurs se demandent si M. Strauss-Kahn, ex-ministre français de l'Economie à la tête du Fonds depuis un an, a fait preuve de favoritisme à l'égard de Mme Nagy dans le cadre de ses missions au sein du FMI, et s'il n'aurait pas également cherché à se venger, une fois la relation terminée.
Mme Nagy a démissionné en août, au moment où le fonds a supprimé environ 600 postes. Son avocat a indiqué au Wall Street Journal qu'elle n'avait subi aucune pression pour quitter le FMI, et que ses émoluments de départ étaient équivalents à ceux perçus par ses pairs.
Au FMI, l'enquête a été déclenchée par le doyen de l'institution, Shakour Shaalan, qui représente l'Egypte et d'autres pays arabes au conseil d'administration du FMI après avoir "eu écho de certaines allégations cet été", a expliqué William Murray. "Le doyen a fait appel à un conseil externe pour mener une enquête et déterminer la validité de ces allégations".
Dans un communiqué, M. Strauss-Kahn a indiqué donner "son plein soutien" à cette enquête, portant "sur un incident survenu dans ma vie privée en janvier 2008.
"J'ai coopéré et je continue de coopérer", a-t-il poursuivi, en assurant "n'avoir jamais abusé de (sa) position de directeur du Fonds".
La volonté du FMI d'aller vite pour limiter l'ampleur d'un éventuel scandale fait écho à une affaire similaire concernant Paul Wolfowitz, l'ex-patron de la Banque mondiale, accusé en mai 2007 d'avoir indûment assuré l'avancement de sa compagne employée par la banque.
Outre la démission forcée de celui qui avait été initialement nommé pour assainir les pratiques de gestion de l'institution, l'affaire avait sérieusement écorné la crédibilité de la Banque mondiale, débouchant sur une véritable crise institutionnelle.
Un scandale d'une telle envergure serait malvenu pour le FMI à un moment où l'institution se concentre sur le soutien aux pays les plus touchés par la crise financière.
L'institution, qui réunit 185 pays, a multiplié les interventions depuis l'éclatement de la crise en septembre, plaidant en faveur d'actions concertées entre Etats. Elle a contribué au vaste plan de soutien élaboré par les pays du G7, le week-end dernier à Washington.
Dominique Strauss-Kahn, marié à la journaliste Anne Sinclair, est père de quatre enfants, nés de deux précédentes unions.AFP
Amandine AMBREGNI Le directeur du Fonds monétaire international (FMI), le Français Dominique Strauss-Kahn, est la cible d'une enquête pour népotisme dans le cadre de relations intimes avec une subordonnée, une affaire qui fait écho au scandale ayant provoqué la chute du patron de la Banque Mondiale, Paul Wolfowitz, l'an dernier. L'institution, qui est l'un des acteurs de premier plan ces dernières semaines avec l'explosion de la crise financière, a ouvert une enquête sur son directeur avec l'intention de tirer les choses au clair rapidement, a indiqué samedi un porte-parole à l'AFP.
Le cabinet d'avocats Morgan, Lewis and Bockius, retenu par le Fonds, doit rendre ses conclusions "d'ici la fin du mois", selon le porte-parole. "Toutes les allégations, et en particulier celles impliquant la haute direction, sont prises extrêmement au sérieux".
M. Strauss-Kahn, considéré comme l'une des plus éminentes figures politiques européennes en matière d'économie, a été nommé en septembre 2007 à la tête du FMI pour réformer en profondeur cette institution.
A ce stade, le FMI n'a pas voulu entrer dans les détails de l'enquête, alors que le quotidien Wall Street Journal en a relaté les grandes lignes, dans son édition de samedi.
L'affaire porte sur une relation extra-conjugale qu'aurait eu M. Strauss-Kahn, âgé de 59 ans, avec Piroska Nagy, une ancienne haute responsable d'origine hongroise du département Afrique du FMI, mariée. M. Strauss-Kahn aurait approché Mme Nagy en décembre 2007. Les deux intéressés seraient devenus intimes début 2008, mais l'affaire aurait tourné court peu après, le mari de Mme Nagy ayant découvert des échanges de courriels compromettants.
Les enquêteurs se demandent si M. Strauss-Kahn, ex-ministre français de l'Economie à la tête du Fonds depuis un an, a fait preuve de favoritisme à l'égard de Mme Nagy dans le cadre de ses missions au sein du FMI, et s'il n'aurait pas également cherché à se venger, une fois la relation terminée.
Mme Nagy a démissionné en août, au moment où le fonds a supprimé environ 600 postes. Son avocat a indiqué au Wall Street Journal qu'elle n'avait subi aucune pression pour quitter le FMI, et que ses émoluments de départ étaient équivalents à ceux perçus par ses pairs.
Au FMI, l'enquête a été déclenchée par le doyen de l'institution, Shakour Shaalan, qui représente l'Egypte et d'autres pays arabes au conseil d'administration du FMI après avoir "eu écho de certaines allégations cet été", a expliqué William Murray. "Le doyen a fait appel à un conseil externe pour mener une enquête et déterminer la validité de ces allégations".
Dans un communiqué, M. Strauss-Kahn a indiqué donner "son plein soutien" à cette enquête, portant "sur un incident survenu dans ma vie privée en janvier 2008.
"J'ai coopéré et je continue de coopérer", a-t-il poursuivi, en assurant "n'avoir jamais abusé de (sa) position de directeur du Fonds".
La volonté du FMI d'aller vite pour limiter l'ampleur d'un éventuel scandale fait écho à une affaire similaire concernant Paul Wolfowitz, l'ex-patron de la Banque mondiale, accusé en mai 2007 d'avoir indûment assuré l'avancement de sa compagne employée par la banque.
Outre la démission forcée de celui qui avait été initialement nommé pour assainir les pratiques de gestion de l'institution, l'affaire avait sérieusement écorné la crédibilité de la Banque mondiale, débouchant sur une véritable crise institutionnelle.
Un scandale d'une telle envergure serait malvenu pour le FMI à un moment où l'institution se concentre sur le soutien aux pays les plus touchés par la crise financière.
L'institution, qui réunit 185 pays, a multiplié les interventions depuis l'éclatement de la crise en septembre, plaidant en faveur d'actions concertées entre Etats. Elle a contribué au vaste plan de soutien élaboré par les pays du G7, le week-end dernier à Washington.
Dominique Strauss-Kahn, marié à la journaliste Anne Sinclair, est père de quatre enfants, nés de deux précédentes unions.AFP
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Re: President of World Bank to visit Haiti
Invité Dim 19 Oct 2008 - 10:15
Robert Zoellick, welcome home!
Rien qu'à jetter un coup d'oeil sur notre forum, vous pouvez déjà imaginer l'accueil que nous vous réservons.
Regardez notre page d'accueil: Sarkozy en haut, et Dessalines en bas.
Nous allons faire de meme pour vous, toutes les meilleures places seront réservées à vous.
Bienvenue parmi nous!
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