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Funes devan lan premye rezilta eleksyon El Salvador
Sasaye Dim 15 Mar 2009 - 23:33
Exit polls show leftist leader ahead of conservative in El Salvador election
Last Updated: Sunday, March 15, 2009 | 10:05 PM ET
CBC News
Left-wing candidate Mauricio Funes is ahead of conservative candidate Rodrigo Avila in Sunday's presidential election in El Salvador, Reuters news agency reports, citing four exit polls.
One poll by La Prensa Grafica had Funes of the leftist Farabundo Marti National Liberation Front, or FMLN, at 51.1 per cent of the vote and Avila of the ruling Nationalist Republican Alliance (ARENA) party with 48.9 per cent. Reuters said.
The other polls had Funes leading by as much as 14 percentage points.
Sunday's vote is the FMLN's first real shot at an election victory since the country's 12-year civil war ended almost two decades ago and members of the guerrilla movement formed their political party.
Presidential candidate Mauricio Funes of the Farabundo Marti National Liberation Front casts his ballot during presidential elections in El Salvador on Sunday. (Dario Lopez-Mills/AP Photo)
Funes's slogan is, "This time it's different."
Funes, 49, a former television journalist, was not part of the guerrilla movement and did not fight in the war. He promises to ease the burden of the economic crisis on El Salvador's poor and maintain good relations with the United States.
Avila, 44, the former national police chief, has said an FMLN victory would send El Salvador down a communist path and threaten the country's warm relations with the U.S.
The country sends most of its exports to the U.S., and its economy benefits from billions of dollars sent home by 2.5 million Salvadorans who live in the U.S.
The Obama government has assured Salvadorans it will work with any leader elected, a marked departure from the Bush administration, which in 2004 suggested that an FMLN victory would hurt ties.
The vote comes at a time of increasing fuel and food prices and ongoing gang wars over drug-dealing turf, resulting in one of Latin America's highest homicide rates.
With files from the Associated Press
Last Updated: Sunday, March 15, 2009 | 10:05 PM ET
CBC News
Left-wing candidate Mauricio Funes is ahead of conservative candidate Rodrigo Avila in Sunday's presidential election in El Salvador, Reuters news agency reports, citing four exit polls.
One poll by La Prensa Grafica had Funes of the leftist Farabundo Marti National Liberation Front, or FMLN, at 51.1 per cent of the vote and Avila of the ruling Nationalist Republican Alliance (ARENA) party with 48.9 per cent. Reuters said.
The other polls had Funes leading by as much as 14 percentage points.
Sunday's vote is the FMLN's first real shot at an election victory since the country's 12-year civil war ended almost two decades ago and members of the guerrilla movement formed their political party.
Presidential candidate Mauricio Funes of the Farabundo Marti National Liberation Front casts his ballot during presidential elections in El Salvador on Sunday. (Dario Lopez-Mills/AP Photo) Funes's slogan is, "This time it's different."
Funes, 49, a former television journalist, was not part of the guerrilla movement and did not fight in the war. He promises to ease the burden of the economic crisis on El Salvador's poor and maintain good relations with the United States.
Avila, 44, the former national police chief, has said an FMLN victory would send El Salvador down a communist path and threaten the country's warm relations with the U.S.
The country sends most of its exports to the U.S., and its economy benefits from billions of dollars sent home by 2.5 million Salvadorans who live in the U.S.
The Obama government has assured Salvadorans it will work with any leader elected, a marked departure from the Bush administration, which in 2004 suggested that an FMLN victory would hurt ties.
The vote comes at a time of increasing fuel and food prices and ongoing gang wars over drug-dealing turf, resulting in one of Latin America's highest homicide rates.
With files from the Associated Press
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Re: Funes devan lan premye rezilta eleksyon El Salvador
piporiko Dim 15 Mar 2009 - 23:45
Lundi 16 mars 2009
Salvador: le candidat de la gauche Mauricio Funes se déclare président élu
Mauricio Funes, candidat de l'ex-guérilla d'extrême gauche du Salvador, s'est déclaré dimanche soir président élu de ce pays d'Amérique centrale dirigé par la droite depuis 20 ans, alors que les derniers résultats officiels lui donnaient l'avantage sur plus de 90% des bulletins.
Lundi 16 mars 2009 04:21
Salvador: le candidat de la gauche Mauricio Funes se déclare président élu
Mauricio Funes, candidat de l'ex-guérilla d'extrême gauche du Salvador, s'est déclaré dimanche soir président élu de ce pays d'Amérique centrale dirigé par la droite depuis 20 ans, alors que les derniers résultats officiels lui donnaient l'avantage sur plus de 90% des bulletins.
Lundi 16 mars 2009 04:21
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Re: Funes devan lan premye rezilta eleksyon El Salvador
Rodlam Sans Malice Lun 16 Mar 2009 - 0:02
Zafè Gnbist yo nan ti godet. Fusi yo chanje zepol.neg yo telman inkyete pou yo ba tet yo kouraj yo envante tout kalite pwosè ki pral komanse.Qui vivra verra.Apre nou se nou .(lol)
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Re: Funes devan lan premye rezilta eleksyon El Salvador
piporiko Lun 16 Mar 2009 - 10:38
Le candidat conservateur à la présidentielle salvadorienne Rodrigo Avila a concédé la victoire à Mauricio Funes, ancien journaliste et candidat de l'ex-guérilla marxiste du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN) qui accède au pouvoir pour la première fois depuis la fin de la guerre civile, il y a 17 ans. Lire la suite l'article
Avila a souhaité bonne chance à son adversaire mais avertit d'ores et déjà qu'il allait mener une opposition solide. Il a fait cette annonce alors que Funes était largement en tête après dépouillement dans 73% des bureaux de vote. D'après ces résultats officiels partiels, Mauricio Funes totalisait 52% des votes et son adversaire Rodrigo Avila, 48%, a déclaré le président du Tribunal suprême électoral Walter Araujo.
La victoire de Mauricio Funes, 49 ans, signifie l'éviction des conservateurs de Rodrigo Avila, 44 ans, de l'Alliance républicaine nationaliste (ARENA), au pouvoir depuis la sanglante guerre civile de 1980-1992, qui avait fait 75.000 morts. Funes rejoint ainsi la vague de gauche qui s'est propagée en Amérique latine.
Les partisans de Mauricio Funes, tout de rouge vêtus et des drapeaux à la main, ont envahi les rues de la capitale San Salvador, en criant, applaudissant et sifflant pour fêter leur victoire, avant même les résultats finaux.
Beaucoup de Salvadoriens veulent du changement après deux décennies d'ARENA. Les prix du carburant et de l'alimentation ont flambé. Des gangs très puissants rackettent les entrepreneurs et le trafic de drogue est en pleine expansion. Le pays détient le triste record du taux d'homicides le plus élevé d'Amérique du Sud.
Quelque 4,2 millions de Salvadoriens étaient appelés aux urnes dimanche. AP
Avila a souhaité bonne chance à son adversaire mais avertit d'ores et déjà qu'il allait mener une opposition solide. Il a fait cette annonce alors que Funes était largement en tête après dépouillement dans 73% des bureaux de vote. D'après ces résultats officiels partiels, Mauricio Funes totalisait 52% des votes et son adversaire Rodrigo Avila, 48%, a déclaré le président du Tribunal suprême électoral Walter Araujo.
La victoire de Mauricio Funes, 49 ans, signifie l'éviction des conservateurs de Rodrigo Avila, 44 ans, de l'Alliance républicaine nationaliste (ARENA), au pouvoir depuis la sanglante guerre civile de 1980-1992, qui avait fait 75.000 morts. Funes rejoint ainsi la vague de gauche qui s'est propagée en Amérique latine.
Les partisans de Mauricio Funes, tout de rouge vêtus et des drapeaux à la main, ont envahi les rues de la capitale San Salvador, en criant, applaudissant et sifflant pour fêter leur victoire, avant même les résultats finaux.
Beaucoup de Salvadoriens veulent du changement après deux décennies d'ARENA. Les prix du carburant et de l'alimentation ont flambé. Des gangs très puissants rackettent les entrepreneurs et le trafic de drogue est en pleine expansion. Le pays détient le triste record du taux d'homicides le plus élevé d'Amérique du Sud.
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Re: Funes devan lan premye rezilta eleksyon El Salvador
piporiko Lun 16 Mar 2009 - 10:40
Catherine Bremer
Mauricio Funes, candidat des anciens rebelles de gauche du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN), a remporté l'élection présidentielle de dimanche au Salvador, où la gauche accède au pouvoir après vingt ans de règne de la droite incarnée par le parti Arena (Alliance républicaine nationale). Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées MAURICIO FUNES REMPORTE LA PRÉSIDENTIELLE AU SALVADOR Agrandir la photo Agé de 49 ans, cet ancien journaliste de télévision, qui a travaillé pour CNN pendant la guerre civile, obtient, avec 51,3% des voix près de trois points de plus que son rival de l'Arena, l'ancien chef de la police nationale Rodrigo Avila, lequel recueille 48,7%. Avila a reconnu sa défaite et promis de diriger une "opposition constructive".
Après des années d'opposition pacifique, le FMLN bénéficie de la lassitude des électeurs après 20 années de domination conservatrice et des inquiétudes que suscite la crise économique mondiale.
Il s'agit d'une victoire historique de la gauche dans ce pays d'Amérique centrale au terme d'une campagne difficile qui a ravivé les souvenirs de la guerre civile responsable de 75.000 morts de 1980 à 1992.
"Mon parti, le FMLN, a montré au monde entier qu'il était prêt à gouverner", a déclaré Funes dans une allocution au cours de laquelle il a appelé l'Arena à la réconciliation et à l'union. "A compter de maintenant, j'invite les différentes forces sociales et politiques à construire ensemble cette union", a continué le vainqueur.
Funes a annoncé que sa priorité serait de s'attaquer aux conséquences de la crise financière mondiale sur le Salvador. Il entend réprimer la fraude fiscale et créer des emplois afin de permettre aux émigrants salvadoriens de revenir des Etats-Unis, où vivent un quart des Salvadoriens. Il entend également investir dans l'agriculture afin de réduire la dépendance du pays vis-à-vis des importations dans ce secteur.
UN VICE-PRÉSIDENT PLUS À GAUCHE QUE FUNES
"Il n'y a pas de temps à perdre. Dès demain, nous allons commencer à prendre les décisions nécessaires", a dit Funes.
Le nouvel élu entend en outre lutter contre la corruption. Son succès électoral fait basculer le Salvador dans le camp des Etats latino-américains gouvernés par la gauche, dont la figure de proue est le président vénézuélien Hugo Chavez.
Mais si la gauche, après nombre de pays dont le Brésil, l'Argentine, l'Equateur, le Paraguay ou le Chili, remporte une nouvelle victoire latino-américaine, le président que vient d'élire le Salvador se dit modéré, partisan de l'économie de marché et d'un maintien des relations étroites avec Washington.
Il est toutefois flanqué d'un vice-président élu, Salvador Sanchez, qui appartient à la vieille école du FMLN et pourrait bien faire pencher la politique de Funes plus à gauche, et pousser davantage le pays vers une situation à la vénézuélienne.
Durant la guerre civile, les Etats-Unis ont soutenu financièrement les gouvernements de la droite salvadorienne dans leur combat contre le Front Farabundo Marti.
Au pouvoir depuis 1989, l'Arena avait maintenu le pays dans le camp des Etats favorables aux Américains, participant même à la force internationale en Irak.
Mauricio Funes, candidat des anciens rebelles de gauche du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN), a remporté l'élection présidentielle de dimanche au Salvador, où la gauche accède au pouvoir après vingt ans de règne de la droite incarnée par le parti Arena (Alliance républicaine nationale). Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées MAURICIO FUNES REMPORTE LA PRÉSIDENTIELLE AU SALVADOR Agrandir la photo Agé de 49 ans, cet ancien journaliste de télévision, qui a travaillé pour CNN pendant la guerre civile, obtient, avec 51,3% des voix près de trois points de plus que son rival de l'Arena, l'ancien chef de la police nationale Rodrigo Avila, lequel recueille 48,7%. Avila a reconnu sa défaite et promis de diriger une "opposition constructive".
Après des années d'opposition pacifique, le FMLN bénéficie de la lassitude des électeurs après 20 années de domination conservatrice et des inquiétudes que suscite la crise économique mondiale.
Il s'agit d'une victoire historique de la gauche dans ce pays d'Amérique centrale au terme d'une campagne difficile qui a ravivé les souvenirs de la guerre civile responsable de 75.000 morts de 1980 à 1992.
"Mon parti, le FMLN, a montré au monde entier qu'il était prêt à gouverner", a déclaré Funes dans une allocution au cours de laquelle il a appelé l'Arena à la réconciliation et à l'union. "A compter de maintenant, j'invite les différentes forces sociales et politiques à construire ensemble cette union", a continué le vainqueur.
Funes a annoncé que sa priorité serait de s'attaquer aux conséquences de la crise financière mondiale sur le Salvador. Il entend réprimer la fraude fiscale et créer des emplois afin de permettre aux émigrants salvadoriens de revenir des Etats-Unis, où vivent un quart des Salvadoriens. Il entend également investir dans l'agriculture afin de réduire la dépendance du pays vis-à-vis des importations dans ce secteur.
UN VICE-PRÉSIDENT PLUS À GAUCHE QUE FUNES
"Il n'y a pas de temps à perdre. Dès demain, nous allons commencer à prendre les décisions nécessaires", a dit Funes.
Le nouvel élu entend en outre lutter contre la corruption. Son succès électoral fait basculer le Salvador dans le camp des Etats latino-américains gouvernés par la gauche, dont la figure de proue est le président vénézuélien Hugo Chavez.
Mais si la gauche, après nombre de pays dont le Brésil, l'Argentine, l'Equateur, le Paraguay ou le Chili, remporte une nouvelle victoire latino-américaine, le président que vient d'élire le Salvador se dit modéré, partisan de l'économie de marché et d'un maintien des relations étroites avec Washington.
Il est toutefois flanqué d'un vice-président élu, Salvador Sanchez, qui appartient à la vieille école du FMLN et pourrait bien faire pencher la politique de Funes plus à gauche, et pousser davantage le pays vers une situation à la vénézuélienne.
Durant la guerre civile, les Etats-Unis ont soutenu financièrement les gouvernements de la droite salvadorienne dans leur combat contre le Front Farabundo Marti.
Au pouvoir depuis 1989, l'Arena avait maintenu le pays dans le camp des Etats favorables aux Américains, participant même à la force internationale en Irak.
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