Eugénisme et agenda mondial de dépopulation
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Eugénisme et agenda mondial de dépopulation
«Dans
l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un
virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la
surpopulation» – Extrait de la préface de la biographie «Si j’étais un animal» du Prince Philip
Différentes personnes à différents moments ont été
attirées par différents aspects de l’eugénisme – et ont aussi souvent
rejeté d’autres. Il n’y a pas d’emballage parfait, pas de quartier
général ni de maitre guide. L’eugénisme est plutôt une collection
d’idées et de projets à propos de l’amélioration de la race humaine par
le contrôle social de la reproduction humaine. Le mouvement eugénique
s’est répandu à travers le monde et affecte toutes les facettes de la
vie sociale. Personne n’a besoin de chercher bien loin pour trouver
l’eugénisme. C’est dans les livres d’école, dans les journaux et tous
les médias, dans la science-fiction, dans les gouvernements et ainsi de
suite. C’est une manière de penser à propos de la vie que des personnes
très intelligentes ont fait la promotion depuis un siècle, avec peu ou
pas de résistance les cinquante dernières années. (Source)
Il existe encore un grand nombre de personnes parmi
le public en général, les universitaires et spécialement ceux qui
travaillent pour les médias corporatifs, qui sont toujours en déni face
à l’agenda de réduction de la population mondial pourtant bien
documenté, ainsi que des conséquences de ce programme que nous voyons
déjà prendre forme. Cet article, qui fait suite à Eugénisme & darwinisme social
qui lui jetait les bases historiques de cette idéologie, se veut une
compilation d’évidences en vue de prouver que l’élite a été obsédée par
l’eugénisme et son incarnation moderne, le contrôle de la population,
depuis plus d’une centaine d’années, et que ce but de réduction de la
population globale est toujours en pleine force jusqu’à ce jour.
1• Des philanthropes milliardaires qui ont assisté
au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de
Microsoft, ont discuté de joindre leur force pour vaincre les obstacles
politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la
surpopulation mondiale. Ce club, nommé le «Good Club», discute de
dépopulation mondiale.
Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.
La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai
dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du
monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur
ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur
milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David
Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni
Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence
d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du
groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ;
Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge,
ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David
Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et
Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.
La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation »,
comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant
a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en
place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin
d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent
incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)
2• Ted Turner, l’un des participant et riche
propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme
et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser
de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation,
sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de
condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour
promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et
Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des
«organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le
mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son
travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour
la réduction de la population. (Source)
3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant
américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus
grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement
modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une
compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse
par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller,
ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100
millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR,
réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son
idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture,
travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.
Le CGIAR a été
façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de
conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les
principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar,
de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ;
Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong,
l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de
l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation
Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à
Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation
depuis des décennies afin de mettre la science au service de
l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été
appelé Le Projet.
Pour assurer un
impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et
l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des
Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée
soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation
Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de
façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.
Financé par de
généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le
Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a
veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de
l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de
«maitriser» les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et
afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé
un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie
américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la
«Révolution génétique» des OGM dans les pays en voie de développement,
et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et
libre. (Voir l'article «L'arche de Noé végétale»).
Créer génétiquement une race de maitres ?
«Le Projet» est le
projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers
depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé
génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par
génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres
Aryens.
L’eugénisme d’Hitler fut
financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui
construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier»
afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre
planète. A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation
Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie
moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie
humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils,
pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les
caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme
d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis
après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques
eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des
diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au
sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation
Rockefeller.
La même Fondation
Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un
voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien
Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie
Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.
La Révolution verte
visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré,
au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller
travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug,
remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il
n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tel que Henry Kissinger
ont partagé le même prix.
En réalité, comme cela
est apparu des années plus tard, la révolution verte était une
brillante idée de la famille Rockefeller pour développer une
agro-industrie mondialisée dont ils pourraient ensuite prendre le
monopole tout comme ils l’avaient fait dans le monde de l’industrie
pétrolière et qui avait commencé un demi-siècle auparavant. Comme Henry
Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : «Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population.» (Source)
l’éventualité où je serais réincarné, je voudrais revenir comme un
virus mortel, afin de contribuer en quelque chose pour résoudre la
surpopulation» – Extrait de la préface de la biographie «Si j’étais un animal» du Prince Philip
Différentes personnes à différents moments ont été
attirées par différents aspects de l’eugénisme – et ont aussi souvent
rejeté d’autres. Il n’y a pas d’emballage parfait, pas de quartier
général ni de maitre guide. L’eugénisme est plutôt une collection
d’idées et de projets à propos de l’amélioration de la race humaine par
le contrôle social de la reproduction humaine. Le mouvement eugénique
s’est répandu à travers le monde et affecte toutes les facettes de la
vie sociale. Personne n’a besoin de chercher bien loin pour trouver
l’eugénisme. C’est dans les livres d’école, dans les journaux et tous
les médias, dans la science-fiction, dans les gouvernements et ainsi de
suite. C’est une manière de penser à propos de la vie que des personnes
très intelligentes ont fait la promotion depuis un siècle, avec peu ou
pas de résistance les cinquante dernières années. (Source)
Il existe encore un grand nombre de personnes parmi
le public en général, les universitaires et spécialement ceux qui
travaillent pour les médias corporatifs, qui sont toujours en déni face
à l’agenda de réduction de la population mondial pourtant bien
documenté, ainsi que des conséquences de ce programme que nous voyons
déjà prendre forme. Cet article, qui fait suite à Eugénisme & darwinisme social
qui lui jetait les bases historiques de cette idéologie, se veut une
compilation d’évidences en vue de prouver que l’élite a été obsédée par
l’eugénisme et son incarnation moderne, le contrôle de la population,
depuis plus d’une centaine d’années, et que ce but de réduction de la
population globale est toujours en pleine force jusqu’à ce jour.
1• Des philanthropes milliardaires qui ont assisté
au sommet organisé par l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de
Microsoft, ont discuté de joindre leur force pour vaincre les obstacles
politiques et religieux qui s’opposent au changement concernant la
surpopulation mondiale. Ce club, nommé le «Good Club», discute de
dépopulation mondiale.
Sous le titre « Le Club des milliardaires tente de juguler la croissance démographique », le Sunday Times du 24 mai a révélé la tenue d’une réunion secrète qui en dit long sur la volonté politique de l’oligarchie financière.
La rencontre, qui s’est tenue à New York le 5 mai
dernier, a été organisée à l’initiative de Bill Gates, fondateur du
monopole Microsoft, grand promoteur des simulateurs de meurtres sur
ordinateur et parrain de Facebook, de Warren Buffet, spéculateur
milliardaire et financier de la Fondation Gates, et de David
Rockefeller. Au-delà de ces trois là, la petite sauterie a réuni
Michael Bloomberg, maire de New York et fondateur de l’agence
d’information financière du même nom ; Peter Peterson, fondateur du
groupe financier Blackstone et grand avocat de l’austérité budgétaire ;
Julian Robertson, patron du fond Tiger Management ; John Morgridge,
ancien pdg de Cisco Systems ; Eli Broad, spéculateur immobilier ; David
Rockefeller Jr, fils du premier ; Ted Turner, fondateur de CNN ; et
Oprah Winfrey, animatrice phare de la télé américaine.
La réunion a débuté par une présentation de chacun des participants sur la cause qu’il défend, mais très vite, nous apprend le Times, la discussion s’est transformée, sous l’impulsion de Bill Gates, en un consensus sur la « surpopulation »,
comme la cause supérieure qui englobe les autres. Un autre participant
a confié qu’ils étaient aussi parvenus à un consensus pour mettre en
place une stratégie « dans laquelle la croissance démographique serait attaquée comme menace écologique, sociale et industrielle ». Les participants ont souligné leur « besoin
d’être indépendant des agences gouvernementales qui se révèlent
incapables d’affronter le désastre que tous nous voyons venir ». De prochaines réunions sont d’ores et déjà prévues pour organiser la mise en œuvre de cette stratégie. (Source)
2• Ted Turner, l’un des participant et riche
propriétaire d’un empire médiatique, est fermement imprégné d’eugénisme
et de réduction de la population mondiale qu’il voudrait voir baisser
de 95% pour être idéale, selon un interview qu’il a accordé à Audubon Magazine en 1996: «Une population totale de 250-300 millions de personnes, un déclin de 95% par rapport aux présents niveaux, serait idéal». Turner a donné un milliard de dollars à une organisation nommée Fondation des Nations Unies. Cette organisation créée par Turner et la Turner Fondation,
sont dévouées au contrôle de la population par la distribution de
condoms, la promotion de l’avortement et autres méthodes pour
promouvoir l’agenda eugénique, tout comme d’autres tels que Bill et
Melinda Gates qui ont aussi donné de larges sommes d’argents à des
«organisations charitables» qui servent réellement à promouvoir le
mouvement eugénique. Turner a même reçu un prix de l’ONU pour son
travail en développement durable, qui n’est qu’un autre nom code pour
la réduction de la population. (Source)
3• La Fondation Bill & Melinda Gates, le géant
américain de l’agrobusiness DuPont/Pioneer Hi-Bred, l’un des plus
grands propriétaires de fabriques de semences brevetés et génétiquement
modifiés (OGM) et de produits agrochimiques apparentés; Syngenta, une
compagnie de semences OGM et de produits agrochimiques basée en Suisse
par l’intermédiaire de sa Fondation Syngenta; la Fondation Rockefeller,
ce groupe privé qui a créé la «révolution génétique», avec plus de 100
millions de dollars d’argent des semences depuis les années 1970; le CGIAR,
réseau mondial créé par la Fondation Rockefeller afin de promouvoir son
idéal de pureté génétique à travers un changement de l’agriculture,
travaillent ensemble à des projets communs, dont la Réserve mondiale de semence à Svalbard.
Le CGIAR a été
façonné lors d’une série de conférences privées tenues au centre de
conférence de la Fondation Rockefeller à Bellagio, en Italie. Les
principaux participants aux débats de Bellagio étaient George Harrar,
de la Fondation Rockefeller ; Forrest Hill, de la Fondation Ford ;
Robert McNamara, de la Banque mondiale, et Maurice Strong,
l’organisateur international de la famille Rockefeller au niveau de
l’environnement et qui, en tant que fiduciaire de la Fondation
Rockefeller, organisa Sommet de la Terre (Earth Summit) de l’ONU, à
Stockholm, en 1972. Cela faisait partie de l’objectif de la fondation
depuis des décennies afin de mettre la science au service de
l’eugénisme, une hideuse version de la pureté raciale, et qui a été
appelé Le Projet.
Pour assurer un
impact maximum, le CGIAR a appelé l’Organisation pour l’alimentation et
l’agriculture des Nations Unies, le Programme de développement des
Nations Unies et la Banque mondiale. Ainsi, par le biais d’une levée
soigneusement planifiée de son premier appel de fonds, la Fondation
Rockefeller, à partir du début des années 1970, était en mesure de
façonner la politique agricole mondiale. Et elle l’a façonnée, en effet.
Financé par de
généreuses bourses d’étude de Rockefeller et de la Fondation Ford, le
Groupe consultatif sur la recherche agricole internationale (CGIAR) a
veillé à ce que les scientifiques et agronomes principaux de
l’agriculture du Tiers-Monde soient amenés aux États-Unis afin de
«maitriser» les concepts de production de l’agro-industrie moderne, et
afin de les ramener dans leur patrie. Durant ce processus, ils ont créé
un réseau d’influence inestimable pour la promotion de l’agro-industrie
américaine dans ces pays, et plus particulièrement la promotion de la
«Révolution génétique» des OGM dans les pays en voie de développement,
et tout cela au nom de la science et d’un marché agricole efficace et
libre. (Voir l'article «L'arche de Noé végétale»).
Créer génétiquement une race de maitres ?
«Le Projet» est le
projet de la Fondation Rockefeller et de puissants intérêts financiers
depuis les années 1920 afin d’utiliser l’eugénisme, plus tard rebaptisé
génétique, pour justifier la création d’une race de maitres créée par
génie génétique. Hitler et les Nazis l’appelaient la race des maitres
Aryens.
L’eugénisme d’Hitler fut
financé dans une large mesure par la même Fondation Rockefeller qui
construit aujourd’hui une «réserve de semences du jugement dernier»
afin de préserver des échantillons de chaque semence présente sur notre
planète. A présent, ceci devient vraiment intrigant. La même Fondation
Rockefeller créa la pseudo-science de la discipline de la biologie
moléculaire dans leur poursuite incessante visant à réduire la vie
humaine à la «définition d’une séquence génique» qui, espéraient-ils,
pourrait alors être modifiée dans le but de modifier les
caractéristiques humaines à volonté. Les scientifiques de l’eugénisme
d’Hitler, dont beaucoup ont été tranquillement amenés aux États-Unis
après la guerre afin de poursuivre leurs recherches biologiques
eugénistes, ont jeté une grande partie des bases du génie génétique des
diverses formes de vie, soutenues ouvertement en grande partie jusqu’au
sein du troisième Reich par les généreuses bourses de la Fondation
Rockefeller.
La même Fondation
Rockefeller créa ce que l’on appelle la révolution verte, durant un
voyage au Mexique effectué en 1946 par Nelson Rockefeller et l’ancien
Secrétaire à l’agriculture du New Deal et fondateur de la compagnie
Pioneer Hi-Bred Seed, Henry Wallace.
La Révolution verte
visait à résoudre le problème de la faim dans le monde à un haut degré,
au Mexique, en Inde et dans d’autres pays choisis où Rockefeller
travaillait. L’agronome de la Fondation Rockefeller, Norman Borlaug,
remporta un prix Nobel de la paix pour son travail, une chose dont il
n’y a pas de quoi se vanter lorsque des gens tel que Henry Kissinger
ont partagé le même prix.
En réalité, comme cela
est apparu des années plus tard, la révolution verte était une
brillante idée de la famille Rockefeller pour développer une
agro-industrie mondialisée dont ils pourraient ensuite prendre le
monopole tout comme ils l’avaient fait dans le monde de l’industrie
pétrolière et qui avait commencé un demi-siècle auparavant. Comme Henry
Kissinger l’a déclaré dans les années 1970 : «Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays ; si vous contrôlez l’alimentation, vous contrôlez la population.» (Source)
piporiko- Super Star
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Feuille de personnage
Jeu de rôle: L'impulsif
Re: Eugénisme et agenda mondial de dépopulation
4• L’idéologie d’eugénisme et de réduction de la
population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et
celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que
ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de
réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances
en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant
unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation
d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants
sont le problème qu’il faut éliminer.
Alors que la planète
subit une chute drastique de la production de biens indispensables au
maintien de sa population, le Fonds mondial pour la nature
(anciennement World Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport
Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque
«les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux»
représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la
consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% — pour
commencer.
Selon ce rapport, plus
des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la
consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme
d’«empreinte écologique»). Les auteurs en viennent à demander la
«réduction de la population, de la consommation individuelle et des
ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des
services». Pour la première fois, le WWF s’en prend même à la
consommation d’eau.
Ce rapport, dont les
recommandations, si elles étaient appliquées, conduiraient à la mort de
centaines de milliers d’hommes, a été co-rédigé par des membres de la
Société zoologique de Londres. A l’origine du WWF, on trouve le prince
Bernard des Pays-Bas et son co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg,
le prince consort de la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Le prince
Bernard était un nazi, membre des SS, qui, contraint de démissionner du
parti en vue de sa fonction royale, signa sa lettre de démission par un
«Heil Hitler !».
Le critère d’«empreinte écologique» dont se sert le WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust,
qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population
mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus. (Source)
5• Dans une des rares sortie publique par les
médias, Jonathon Porritt, un des principaux conseillers environnemental
de Gordon Brown, a averti que la Grande Bretagne doit réduire
radicalement sa population si elle désire construire une société
durable. L’annonce a été faite à la conférence annuelle du groupe Optimum Population Trust
(OPT), duquel il est le patron. Selon leur recherche, la population
britannique devrait être réduite à 30 millions, soit la moitié de ce
qu’elle est présentement. (Source)
En Australie, un groupe de lobby environnemental, le Sustainable Population Australia,
soutient que nous devons réduire drastiquement la population mondiale
ainsi que d’adopter une politique d’un enfant unique pour sauver la
planète. Selon ce groupe de 1300 activistes, c’est le seul moyen
d’éviter un «suicide environnemental». La présidente du groupe, Sandra
Kanck, suggère que la population australienne soit réduite de 22 à 7
millions de personnes pour s’attaquer aux changements climatiques. (Source)
De même, la BBC publiait un article de John Feeney,
déclarant que la croissance non contrôlée de la population mine les
efforts pour la sauver la planète. Il demande au mouvement
environnemental de cesser de fuir ce sujet controversé. On y mentionne
une autre organisation qui lutte en ce sens: Global Population Speak Out. (Source)
6• Des scientifiques qui se joignent en groupes tels que le Global Population Speak Out (GPSO) font pressions sur les médias pour briser le tabou de la surpopulation mondiale:
Je fais partie d’un groupe de scientifiques,
répartis dans 24 Pays, qui s’est engagé à convaincre les médias de
faire cesser le tabou qui s’oppose à toute discussion relative aux
problèmes posés par la taille et la croissance de la population humaine
en relation notamment avec la dégradation de l’environnement. Nous
maintenons ce tabou à notre péril et à celui de millions d’autres
espèces.
La surpopulation est
étroitement liée à toutes les formes de dégradation de l’environnement
dont nous prenons conscience maintenant : disparition d’espèces,
modifications du climat, pollutions, désertifications, diminution des
réserves aquatiques, déforestations, etc., or la croissance
démographique mondiale est préoccupante.
Il est illusoire de
penser qu’en réduisant notre consommation (même s’il est bon de le
faire) nous arriverons à corriger les excès dus à la croissance
ininterrompue de la population humaine; personne ne peut réduire ses
besoins organiques à zéro, il faut pour cela ne pas exister. Il est
temps de réfléchir à ces problèmes démographiques et de préparer
l’opinion à une perception nouvelle de leur évolution.
Le problème de la
limitation des naissances est difficile dans les pays en voie de
développement où de grossières erreurs ont été commises dans le passé.
Mais les erreurs doivent être utiles pour progresser.
Il faudra dans
ces pays, par recours aux médias sans doute, mieux y éduquer les femmes
en exposant de nouvelles options concernant la taille des familles ; il
faudra mieux protéger l’enfance pour qu’une forte mortalité ne soit
plus la justification des familles nombreuses; il faudra enfin rendre
les moyens de contraception facilement accessibles à tous.
Le projet d’aboutir
rapidement à un palier de croissance de la population humaine et, par
la suite, à sa décroissance est une option dont dépend l’avenir de
notre espèce et du reste du monde vivant. (Source)
D’autre, comme le Dr Eric R. Pianka, un biologiste
américain basé à l’Université du Texas à Austin qui prononce des
discours au niveau international, fait la promotion d’un génocide de
masse de 90% de la race humaine pour sauver la planète et est applaudit
chaudement par ses pairs. Durant un discours à l’Académie des sciences
du Texas en 2006, Pianka proposait d’exterminer 90% de la population
mondiale à l’aide du virus Ebola. (Source)
En 2002, le Melbourne Age
rapportait que des documents nouvellement découverts détaillaient le
plan de l’éminent immunologiste Sir Macfarlane Burnet pour aider le
gouvernement australien à développer des armes biologiques qui
pourraient être utilisées contre l’Indonésie et autres pays
«surpeuplés» de l’Asie du Sud-Est. Sir Macfarlane recommandait dans ce
rapport secret de 1947 que des armes chimiques et biologiques pouvaient
être développées pour détruire les cultures de pays asiatiques
surpeuplés et répandre des maladies infectieuses qui affecteraient que
ces pays tropicaux et non pas l’Australie. Cet homme a notamment été le
directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research
et il reçu un prix Nobel de médecine en 1960. Il est décédé en 1985,
mais ses théories sur l’immunité et la «sélection de clonage» ont servi
à établir la base de la biotechnologie moderne et de l’ingénierie
génétique. (Source)
La controverse entourant les commentaires d’un autre
favori du milieu scientifique, le généticien James Watson, qui a
déclaré au journal le Sunday Times que les noirs sont moins
intelligents que les blancs de façon inhérente, ne devrait pas
surprendre personne qui sait que Watson a rempli un important rôle en
promouvant la pseudo-science de l’eugénisme. Watson fut le directeur du
Projet génome humain
jusqu’en 1992 et reconnu pour avoir été le co-découvreur de la
structure de la double-hélice d’ADN, une réussite qui lui méritera un
prix Nobel en 1962. Mais ce que la plupart ignore, c’est que Watson a
joué un rôle crucial dans l’avancement de la légitimité de
l’eugénisme/réduction de la population depuis des décennies.
James Watson est un important promoteur du dépistage
génétique, un test qui détermine si un couple est plus à risque d’avoir
un bébé ayant un désordre génétique héréditaire. Puisque le dépistage a
évidemment augmenté le nombre d’avortement d’enfants considérés
«imparfaits», plusieurs ont dénoncé son introduction comme étant rien
de moins qu’un camouflage pour l’eugénisme ou «eugénisme volontaire». (Source)
7• Dans un document que Henry Kissinger rédigea en
avril 1974 alors qu’il était Conseiller à la Sécurité Nationale
américaine, le National Security Study Memorandum 200, il conclut : «Le dépeuplement est l’axe prioritaire de la politique étrangère américaine dans les pays du Tiers-monde».
Le document, qui visait treize pays en particulier pour une réduction
massive de leur population, suggérait d’employer la famine, la
stérilisation et la guerre pour y parvenir. Ce document gouvernemental
fut rendu public en 1989 et identifiait ces pays comme étant d’un
intérêt spécial pour les objectifs géopolitiques des États-Unis et
expliquait ce pourquoi la croissance de la population, particulièrement
celle des jeunes personnes, était vue comme une menace révolutionnaire
contre les corporations américaines. Les pays nommés étaient l’Inde, le
Bangladesh, le Pakistan, le Nigeria, le Mexique, l’Indonésie, le
Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie
et la Colombie.
8• Lord Bertrand Russell écrivait dans son livre «The Impact of Science on Society»:
«Présentement, la population du monde augmente… La guerre jusqu’à
maintenant n’a pas eu de grands effets sur cette augmentation… Je ne
prétends pas que le contrôle des naissances est le seul moyen par
lequel une population peut être empêchée d’augmenter. Il y en a
d’autres… La guerre a été plutôt décevante à cet égard, mais peut-être
qu’une guerre bactériologique pourrait s’avérer efficace. Si une Mort
Noire pouvait se répandre à travers le monde à chaque génération, les
survivants pourraient procréer librement sans trop remplir le monde…» (Source)
9• «…des formes avancées de guerre biologique qui peuvent cibler des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique d’un royaume de la terreur en un outil politiquement pratique.»
Qui a écrit ces mots dans leur propre document de stratégie? Les nazis? Le régime de Pol Pot?
Non, c’était Paul Wolfowitz, Dick Cheney, William
Kristol, Donald Rumsfeld et le reste des collaborateurs néo-cons qui
ont formé ce qui était nommé le Project For a New American Century – qui constituait le cadre idéologique de l’ancienne administration Bush. (Source)
Il existe aujourd’hui des armes biologiques qui ont
la capacité d’affecter et de tuer seulement certains génotypes
particuliers, comme les Africains, Asiatiques, etc.
population est bien intégrée dans le mouvement environnementaliste et
celui de la théorie du réchauffement climatique causé par l’homme. Que
ce soit correctement attribué à l’homme ou pas, les mêmes idées de
réduire le nombre de population mondiale, de contrôler les naissances
en adoptant des mesures eugéniques imitant la politique de l’enfant
unique de la Chine et autres mesures dont l’avortement et la taxation
d’enfants supplémentaires, sont présentes. L’humain et même les enfants
sont le problème qu’il faut éliminer.
Alors que la planète
subit une chute drastique de la production de biens indispensables au
maintien de sa population, le Fonds mondial pour la nature
(anciennement World Wildlife Fund) a publié le 29 octobre son Rapport
Planète vivante (Living Planet Report 2008), affirmant que, puisque
«les besoins des hommes en nourriture, eau, énergie et matériaux»
représentent la plus grande menace pour la biodiversité, la
consommation humaine devrait être réduite d’au moins 30% — pour
commencer.
Selon ce rapport, plus
des trois quarts de la population mondiale vivent dans des pays dont la
consommation dépasse leur bio-capacité (exprimée sous forme
d’«empreinte écologique»). Les auteurs en viennent à demander la
«réduction de la population, de la consommation individuelle et des
ressources utilisées ou des déchets émis pour produire des biens et des
services». Pour la première fois, le WWF s’en prend même à la
consommation d’eau.
Ce rapport, dont les
recommandations, si elles étaient appliquées, conduiraient à la mort de
centaines de milliers d’hommes, a été co-rédigé par des membres de la
Société zoologique de Londres. A l’origine du WWF, on trouve le prince
Bernard des Pays-Bas et son co-penseur, le Prince Philip d’Edimbourg,
le prince consort de la Reine Elisabeth II d’Angleterre. Le prince
Bernard était un nazi, membre des SS, qui, contraint de démissionner du
parti en vue de sa fonction royale, signa sa lettre de démission par un
«Heil Hitler !».
Le critère d’«empreinte écologique» dont se sert le WWF fut élaboré par une fondation britannique, l’Optimum Population Trust,
qui fait ouvertement campagne pour réduire des deux tiers la population
mondiale afin de la ramener à deux ou trois milliards d’individus. (Source)
5• Dans une des rares sortie publique par les
médias, Jonathon Porritt, un des principaux conseillers environnemental
de Gordon Brown, a averti que la Grande Bretagne doit réduire
radicalement sa population si elle désire construire une société
durable. L’annonce a été faite à la conférence annuelle du groupe Optimum Population Trust
(OPT), duquel il est le patron. Selon leur recherche, la population
britannique devrait être réduite à 30 millions, soit la moitié de ce
qu’elle est présentement. (Source)
En Australie, un groupe de lobby environnemental, le Sustainable Population Australia,
soutient que nous devons réduire drastiquement la population mondiale
ainsi que d’adopter une politique d’un enfant unique pour sauver la
planète. Selon ce groupe de 1300 activistes, c’est le seul moyen
d’éviter un «suicide environnemental». La présidente du groupe, Sandra
Kanck, suggère que la population australienne soit réduite de 22 à 7
millions de personnes pour s’attaquer aux changements climatiques. (Source)
De même, la BBC publiait un article de John Feeney,
déclarant que la croissance non contrôlée de la population mine les
efforts pour la sauver la planète. Il demande au mouvement
environnemental de cesser de fuir ce sujet controversé. On y mentionne
une autre organisation qui lutte en ce sens: Global Population Speak Out. (Source)
6• Des scientifiques qui se joignent en groupes tels que le Global Population Speak Out (GPSO) font pressions sur les médias pour briser le tabou de la surpopulation mondiale:
Je fais partie d’un groupe de scientifiques,
répartis dans 24 Pays, qui s’est engagé à convaincre les médias de
faire cesser le tabou qui s’oppose à toute discussion relative aux
problèmes posés par la taille et la croissance de la population humaine
en relation notamment avec la dégradation de l’environnement. Nous
maintenons ce tabou à notre péril et à celui de millions d’autres
espèces.
La surpopulation est
étroitement liée à toutes les formes de dégradation de l’environnement
dont nous prenons conscience maintenant : disparition d’espèces,
modifications du climat, pollutions, désertifications, diminution des
réserves aquatiques, déforestations, etc., or la croissance
démographique mondiale est préoccupante.
Il est illusoire de
penser qu’en réduisant notre consommation (même s’il est bon de le
faire) nous arriverons à corriger les excès dus à la croissance
ininterrompue de la population humaine; personne ne peut réduire ses
besoins organiques à zéro, il faut pour cela ne pas exister. Il est
temps de réfléchir à ces problèmes démographiques et de préparer
l’opinion à une perception nouvelle de leur évolution.
Le problème de la
limitation des naissances est difficile dans les pays en voie de
développement où de grossières erreurs ont été commises dans le passé.
Mais les erreurs doivent être utiles pour progresser.
Il faudra dans
ces pays, par recours aux médias sans doute, mieux y éduquer les femmes
en exposant de nouvelles options concernant la taille des familles ; il
faudra mieux protéger l’enfance pour qu’une forte mortalité ne soit
plus la justification des familles nombreuses; il faudra enfin rendre
les moyens de contraception facilement accessibles à tous.
Le projet d’aboutir
rapidement à un palier de croissance de la population humaine et, par
la suite, à sa décroissance est une option dont dépend l’avenir de
notre espèce et du reste du monde vivant. (Source)
D’autre, comme le Dr Eric R. Pianka, un biologiste
américain basé à l’Université du Texas à Austin qui prononce des
discours au niveau international, fait la promotion d’un génocide de
masse de 90% de la race humaine pour sauver la planète et est applaudit
chaudement par ses pairs. Durant un discours à l’Académie des sciences
du Texas en 2006, Pianka proposait d’exterminer 90% de la population
mondiale à l’aide du virus Ebola. (Source)
En 2002, le Melbourne Age
rapportait que des documents nouvellement découverts détaillaient le
plan de l’éminent immunologiste Sir Macfarlane Burnet pour aider le
gouvernement australien à développer des armes biologiques qui
pourraient être utilisées contre l’Indonésie et autres pays
«surpeuplés» de l’Asie du Sud-Est. Sir Macfarlane recommandait dans ce
rapport secret de 1947 que des armes chimiques et biologiques pouvaient
être développées pour détruire les cultures de pays asiatiques
surpeuplés et répandre des maladies infectieuses qui affecteraient que
ces pays tropicaux et non pas l’Australie. Cet homme a notamment été le
directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research
et il reçu un prix Nobel de médecine en 1960. Il est décédé en 1985,
mais ses théories sur l’immunité et la «sélection de clonage» ont servi
à établir la base de la biotechnologie moderne et de l’ingénierie
génétique. (Source)
La controverse entourant les commentaires d’un autre
favori du milieu scientifique, le généticien James Watson, qui a
déclaré au journal le Sunday Times que les noirs sont moins
intelligents que les blancs de façon inhérente, ne devrait pas
surprendre personne qui sait que Watson a rempli un important rôle en
promouvant la pseudo-science de l’eugénisme. Watson fut le directeur du
Projet génome humain
jusqu’en 1992 et reconnu pour avoir été le co-découvreur de la
structure de la double-hélice d’ADN, une réussite qui lui méritera un
prix Nobel en 1962. Mais ce que la plupart ignore, c’est que Watson a
joué un rôle crucial dans l’avancement de la légitimité de
l’eugénisme/réduction de la population depuis des décennies.
James Watson est un important promoteur du dépistage
génétique, un test qui détermine si un couple est plus à risque d’avoir
un bébé ayant un désordre génétique héréditaire. Puisque le dépistage a
évidemment augmenté le nombre d’avortement d’enfants considérés
«imparfaits», plusieurs ont dénoncé son introduction comme étant rien
de moins qu’un camouflage pour l’eugénisme ou «eugénisme volontaire». (Source)
7• Dans un document que Henry Kissinger rédigea en
avril 1974 alors qu’il était Conseiller à la Sécurité Nationale
américaine, le National Security Study Memorandum 200, il conclut : «Le dépeuplement est l’axe prioritaire de la politique étrangère américaine dans les pays du Tiers-monde».
Le document, qui visait treize pays en particulier pour une réduction
massive de leur population, suggérait d’employer la famine, la
stérilisation et la guerre pour y parvenir. Ce document gouvernemental
fut rendu public en 1989 et identifiait ces pays comme étant d’un
intérêt spécial pour les objectifs géopolitiques des États-Unis et
expliquait ce pourquoi la croissance de la population, particulièrement
celle des jeunes personnes, était vue comme une menace révolutionnaire
contre les corporations américaines. Les pays nommés étaient l’Inde, le
Bangladesh, le Pakistan, le Nigeria, le Mexique, l’Indonésie, le
Brésil, les Philippines, la Thaïlande, l’Égypte, la Turquie, l’Éthiopie
et la Colombie.
8• Lord Bertrand Russell écrivait dans son livre «The Impact of Science on Society»:
«Présentement, la population du monde augmente… La guerre jusqu’à
maintenant n’a pas eu de grands effets sur cette augmentation… Je ne
prétends pas que le contrôle des naissances est le seul moyen par
lequel une population peut être empêchée d’augmenter. Il y en a
d’autres… La guerre a été plutôt décevante à cet égard, mais peut-être
qu’une guerre bactériologique pourrait s’avérer efficace. Si une Mort
Noire pouvait se répandre à travers le monde à chaque génération, les
survivants pourraient procréer librement sans trop remplir le monde…» (Source)
9• «…des formes avancées de guerre biologique qui peuvent cibler des génotypes spécifiques peuvent transformer la guerre biologique d’un royaume de la terreur en un outil politiquement pratique.»
Qui a écrit ces mots dans leur propre document de stratégie? Les nazis? Le régime de Pol Pot?
Non, c’était Paul Wolfowitz, Dick Cheney, William
Kristol, Donald Rumsfeld et le reste des collaborateurs néo-cons qui
ont formé ce qui était nommé le Project For a New American Century – qui constituait le cadre idéologique de l’ancienne administration Bush. (Source)
Il existe aujourd’hui des armes biologiques qui ont
la capacité d’affecter et de tuer seulement certains génotypes
particuliers, comme les Africains, Asiatiques, etc.
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Re: Eugénisme et agenda mondial de dépopulation
10• Le Georgia Guidestones a été érigé le 22 mars 1980 aux États-Unis, en Géorgie, près d’Elberton. Il est surnommé le «Stonehenge américain».
Dix «nouveaux» commandements sont gravés sur les
deux faces de 4 pierres érigées verticalement et écrits en 8 langues
différentes qui sont: l’anglais, le russe, l’hébreu, l’arabe, l’hindou,
le chinois, l’espagnol et le swahili. (Source)
Voici trois des dix commandements inscrits:
1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 (sic) individus en perpétuel équilibre avec la nature
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité
3. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature
11• De 1932 à 1972, le Tuskegee Study Group
a délibérément infecté des pauvres de communautés noires en Alabama
avec la syphilis sans leur consentement et ils ont même refusé de les
soigner alors que les malades faisaient des dégâts à travers la ville
tuant des familles. Des expériences sur des sujets humains
non-consentants et à leur insu, par des autorités qui disaient vouloir
«observer» ce qu’il adviendrait de ces gens.
François Marginean: Tech. en Architecture, chercheur indépendant, animateur de radio à l'émission L'Autre Monde sur CHOQ FM de l'UQAM, éditeur du blog Les Nouvelles Internationales et collaborateur chez Les 7 du Québec.
François Marginean est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca. Articles de François
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