L'ENFER ISLAMIQUE
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L'ENFER ISLAMIQUE
L’ENFER SLAMIQUE
Dans le monde musulman islamique l’ordre de la société se fonde
Sur une hiérarchie verticale, pyramidale donc une rigide suprématie
Fondée sur la supériorité, l’inégalité, la différence, la domination
Où le pouvoir absolu du chef vient d’en haut légitimé par des dogmes divins
La domination étant consommée l’inégalité ou la supériorité est de rigueur
Supériorité de l’élite sacrée sur la masse profane, le prophète sur les fidèles
Supériorité de l’oppresseur au pouvoir divin sur la masse populaire profane
Dirigeants étatiques ou religieux forment un tout sacré pour oppresser le peuple profane
La liberté, l’égalité est un rêve impossible dans une suprématie
Qui attribue le droit aux dirigeant tout-puissants de la dite suprématie
Et le devoir aux sujets soit la masse subalterne réduite à l’obéissance
L’inégalité devient normale domination consommée, oppression légitimée
Or pour qu’il y ait liberté la condition sine qua non à la liberté
Il faut que le droit et le devoir se réunissent dans une même volonté
De sorte qu’on ait la possibilité de choisir décider que notre conscience garantit
Donc non réduit à l’état d’obéissance non soumis au dicta aux oukases du chef
Mais dans le monde musulman islamique où la domination est consommée
L’idée de la liberté, de l’égalité, du droit du respect, de la tolérance est une hérésie
Où l’idée de suprématie, de la différence de supériorité de domination est une frénésie
L’hérésie est condamnée à mort la frénésie devient une panacée de toute bénédiction
Faute de liberté d’égalité, du droit, valeurs essentielles à tout être humain
On ignore tout ce qui est dignité humaine, respect de l’autre, tolérance
On vit sous le joug abject de l’obéissance de la bassesse du subalterne
Où l’on ignore sa propre personne sa dignité au profit de l’honneur du chef
L’obéissance est la négation même de la volonté, de la vie de l’existence
Si on n’a pas droit d’exprimer sa volonté c’est comme si on ne vit, n’existe pas
Mais comme la domination est consommée et l’obéissance est intériorisée
On légitime le droit absolu de la suprématie dans l’oppression et la répression
D’ailleurs l’obéissant oppressé exige même le maintien de la domination oppressive
Si le roi décide d’accorder la liberté à la femme, affranchie de la tutelle du mâle
Tout le monde va se révolter contre ce roi, soit qu’on le chasse ou qu’on le tue
Car il dérange l’ordre des choses, il dérange l’ordre de la suprématie verticale
Bref! Le fondamentaliste, l’extrémiste religieux
Veut une application plus rigoureuse de la loi
Une tendance à renforcer la domination oppressive
Qui étouffe les sujets obéissants, beaucoup trop obéissants!
Dans cette teneur de rigueur de la loi ou de renforcement de la domination
L’aventure de l’existence s’ouvre sur plusieurs scénarios possibles
Ou bien on se on recourt à la violence pour justifier l’oppression
Tels que : Al-Qaïda, terroriste, djihad, attentat suicide, crime d’honneur
Ou bien le sujet souffre de la culpabilité en cas de transgression de l’oppression
Tel que : l’africaine qui avoue qu’elle mérite d’une sentence, d’être fouettée
Pour ne pas prendre la religion en dérision pour ne prendre la religion comme un jeu
Ou bien on se révolte en remettant en question l’ordre hiérarchique de la suprématie
La base de la domination et de l’oppression! Scénario très peu probable, mais possible
Pour en finir avec la hiérarchie pyramidale verticale qui assure la domination
Il faut cesser de penser en termes de supériorité pour penser en fraternité
Reléguer la relation Dieu-Homme à un modèle d’inspiration ouvert à tous
Adopter la relation homme-homme comme modèle de gestion des hommes
Une démocratisation de la hiérarchie dans l’implantation d’une fraternité
L’homme n’a jamais rien créé, ni matière, ni vie, ni loi il n’est pas égal au créateur
Tous les hommes sont des créatures des images divines étant égales
Pas de représentants de Dieu supérieurs, pas de pouvoir divin absolu
Le pouvoir est dans la fraternité, vient de la fraternité, la Vox populi
S’accrocher à l’idée que nous sommes tous créés égaux dans le créateur
Récuser tout attribut divin comme privilège qui rend les hommes inégaux
Donc inconforme, informel à l’esprit, au dessein à la volonté du créateur
Nul n’est n’a droit aux attributs et privilèges divins car il n’est pas créateur
Cette forme de logique de pensée cette forme de raisonnement
Conduit à refuser l’ordre hiérarchique vertical pyramidal de la suprématie
Pour l’instauration du règne de la fraternité, ordre horizontal plus flexible ou souple
Qui reconnaît la liberté l’égalité, le droit, le respect, la dignité, la tolérance, la volonté
Toute fraternité est possible seulement dans le cadre de la relation homme-homme
Comme modèle de gestion des hommes de la société, modèle de gouvernance
La relation Dieu-homme sans la renier, doit rester comme modèle d’inspiration
Mais dangereux pour la gestion de la société car elle produit des maîtres et des esclaves
Ouverture! Là on opère le passage de la Théocratie à la démocratie
On limite le modèle théocratique imposé de toute rigueur à la société
Ce qui suppose la séparation du pouvoir, de l’état et de l’église
L’état dans la sphère publique temporelle, l’église dans la sphère privée spirituelle
De telle sorte ce qu’on perd en largeur, on en gagne en longueur
Bref au fond rien n’est perdu tout se conserve, tous gagnent ensemble
L’église ne paralyse plus l’état, l’état n’élimine non plus l’église
Chaque entité conserve son existence dans une sphère distincte
5 septembre 2009
Dans le monde musulman islamique l’ordre de la société se fonde
Sur une hiérarchie verticale, pyramidale donc une rigide suprématie
Fondée sur la supériorité, l’inégalité, la différence, la domination
Où le pouvoir absolu du chef vient d’en haut légitimé par des dogmes divins
La domination étant consommée l’inégalité ou la supériorité est de rigueur
Supériorité de l’élite sacrée sur la masse profane, le prophète sur les fidèles
Supériorité de l’oppresseur au pouvoir divin sur la masse populaire profane
Dirigeants étatiques ou religieux forment un tout sacré pour oppresser le peuple profane
La liberté, l’égalité est un rêve impossible dans une suprématie
Qui attribue le droit aux dirigeant tout-puissants de la dite suprématie
Et le devoir aux sujets soit la masse subalterne réduite à l’obéissance
L’inégalité devient normale domination consommée, oppression légitimée
Or pour qu’il y ait liberté la condition sine qua non à la liberté
Il faut que le droit et le devoir se réunissent dans une même volonté
De sorte qu’on ait la possibilité de choisir décider que notre conscience garantit
Donc non réduit à l’état d’obéissance non soumis au dicta aux oukases du chef
Mais dans le monde musulman islamique où la domination est consommée
L’idée de la liberté, de l’égalité, du droit du respect, de la tolérance est une hérésie
Où l’idée de suprématie, de la différence de supériorité de domination est une frénésie
L’hérésie est condamnée à mort la frénésie devient une panacée de toute bénédiction
Faute de liberté d’égalité, du droit, valeurs essentielles à tout être humain
On ignore tout ce qui est dignité humaine, respect de l’autre, tolérance
On vit sous le joug abject de l’obéissance de la bassesse du subalterne
Où l’on ignore sa propre personne sa dignité au profit de l’honneur du chef
L’obéissance est la négation même de la volonté, de la vie de l’existence
Si on n’a pas droit d’exprimer sa volonté c’est comme si on ne vit, n’existe pas
Mais comme la domination est consommée et l’obéissance est intériorisée
On légitime le droit absolu de la suprématie dans l’oppression et la répression
D’ailleurs l’obéissant oppressé exige même le maintien de la domination oppressive
Si le roi décide d’accorder la liberté à la femme, affranchie de la tutelle du mâle
Tout le monde va se révolter contre ce roi, soit qu’on le chasse ou qu’on le tue
Car il dérange l’ordre des choses, il dérange l’ordre de la suprématie verticale
Bref! Le fondamentaliste, l’extrémiste religieux
Veut une application plus rigoureuse de la loi
Une tendance à renforcer la domination oppressive
Qui étouffe les sujets obéissants, beaucoup trop obéissants!
Dans cette teneur de rigueur de la loi ou de renforcement de la domination
L’aventure de l’existence s’ouvre sur plusieurs scénarios possibles
Ou bien on se on recourt à la violence pour justifier l’oppression
Tels que : Al-Qaïda, terroriste, djihad, attentat suicide, crime d’honneur
Ou bien le sujet souffre de la culpabilité en cas de transgression de l’oppression
Tel que : l’africaine qui avoue qu’elle mérite d’une sentence, d’être fouettée
Pour ne pas prendre la religion en dérision pour ne prendre la religion comme un jeu
Ou bien on se révolte en remettant en question l’ordre hiérarchique de la suprématie
La base de la domination et de l’oppression! Scénario très peu probable, mais possible
Pour en finir avec la hiérarchie pyramidale verticale qui assure la domination
Il faut cesser de penser en termes de supériorité pour penser en fraternité
Reléguer la relation Dieu-Homme à un modèle d’inspiration ouvert à tous
Adopter la relation homme-homme comme modèle de gestion des hommes
Une démocratisation de la hiérarchie dans l’implantation d’une fraternité
L’homme n’a jamais rien créé, ni matière, ni vie, ni loi il n’est pas égal au créateur
Tous les hommes sont des créatures des images divines étant égales
Pas de représentants de Dieu supérieurs, pas de pouvoir divin absolu
Le pouvoir est dans la fraternité, vient de la fraternité, la Vox populi
S’accrocher à l’idée que nous sommes tous créés égaux dans le créateur
Récuser tout attribut divin comme privilège qui rend les hommes inégaux
Donc inconforme, informel à l’esprit, au dessein à la volonté du créateur
Nul n’est n’a droit aux attributs et privilèges divins car il n’est pas créateur
Cette forme de logique de pensée cette forme de raisonnement
Conduit à refuser l’ordre hiérarchique vertical pyramidal de la suprématie
Pour l’instauration du règne de la fraternité, ordre horizontal plus flexible ou souple
Qui reconnaît la liberté l’égalité, le droit, le respect, la dignité, la tolérance, la volonté
Toute fraternité est possible seulement dans le cadre de la relation homme-homme
Comme modèle de gestion des hommes de la société, modèle de gouvernance
La relation Dieu-homme sans la renier, doit rester comme modèle d’inspiration
Mais dangereux pour la gestion de la société car elle produit des maîtres et des esclaves
Ouverture! Là on opère le passage de la Théocratie à la démocratie
On limite le modèle théocratique imposé de toute rigueur à la société
Ce qui suppose la séparation du pouvoir, de l’état et de l’église
L’état dans la sphère publique temporelle, l’église dans la sphère privée spirituelle
De telle sorte ce qu’on perd en largeur, on en gagne en longueur
Bref au fond rien n’est perdu tout se conserve, tous gagnent ensemble
L’église ne paralyse plus l’état, l’état n’élimine non plus l’église
Chaque entité conserve son existence dans une sphère distincte
5 septembre 2009
Edpoete- Star
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Date d'inscription : 24/10/2006
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