Men ki koze sa Preval di li pap depase 14 me men li pa gen dat presi pou kite sa
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Men ki koze sa Preval di li pap depase 14 me men li pa gen dat presi pou kite sa
Ala pouvwa dous pou Preval wouuyyyy se ak regrè, dlo nan je, move konbinn koken vle lage sa. Men fout vle pa vle fok li ale. Menm si sa pran yo GRENN NAN BOUNDA pou voye atoufè, move blofè, magouyè ale.
Dayè koken vle pwente laprès pou tout mizè li. Men li pran bon pèp kap fè rourourounou kom enbesil, moun nan poch li. San konprann laprès tankou tout rès sosyete ap swiv son lari a. Yo fout bouke avè w Preval ,ilè li tan pou kraze rak.
Selman Preval ta dwe kenbe rol li, mache ou pinaga l pou evite derapaj. Mwen byrn kontan li koprann sa kapab rive. Alos pran bon kap sispann magouyè ak bann depite kwoupyion, vandè peyi a kap dejann pos ek enterè pèsonèl yo olye mandatè yo. Mwen di Preval jou li byen konte, pa kite kolè bon pèp eksploze. Nan pwen anyen ki pral defann li ni anpeche l yo mete l an derout.
Haïti-Politique-Présidence
Préval ne "dépassera pas" le 14 mai, mais n’a aucune date pour son départ
Record de rapidité pour la Chambre des Députés qui, en 24 heures, a approuvé massivement le projet de loi ouvrant la voie à une prolongation du mandat du chef de l’Etat
jeudi 6 mai 2010,
Radio Kiskeya
Le Président René Préval a nié jeudi toute intention d’aller au-delà de son mandat de cinq ans, sans écarter l’éventualité de continuer à exercer ses fonctions après le 7 février 2011, quelques heures avant le vote express par les Députés d’un projet de loi controversé prévoyant un transfert du pouvoir jusqu’au 14 mai au cas où les élections ne se tiendraient pas en novembre prochain.
"Je ne peux m’en aller en laissant un processus en cours et ne pas le terminer", a indiqué lors d’une conférence de presse le chef de l’Etat qui a, une fois de plus, souhaité que son successeur soit un dirigeant légitime issu des prochaines élections.
Il affirme qu’il serait irresponsable de sa part de lancer le pays dans une nouvelle aventure de régime de transition pouvant déboucher sur n’importe quelle situation, une position qui tranche avec celle de la classe politique et de la société civile favorables à l’intronisation d’un juge de la cour de cassation en cas de vacance présidentielle à la date constitutionnelle du 7 février.
Le Président soutient qu’il est prêt à partir en février, mars, avril ou mai, selon la période à laquelle les élections se seront réalisées.
Interrogé par un journaliste, il a assuré qu’il n’entend nullement se maintenir au pouvoir au-delà du 14 mai, date à laquelle il complétera son quinquennat ayant prêté serment en 2006 avec trois mois de retard 24 heures à peine après le dépôt du document, la Chambre des Députés a approuvé massivement jeudi soir par 56 voix pour, trois contre et trois abstentions le projet de loi de l’Exécutif.
Seuls les élus Steven Benoît (Pétion-Ville), Esdras Fabien (Carrefour) et Eddy Jean-Pierre (Cap-Haïtien) se sont opposés à la majorité du parti présidentiel Inite qui, comme à l’ordinaire, a court-circuité les débats sur le texte de loi.
Trois autres parlementaires ont fait abstention : Saliba Jean (Cité Soleil), Arsène Dieujuste (Gonaïves) et Ronald Oscar (Gressier).
Vendredi, le Sénat devrait analyser à son tour le projet de loi et probablement l’entériner sans surprise à la veille du départ lundi de la totalité des Députés et d’un tiers des Sénateurs.
Le Président Préval, qui rappelle qu’avant lui Députés et Sénateurs avaient été autorisés à accomplir leur mandat intégralement, soutient que les effets dévastateurs du tremeblement de terre ont perturbé ses "prévisions optimistes" de réalisation à temps des élections.
Cependant, il dit maintenir son engagement initial de concilier le temps constitutionnel et le temps électoral. Par conséquent, aucun effort ne sera négligé pour que les joutes électorales se tiennent de manière à permettre l’arrivée d’un nouveau Président légitime à la tête du pays le 7 février 2011.
La classe politique et la société civile ont dénoncé un "projet dictatorial naissant" et appelé à la mobilisation générale contre l’initiative présidentielle de prolongation de mandat alors que des manifestations de rue hostiles à René Préval ont été enregistrées depuis le vote de la loi sur l’état d’urgence accordant des pouvoirs quasi-illimités au chef de l’Etat et à la Commission intérimaire mixte pour la reconstruction (CIRH). spp/Radio Kiskeya
Dayè koken vle pwente laprès pou tout mizè li. Men li pran bon pèp kap fè rourourounou kom enbesil, moun nan poch li. San konprann laprès tankou tout rès sosyete ap swiv son lari a. Yo fout bouke avè w Preval ,ilè li tan pou kraze rak.
Selman Preval ta dwe kenbe rol li, mache ou pinaga l pou evite derapaj. Mwen byrn kontan li koprann sa kapab rive. Alos pran bon kap sispann magouyè ak bann depite kwoupyion, vandè peyi a kap dejann pos ek enterè pèsonèl yo olye mandatè yo. Mwen di Preval jou li byen konte, pa kite kolè bon pèp eksploze. Nan pwen anyen ki pral defann li ni anpeche l yo mete l an derout.
Haïti-Politique-Présidence
Préval ne "dépassera pas" le 14 mai, mais n’a aucune date pour son départ
Record de rapidité pour la Chambre des Députés qui, en 24 heures, a approuvé massivement le projet de loi ouvrant la voie à une prolongation du mandat du chef de l’Etat
jeudi 6 mai 2010,
Radio Kiskeya
Le Président René Préval a nié jeudi toute intention d’aller au-delà de son mandat de cinq ans, sans écarter l’éventualité de continuer à exercer ses fonctions après le 7 février 2011, quelques heures avant le vote express par les Députés d’un projet de loi controversé prévoyant un transfert du pouvoir jusqu’au 14 mai au cas où les élections ne se tiendraient pas en novembre prochain.
"Je ne peux m’en aller en laissant un processus en cours et ne pas le terminer", a indiqué lors d’une conférence de presse le chef de l’Etat qui a, une fois de plus, souhaité que son successeur soit un dirigeant légitime issu des prochaines élections.
Il affirme qu’il serait irresponsable de sa part de lancer le pays dans une nouvelle aventure de régime de transition pouvant déboucher sur n’importe quelle situation, une position qui tranche avec celle de la classe politique et de la société civile favorables à l’intronisation d’un juge de la cour de cassation en cas de vacance présidentielle à la date constitutionnelle du 7 février.
Le Président soutient qu’il est prêt à partir en février, mars, avril ou mai, selon la période à laquelle les élections se seront réalisées.
Interrogé par un journaliste, il a assuré qu’il n’entend nullement se maintenir au pouvoir au-delà du 14 mai, date à laquelle il complétera son quinquennat ayant prêté serment en 2006 avec trois mois de retard 24 heures à peine après le dépôt du document, la Chambre des Députés a approuvé massivement jeudi soir par 56 voix pour, trois contre et trois abstentions le projet de loi de l’Exécutif.
Seuls les élus Steven Benoît (Pétion-Ville), Esdras Fabien (Carrefour) et Eddy Jean-Pierre (Cap-Haïtien) se sont opposés à la majorité du parti présidentiel Inite qui, comme à l’ordinaire, a court-circuité les débats sur le texte de loi.
Trois autres parlementaires ont fait abstention : Saliba Jean (Cité Soleil), Arsène Dieujuste (Gonaïves) et Ronald Oscar (Gressier).
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