La consommation de drogues des enfants des rues inquiete

L’Aide médicale internationale étend ses activités à 1000 enfants supplémentaires

La consommation de drogues chez les enfants dans les rues de P-au-P inquiète

La marijuana représente 80% des drogues consommées par des enfants des rues, suivant un échantillonnage considéré par l’ONG en juillet 2006.

P-au-P, 30 Janv. 07 [AlterPresse] --- Environ un millier d’enfants supplémentaires d’Haïti vont pouvoir bénéficier du support de l’Aide médicale internationale (AMI), une organisation non gouvernementale (ONG) qui se déclare alarmée devant la recrudescence du nombre d’enfants dans les rues de Port-au-Prince, apprend l’agence en ligne AlterPresse.

« Alors que la situation humanitaire ne cesse de se dégrader en Haïti, AMI s’alarme de la forte augmentation du nombre d’enfants des rues de Port-au-Prince », lit-on dans un communiqué transmis à AlterPresse.

L’organisme international, qui travaille en Haïti depuis plusieurs années, annonce l’ouverture d’une seconde clinique mobile pour permettre à près de 1000 enfants supplémentaires d’accéder à des soins de santé primaire et à un suivi psychosocial personnalisé.

En 2004 et 2006, le nombre d’enfants dans les rues de la capitale haïtienne a augmenté de près de 65.6%, passant de 1 396 à 2 129 individus avec une multiplication des lieux de regroupements.

Suite de l'article: http://www.alterpresse.org/spip.php?article5627

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Jude a écrit:Aucun commentaire possible...

Il faudra bien commenter cet article. Ça tombe bien puisque je m'en allais parler de la consommation des jeunes. Je n'ai pas encore lu l'article en question,en fait, je crois avoir lu que cette organisation veut aider les jeunes de rue par une approche psychosociale. Est-ce une approche humanisme, pragmatisme ou une approche repressive ?
Une chose est certaine , il y a une certaine mesinformation sur la drogue en Haiti. je pense que si ces organismes veulent réduire les méfaits de la consommation du pot en Haiti puisqu'en intervention psychosociale, c,est l'approche de reduction des mefaits qui est la plus efficace pour freiner ou diminuer la consommation . Bien sur , il faudrait commencer par le commencement. Il faudra suivre certaines étapes en intervention toxicomanie.

Je trouve ce sujet super intéressant dans la mesure ou on constate que les jeunes d'Haiti sont comme les jeunes des autres pays du monde. Ils expérimentent la drogue. Ils peuvent devenir dependant physique ou psychologique. Pour remedier à ce phenomene, une stratégie d'accompagnatrice s'averait necessaire afin de mieux encadrer les jeunes de la rue et les jeunes à risque.

A suivre!

J'espère pouvoir lire la suite bientôt.

Je sens bien qu'il faut commenter cet article, mais je ne m'en sens pas le coeur. Sorry.