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Saga Martelly, move peyè pansyon alimantè pitit

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Saga Martelly, move peyè pansyon alimantè pitit  Empty Saga Martelly, move peyè pansyon alimantè pitit

Message  Rico Ven 28 Sep 2012 - 22:34

Saga Martelly, move peyè pansyon alimantè pitit deyo » Fri Sep 28, 2012 9:09 pm



Une mère exige une hausse de sa pension alimentaire Arrivé au timon des affaires en Haïti est une bonne chose pour Joseph Michel Martelly. C’estle couronnement d’une carrière musicale qui ne paraissait pas prospère, ces temps derniers, puisqu’il n’avait pas été en mesure d’éviter la saisie de deux biens hypothécaires qu’il avait dans la zone métropolitaine de Miami, en Floride. Si,aux yeux de quiconque regarde de loin, la présidence d’Haïti offre de gros avantages matériels au chanteur du compas Sweet Mickly, celui-ci se voit déjà harceler par les démons lâchés à sa trousse.

C’est le cas de dire la « faim chasse le loup hors des bois».Devenu une star d’un autre genre, le président Martelly est devenu très vulnérable. Il ne peut plus esquiver cette femme qui l’avait poursuivi de New York jusqu’en Floride pour réclamer son dû pour le fils que le musicien-président a engendré.On affirme, dans les milieux informés proches de Sabine Jean-Jacques, qu’ilétait temps d’exiger une plus forte allocation pour son filsde 8 ans au nom duquel lechanteur versait 1 200 $ par mois.Selon des proches de Mme Jean-Jacques, celle-ci, qui voyait la prospérité s’éloigner pendant qu’elle vivait à NewYork, déménagea à Miami pour continuer la procédure entamée dans cette ville visant à établir la paternité de son fils.

Pour des anciens amis de Martelly et de Sabine, qui ontrequis l’anonymat, l’homme avec qui cette femme vivaitn’était pas le père des deux fils jumeaux qu’elle a mis au monde, il y a environ huit ans.Ces sources font remarquer que Sabine Jean-Jacques s’occupait des affaires du musicien dont elle connaît les secrets,tandis que son concubin, Gregory Desmosthènes, avait la responsabilité du son. Personne ne veut s’engager à décrire le rôle des individus dans cette relation triangulaire. En tout cas, la femme devint enceinte et mit au monde une paire de garçons. Du fond d’elle-même Sweet Mickly est le père. Tout semble indiquer que celui-ci l’avait entendu ainsi aussi.Mais un des enfants mourut trois mois après sa naissance. Des gens de l’entourag etant de Martelly que de Jean-Jacques ont affirmé que le chanteur se considérait comme le père des jumeaux. Aussi après la mort de l’un des jumeaux, Sabine Jean-Jacquesintenta-t-elle un procès contre Mercy Hospital, situé à Rock -ville Centre, Long Island, New York, dont la négligence,selon la mère, avait occasionné la mort de son fils, le musicien suivait le cas avec assiduité.

À ce moment, il se préparait même à épouser Sabine.Mais l’accusation de négligence a été repoussée avec succès par les avocats de Mercy Hospital : « Adieu veau,vache, cochon couvée !» Plus question d’épouser la mère de l’enfant. Au contraire, le musicien a composé une chansonqu’il intitula : «M pa’p marye ankò» (« Je ne veux plus me marier »). Il devait attendre quelques années plus tard pour convoler en justes noces avec Sophia Saint-Rémy, à l’instigation de Mgr Kébreau, dit-on. La première tentative de Sabine Jean-Jacques de mettre le chanteur devant ses responsabilités n’avait pas produit les résultats escomptés. Des anciens amis de la femme ont fait savoir que Sweet Micky avait soutenu l’argument selon lequel ses ressources étaient limitées et qu’ine pouvait pas verser les montants faramineux que recherchait Sabine. Mais cette dernière, qui connaissait parfaitement le côté affaires de l’entreprise de Martelly, soumit des documents démontrant que le musicien n’était pasMaussi démuni qu’il voulait le faire croire.Mais l’affaire ne pouvait pas aboutir à une conclusion à New York.

Aussi Sabine Jean-Jacques décida-t-elle de transférer son champs d’action à Miami. Elle disposait de suffisamment de documents pour convaincre le tribunal que le père de son fils pouvaif verser une mensualité supérieureà ces quelques centaines de dollars qu’il était prêt à concéder.Dans l’entourage de gens jadis proches du musicien et de la mère de son fils, de même que parmi la clientèle qui papillonnaient autour d’eux durant les beaux jours du compas et à l’occasion de soirées dansantes extravagantes, la discrétion est de rigueur. Alors que certains d’entre eux se gardent de dire quoique ce soit qui serait susceptible de compromettre leurs chances de décrocher un emploi ou quelque avantage auprès du musicien devenu président; d’autres, en revanche, craignent de lâcher des propos que leur ancienne idole taxerait d’ «ingratitude», et qui finiraient par leur attirer la foudre du chef.En tout cas, des secteurs liés au système judiciaire floridien font état de nouvelles exigences faites par cette femme, qui s’imagine que les revenus de Martellys e sont suffisamment multipliés pour qu’elle demande une augmentation par rapport à l’allocation prévue pour son fils .Plusieurs observateurs sont unanimes à dire que d’autres femmes sortiront de l’ombre,dans les prochains mois, pour faire des demandes similaires auprès du président, «désormais détenteur de la vanne des millions» en Haïti.Tous les efforts tentés pour obtenir les différents sons de cloche se sont révélés vains.

Sabine Jean-Jacques a déménagé de New York depuis plus de quatre ans et les gens qui la connaissaient ont perdu ses traces. Ceux qui devraient savoir exactementl à où elle se trouve ont décliné d’aider à trouver sa piste. On prétend qu’elle avait une entreprise dans la zone métropolitaine de Miami, mais celle-ci a fermé ses portes depuis quelque temps.Quand au président Martelly,il est injoignable. Il doit se trouver quelque part aux États-Unis,entre Miami et New York. Un email adressé à son ministre des Affaires étrangères demandant àce dernier d’aider à établir le contact avec M. Martelly, à propos d’un article à son sujet pour lequel son point de vue est recherché, n’a pas eu de réponse, plus de huit heures après l’expédition. D’autre part, un message téléphonique laissé aux studios, à Manhattan, de Wyclef Jean,ambassadeur itinérant d’Haïti,dans le cadre de cette même démarche, est resté sans suite, après au moins douze heures de temps.
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