STEVEN BENOIT AK MOISE PEYI A BEZWEN YON LOA AK YON LOI KONT KIDNAPING !

Honorab senate , fetiche , beau corps kidnaping lan se yon fenomene nouvo ke yon n nan pi gwo 100 a voeux peyi dayiti panko janm pwodwi introdwi nan peyi a pou regle koz poltilik li , pou finanse yon mouvman nazi nan peyi a ak pou satife le haut ak le bas vant ...apre vol nan leta a, apres souse tout ti ed peyi tayann bay kidnaping se ta yonn nan pi gwo sous pati nazi a andedan peyi a ,
Moise jeab charles nou bezwen loa yo , Steven nou bezwen yon lott gwo loi nan peyi a ,...yon loa moise pou mete hors la loi les anciens , les actuels kidnapeurs....Yon loa ou loi espesyal pou nou fini net ak tout Nazi nan peyi a ,,,,LA PENDAISON ! NOU TA DWE KOMANSE TABARRE !

Face à la multiplication de ces actes de banditisme dans la région métropolitaine, la présidence a décidé de reporter la semaine de la sécurité qui devait être lancée le lundi 29 août 2011. Et pour enrayer ce phénomène des mesures ont été annoncées par les autorités policières. Le porte-parolL’insécurité, notamment le kidnapping prend un autre aspect. Les bandits utilisent des trucs différents pour attirer leur proie. Parfois ils opèrent avec une certaine arrogance ce qui laisse penser qu’ils sont commandités. On se souvient que lors de cambriolages sur des clients de banques l’agresseur demande à la victime le montant exact qu’il a en sa possession. Dans l’affaire du notaire public Emile Giordani les ravisseurs, au nombre de quatre, l’ont enlevé à son étude à Lalue, vendredi après midi. Les bandits ont fouillé de fond en comble le bureau à la recherche d’un montant de 80, 000 dollars. Les témoins rapportent que M. Giordani, 62 ans, a été encagoulé et ligoté avant d'être jeté dans le coffre arrière de son véhicule.
e de la police nationale d'Haïti, Frantz Leurebours croit par ailleurs que cette remontée du phénomène de l'insécurité est due à un manque de responsabilisation de certaines institutions du pays. Selon Frantz Leurebours l'impunité et la partialité ne font pas bon ménage pour lutter contre l'insécurité. Il sollicite la collaboration des institutions régaliennes afin de faire face à ce phénomène. Monsieur Leurebours qui renouvelle la volonté de l'institution policière de traquer les bandits demande à tous les secteurs de jouer leur rôle en vue de contrer leurs actions. Le porte-parole de l'institution policière a fait remarquer, en outre, que la sécurité une question transversale et elle exige une réponse commune.

De son coté, le président de la commission sénatoriale justice et sécurité du grand corps, le sénateur Youri Latortue, préconise l'adoption de dispositions en vue de trouver une solution structurelle au problème de l'insécurité. L'ancien officier des Forces Armées d'Haïti (FADH) recommande entre’ autre la professionnalisation de la police, la mise en place d'une nouvelle force de sécurité et d'un système général d'intelligence. Selon le parlementaire l'action combinée de ces 3 entités garantira une réaction immédiate en cas d'acte de violence et permettra de dissuader les criminels. Rappelant la faiblesse des institutions préposées à assurer la sécurité en Haïti, le chef de file de l’AAA soutient que cette faible structure est pratiquement inexistante en période de transition politique. En dépit de leur bonne volonté, la PNH avec un effectif réduit et un manque de matériels adéquats ne peut répondre convenablement aux agressions des criminels, prévient le parlementaire. A ceci il faut ajouter que l'absence de leadership favorise une reprise des activités des bandits. Le sénateur Latortue ne cesse de claironner que cette remontée de l’insécurité coïncide avec l’absence de gouvernement qui profite aux pêcheurs en eau trouble.