JBA et JCD DEUX DESTINS ETROITEMENT LIES JUSTICE ET OU IMPUNITE !!!!

Martelly veut-il creer la diversion ou intimider Moise Jean Charles?pour moi 'cest un avertissement ou une intimidation.Yon jwè poker ki ap bloffé ak yon ti pè 2.(international la ak oligarchie ya )Dyab ka ba w pwen men li pa voye w al foure men w nan boukan di fe non.

kondi joel di ya ou toujou ap dyèdyè ;gen lè menm sa w ekri ou pa konprann yo byen.

Le gros roseau a écrit:mwen mentni saa wi depi se yon tribinal IMPARTIAL KI ap jijel mwen pa genyen oken pwoblem ak sa.Mwen konnen byen ke genyen yon paket jij ak komisè gouvenman souflantyou se sak fè mwen di se pa tou le jou magrit pote bon siwo.genyen moun nou ka kondane epi se tet nou nou pike.Map repetel ankor pou wou ayiti toma se tè glise sonje sak te pase Salnave ak villebrun Guillaume.Yon jou pou chasè yon jou pou jibye.

WASHINGTON (Creators Syndicate) -- When Sen. John Kerry was interviewed on foreign policy in Houston last Friday by New York Times reporters, he made news by declaring that as president he "would have been prepared to send troops immediately" to save Jean-Bertrand Aristide as president of Haiti.

The newspaper published his statement Sunday, the very day that Aristide's Lavalas gunmen shot more than 25 peaceful demonstrators (five fatally) who were celebrating his departure. Neither Kerry nor Aristide's other supporters in Washington have mentioned the carnage.

Why would the Democratic Party's presumptive presidential nominee vigorously support a tyrant steeped in violence and corruption? Kerry's rationale is that the people twice elected Aristide (though his tainted second election was called fraudulent by independent international observers). An alternative explanation rests with Aristide's gold-plated U.S. connections. He is close to Kerry's influential friends, the Kennedy family of Massachusetts, and is the unconditional favorite of the Congressional Black Caucus.

While destitute Haiti is one of the world's poorest countries, Aristide has been profligate in spending millions on U.S. lobbyists and lawyers. Powerful American politicians sit on the board of Fusion Telecommunications International, which Aristide granted an exclusive concession over the country's lucrative long-distance market. These favors may partially explain the remarkable forbearance toward the Haitian leftist by American liberals.

In his interview declaring for military intervention, Kerry conceded, "Aristide was no picnic and did a lot of things wrong." But Black Caucus members, during a House International Relations Committee hearing last week that they forced, were uncritical supporters in demanding Aristide's return.

Aristide's accusations that the U.S. abducted him and sent him into African exile lack substantiation but have been spread by the Black Caucus anyway. The Bush administration contributes to the libel by having maintained a hands-off policy toward chaos in Haiti over the past three years.

Reports filed with the Justice Department by registered foreign agents reflect spending by the Aristide government of well over a million dollars a year, an astounding amount for such a small country. This money did not produce a concerted sales effort to attract U.S. foreign aid funds, but it did build personal support for Aristide. Black Caucus members have been frequent visitors to Haiti, where they have been entertained lavishly.

The Kennedy family's connection with Aristide goes through former Rep. Joseph P. Kennedy II. Both Kennedy and his mother, Ethel, have served on the board of advisers of the Aristide Foundation for Democracy. Aristide was a guest at Kennedy's second wedding.

Kennedy also has been listed as a board member of Fusion, which has exclusive access to the flood of telephone calls placed by Haitian residents of the U.S. back to family and friends in Haiti every weekend. Writing in the Boston Globe in 2001, Kennedy said: "I was proud to help bring more than $1 million in private investment from Fusion into Haiti."

Last week's House hearings were demanded by Black Caucus members. Rep. Cass Ballenger of North Carolina, the Republican subcommittee chairman, as a Southern gentleman granted permission to all members of Congress to attend and speak.

Lasting more than five hours, the hearing was an anti-Bush, pro-Aristide pep rally. Rep. Maxine Waters of California, a regular visitor to Haiti to confer with Aristide prior to his departure, repeated his claims of being kidnapped at gunpoint under U.S. auspices.

The White House indicated to Capitol Hill its displeasure with the International Relations Committee for letting itself become an open forum for Bush-bashing. For their part, congressional Republicans complained that Assistant Secretary of State Roger Noriega put on a woefully weak performance under badgering by Black Caucus members (with Rep. Donald Payne of New Jersey claiming that the U.S. government orchestrated Aristide's collapse).

Noriega responded with nuanced answers. Republican Rep. Jerry Weller of Illinois, not known for incendiary statements, was more effective than the State Department representative at the hearing in describing Jean-Bertrand Aristide: "He was a brutal dictator, allowing children to be sold into slave labor, and if we hadn't gone in there, Mr. Aristide would be dead because the people would have killed him." Weller describes a situation that the Black Caucus overlooks, John Kerry minimizes and George W. Bush ignored for three years.

http://www.cnn.com/2004/ALLPOLITICS/03/11/aristide/index.html

WASHINGTON (Creators Syndicate) - Lorsque le sénateur John Kerry a été interrogé sur la politique étrangère à Houston vendredi dernier par des journalistes du New York Times, il a fait des nouvelles en déclarant qu'en tant que président, il "aurait été prêt à envoyer des troupes immédiatement" pour sauver Jean- Bertrand Aristide comme président d'Haïti.

Le journal a publié son communiqué publié dimanche, le jour même que des hommes armés d'Aristide Lavalas a tiré plus de 25 manifestants pacifiques dont cinq mortellement) qui célébraient son départ. Ni Kerry, ni d'autres partisans d'Aristide à Washington ont évoqué le carnage.

Pourquoi présomptif du Parti démocrate candidat à la présidentielle soutenir vigoureusement un tyran ancré dans la violence et la corruption? Justification de Kerry, c'est que les gens deux fois élu, Aristide (si son élection contaminé second s'appelait frauduleuse par des observateurs internationaux indépendants). Une autre explication repose sur les connexions d'Aristide aux États-Unis en plaqué or. Il est proche à des amis influents de Kerry, de la famille Kennedy du Massachusetts, et est le favori inconditionnel de la Congressional Black Caucus.

Bien que dépourvue Haïti est l'un des pays les plus pauvres du monde, Aristide a été débauché à dépenser des millions sur les lobbyistes américains et des avocats. Puissants politiciens américains siéger au conseil de la fusion internationale des télécommunications, qui Aristide a accordé une concession exclusive sur lucrative du pays marché longue distance. Ces faveurs peuvent expliquer en partie l'abstention remarquable vers la gauche haïtienne par les libéraux américains.

Dans son interview en déclarant à l'intervention militaire, Kerry a concédé, "Aristide n'était pas pique-nique et a fait beaucoup de mauvaises choses." Mais les membres du Caucus noir, lors d'une House International Relations Committee audition la semaine dernière qu'ils étaient forcés, les partisans non critiques en exigeant le retour d'Aristide.

Accusations d'Aristide que les États-Unis lui ont enlevé et l'envoya en exil justification manque africaine, mais ont été répartis par le Black Caucus de toute façon. L'administration Bush contribue à la diffamation par avoir maintenu une politique de non-vers le chaos en Haïti au cours des trois dernières années.

Rapports déposés auprès de la ministère de la Justice par des agents étrangers enregistrés reflètent les dépenses du gouvernement Aristide de plus d'un million de dollars par an, une quantité étonnante pour un si petit pays. Cet argent n'a pas de produire un effort concerté de vente pour attirer des fonds des États-Unis aide à l'étranger, mais il n'a renforcer le soutien personnel pour Aristide. Les membres du caucus noir ont été des visiteurs fréquents en Haïti, où ils ont été divertis richement.

La famille Kennedy connexion avec Aristide passe par l'ancien Rep Joseph P. Kennedy II. Les deux Kennedy et sa mère, Ethel, ont siégé au conseil des conseillers de la Fondation Aristide pour la démocratie. Aristide était un invité au mariage de seconde Kennedy.

Kennedy a également été répertorié comme un membre du conseil de la Fusion, qui a un accès exclusif à l'inondation des appels téléphoniques placés par les résidents haïtiens de l'arrière des États-Unis à la famille et les amis en Haïti chaque week-end. Écrivant dans le Boston Globe en 2001, Kennedy a déclaré: «J'étais fier de contribuer à plus de 1 million de dollars d'investissement privé de Fusion en Haïti."

Audiences de la Chambre la semaine dernière ont été réclamées par les membres du Caucus noir. Rép Cass Ballenger de Caroline du Nord, le président du sous-comité républicain, comme un gentleman du Sud accordé la permission à tous les membres du Congrès à assister et à prendre la parole.

D'une durée de plus de cinq heures, l'audience était un anti-Bush, pro-Aristide pep rally. Rép Maxine Waters de la Californie, un visiteur régulier à Haïti pour s'entretenir avec Aristide avant son départ, a répété ses allégations d'être enlevé au bout du fusil, sous les auspices des États-Unis.

La Maison Blanche a indiqué au Capitole son mécontentement avec le Comité des relations internationales pour se laisser devenir un forum ouvert pour Bush-bashing. Pour leur part, les républicains du Congrès se plaint que le secrétaire d'Etat adjoint Roger Noriega mis sur une performance terriblement faible en vertu de harcèlement de la part des membres du Caucus noir (avec Rep Donald Payne du New Jersey affirmant que le gouvernement des États-Unis orchestré l'effondrement d'Aristide).

Noriega a répondu avec des réponses nuancées. Représentant républicain Jerry Weller de l'Illinois, ne sait pas pour les déclarations incendiaires, était plus efficace que le représentant du Département d'Etat à l'audience pour décrire Jean-Bertrand Aristide: «Il était un dictateur brutal, qui permet aux enfants à être vendus dans le travail esclave, et si nous n'étions pas allés là-bas, M. Aristide serait mort parce que les gens l'auraient tué. " Weller décrit une situation qui surplombe le Black Caucus, John Kerry minimise et George W. Bush a ignoré pendant trois ans.

http://www.cnn.com/2004/ALLPOLITICS/03/11/aristide/index.html

Joel a écrit:KAKAKOK;

Lespri KORIDÒ ;si w ka nonmen non yon sèl etidyan ke ARISTIDE te touye ou fè touye lan INIVÈSITE mete l.
Mwen di sa ,se paske ou gen dè zane w ap repete sa.
Ou mèt mete referans anti-ARISTIDE yo si w vle.
Si w pa kapab ,pa tounen sou sit sa a ;byen ke w konn sèvi kòm yon divètisman.

Le gros roseau a écrit:Kakakok

Lè w fè pati moun ki te rantre nan legliz Saint Jean Bosco ki te al pike fanm ansent, moun ki te rantre nan legliz Sacre coeur al pran Antoine Izmery pou fisyel, moun ki te nan fraph ki tap mache touye pitit pep la tankou mascary fok atann w yon jou la kwa pep la pral vinn lakay w tou.Se komsi ou ta dim Sanasarick ta mechan sil ta fè Brunache ou byen saint ange Bontemps al rankontre ak Saint pierre.se komsi w ta dim Francois benoit pa ta genyen dwa vanje moun ki te boule manmanl, papal, pitit li menm bonn la kay menm fanmi madanm li.mwen deja di w fok nou priye pou Aristide chak maten paske si se te Francois Duvlaier Clinton te retounen an ayiti an 1994 ke vyej pete jem kakakok , li tap fini ak senkyem kolonn lan yon fwa pou tout.

Le gros roseau a écrit:Men siw te monte Fort nAtyonal al mare jen ti gaosn epi nou fisye ,si w te rantre nan leglis al pran moun pou fisye yo ,si fraph tap tire sou moun souy chan de mars la an presans tou kamera e jounalis etranje ou pa ka rele anmwee lè yo fè w wè koulè sanw tou.Mwen di nou resite yon chapele chak jou pou Aristide, pasek si se te francois Duvlaier Clinton te mennen tounen an ayit an 1994 li tap fè san koule nan tout rigol nan peyi ya.