Yon ELIT AYISYEN ENKONPETAN e KORONPI dapre JOURNAL DE MONTREAL
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Yon ELIT AYISYEN ENKONPETAN e KORONPI dapre JOURNAL DE MONTREAL
Yon JOUNALIS ENFLIYAN lan JOURNAL DE MONTREAL di ke ELIT AYISYEN an ,yon ELIT ENKONPETAN e KORONPI responsab ke AYISYEN ap plede kite PEYI an.
Misye ap ENSILTE AYISYEN ,byen ke se pa ENSILT si majorite sa l ap di an se la VERITE.
Antouka ,misye ap rann MOUN ki ap lite pou chanje PEYI DAYITI SEVIS ;PETET misye ap netralize KANADYEN ki ta vle ede ELIT KORONPI an kontinye mete PYE sou KOU PEP AYISYEN an:
http://journaldemontreal.com/2017/08/02/les-immigrants-tricheurs
Les immigrants illégaux qui arrivent au Canada ces jours-ci sont des tricheurs. Bien souvent, ils sont entrés illégalement aux États-Unis, c’est-à-dire sans faire de demande officielle comme les autres personnes qui désirent immigrer aux États-Unis. La crainte qu’inspirent les politiques de Donald Trump les a fait migrer illégalement à nouveau, cette fois au Canada. À nouveau, ils passent devant tout le monde, devant tous les autres qui ont fait une demande légale pour immigrer au Canada.
À la fin du processus, ils seront soit accueillis comme réfugiés, soit refusés (et possiblement retournés aux États-Unis), soit encore ils s’évanouiront dans la nature et ils tenteront de survivre dans toutes sortes de boulots au noir.
Rien de réjouissant
La vague grandissante d’immigrants illégaux qui fuient les États-Unis n’a rien de réjouissant.
Ces immigrants illégaux coûtent chers, surtout s’ils sont peu qualifiés. Ils exercent une pression à la baisse sur les salaires et ils risquent de se retrouver sur le bien-être social s’ils obtiennent le statu de réfugiés. Ils coûtent chers quand ils arrivent malades. Ils coûtent chers quand ils arrivent sans papier. Ils coûtent cher quand il faut les nourrir, les loger, les encadrer...
Rien de bon pour la communauté haïtienne
Ces derniers temps, la plupart des immigrants illégaux qui arrivent au Québec sont d’origine haïtienne. Les Québécois d’origine haïtienne sont très bien intégrés. Ils sont en général travaillants, éduqués et en plus ils parlent français. Mais les immigrants illégaux d’origine haïtienne qui proviennent des États-Unis ne sont pas nécessairement francophones. Ils ne sont pas nécessairement bien éduqués non plus. Si cette immigration illégale se maintient, gageons qu’elle divisera la communauté haïtienne du Québec. Le même raisonnement peut être tenu avec à peu près tous les immigrants illégaux qui proviennent des États-Unis, peu importe leur nationalité.
La responsabilité du Canada
Le Canada ne peut pas prendre sur ses épaules la misère du monde entier, surtout lorsqu’il n’en est pas responsable. La cause est limpide dans le cas d’Haïti. Si les Haïtiens fuient leur pays, c’est d’abord et avant tout parce que les élites haïtiennes sont en majorités incompétentes et corrompues. Ces mêmes élites qui échafaudent toutes sortes de théories plus ou moins farfelues pour détourner la colère des Haïtiens et pour culpabiliser les Occidentaux.
Il n’en va pas de même pour les gens qui fuient le Proche et le Moyen-Orient. Malheureusement, dans ces cas, le Canada porte une part de responsabilité, parce qu’il appuie des régimes islamistes qui sont responsables de la dérive islamiste dans le monde musulman. Mais il faut bien dire que cette responsabilité est secondaire par-rapport à celle des grandes puissances comme les États-Unis et la France.
Les considérations économiques, politiques et morales ci-dessus sont importantes pour aider à prendre des décisions face à la vague d’immigrants illégaux qui menace le Canada.
Un débat à faire d’urgence
Il existe un danger réel que des millions de personnes veuillent traverser la frontière américaine pour entrer illégalement au Canada.
Nous devons nous demander quel est le seuil de tolérance des sociétés canadiennes et québécoises pour ces immigrants illégaux.
Fondamentalement, répétons-le, ce sont des tricheurs qui passent devant les autres immigrants légitimes.
Faut-il accueillir davantage des ces immigrants illégaux, mais restreindre l’accès aux autres types d’immigrants? Quel est le seuil critique d’accueil des réfugiés? Combien notre économie peut-elle absorber d’immigrants légaux et illégaux? Combien notre société peut-elle en accueillir sans que des ghettos se forment? Que pouvons-nous faire au besoin pour décourager, ou même arrêter, l’immigration illégale?
Ces questions ne sont pas agréables à poser. Il est dérangeant d’y réfléchir, surtout dans des sociétés chrétiennes où les valeurs de charité sont encore très présentes.
Une question de temps
Nous ferions mieux d’engager un débat national sur ces questions au plus vite, pendant que le climat social est encore relativement sain. Il serait dommage d’être surpris comme en Europe par une vague de migration massive et de subir toutes les tensions sociales et politiques qui ne manqueraient pas d’en résulter.
Est-ce trop demander que d’exhorter nos dirigeants à réfléchir un peu sur ce qui risque de se produire dans les prochaines années ou peut-être même dans les prochains mois? Si pour une fois nous devancions une crise?
Misye ap ENSILTE AYISYEN ,byen ke se pa ENSILT si majorite sa l ap di an se la VERITE.
Antouka ,misye ap rann MOUN ki ap lite pou chanje PEYI DAYITI SEVIS ;PETET misye ap netralize KANADYEN ki ta vle ede ELIT KORONPI an kontinye mete PYE sou KOU PEP AYISYEN an:
http://journaldemontreal.com/2017/08/02/les-immigrants-tricheurs
Les immigrants illégaux qui arrivent au Canada ces jours-ci sont des tricheurs. Bien souvent, ils sont entrés illégalement aux États-Unis, c’est-à-dire sans faire de demande officielle comme les autres personnes qui désirent immigrer aux États-Unis. La crainte qu’inspirent les politiques de Donald Trump les a fait migrer illégalement à nouveau, cette fois au Canada. À nouveau, ils passent devant tout le monde, devant tous les autres qui ont fait une demande légale pour immigrer au Canada.
À la fin du processus, ils seront soit accueillis comme réfugiés, soit refusés (et possiblement retournés aux États-Unis), soit encore ils s’évanouiront dans la nature et ils tenteront de survivre dans toutes sortes de boulots au noir.
Rien de réjouissant
La vague grandissante d’immigrants illégaux qui fuient les États-Unis n’a rien de réjouissant.
Ces immigrants illégaux coûtent chers, surtout s’ils sont peu qualifiés. Ils exercent une pression à la baisse sur les salaires et ils risquent de se retrouver sur le bien-être social s’ils obtiennent le statu de réfugiés. Ils coûtent chers quand ils arrivent malades. Ils coûtent chers quand ils arrivent sans papier. Ils coûtent cher quand il faut les nourrir, les loger, les encadrer...
Rien de bon pour la communauté haïtienne
Ces derniers temps, la plupart des immigrants illégaux qui arrivent au Québec sont d’origine haïtienne. Les Québécois d’origine haïtienne sont très bien intégrés. Ils sont en général travaillants, éduqués et en plus ils parlent français. Mais les immigrants illégaux d’origine haïtienne qui proviennent des États-Unis ne sont pas nécessairement francophones. Ils ne sont pas nécessairement bien éduqués non plus. Si cette immigration illégale se maintient, gageons qu’elle divisera la communauté haïtienne du Québec. Le même raisonnement peut être tenu avec à peu près tous les immigrants illégaux qui proviennent des États-Unis, peu importe leur nationalité.
La responsabilité du Canada
Le Canada ne peut pas prendre sur ses épaules la misère du monde entier, surtout lorsqu’il n’en est pas responsable. La cause est limpide dans le cas d’Haïti. Si les Haïtiens fuient leur pays, c’est d’abord et avant tout parce que les élites haïtiennes sont en majorités incompétentes et corrompues. Ces mêmes élites qui échafaudent toutes sortes de théories plus ou moins farfelues pour détourner la colère des Haïtiens et pour culpabiliser les Occidentaux.
Il n’en va pas de même pour les gens qui fuient le Proche et le Moyen-Orient. Malheureusement, dans ces cas, le Canada porte une part de responsabilité, parce qu’il appuie des régimes islamistes qui sont responsables de la dérive islamiste dans le monde musulman. Mais il faut bien dire que cette responsabilité est secondaire par-rapport à celle des grandes puissances comme les États-Unis et la France.
Les considérations économiques, politiques et morales ci-dessus sont importantes pour aider à prendre des décisions face à la vague d’immigrants illégaux qui menace le Canada.
Un débat à faire d’urgence
Il existe un danger réel que des millions de personnes veuillent traverser la frontière américaine pour entrer illégalement au Canada.
Nous devons nous demander quel est le seuil de tolérance des sociétés canadiennes et québécoises pour ces immigrants illégaux.
Fondamentalement, répétons-le, ce sont des tricheurs qui passent devant les autres immigrants légitimes.
Faut-il accueillir davantage des ces immigrants illégaux, mais restreindre l’accès aux autres types d’immigrants? Quel est le seuil critique d’accueil des réfugiés? Combien notre économie peut-elle absorber d’immigrants légaux et illégaux? Combien notre société peut-elle en accueillir sans que des ghettos se forment? Que pouvons-nous faire au besoin pour décourager, ou même arrêter, l’immigration illégale?
Ces questions ne sont pas agréables à poser. Il est dérangeant d’y réfléchir, surtout dans des sociétés chrétiennes où les valeurs de charité sont encore très présentes.
Une question de temps
Nous ferions mieux d’engager un débat national sur ces questions au plus vite, pendant que le climat social est encore relativement sain. Il serait dommage d’être surpris comme en Europe par une vague de migration massive et de subir toutes les tensions sociales et politiques qui ne manqueraient pas d’en résulter.
Est-ce trop demander que d’exhorter nos dirigeants à réfléchir un peu sur ce qui risque de se produire dans les prochaines années ou peut-être même dans les prochains mois? Si pour une fois nous devancions une crise?
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Re: Yon ELIT AYISYEN ENKONPETAN e KORONPI dapre JOURNAL DE MONTREAL
Se yon paket ATIK NEGATIF ki ap fet sou AYITI sejousi.
SANBLE anpil ETRANJE reyalize ke AYITI lan pwen li ye an se akoz de yon ELIT ENKONPETAN e KORONPI.
Te gen KESYON lan PRES ETRANJE an ,se pouki sa ke KOLERA ki lan ZILE KISKEYA a ,te fe plis ke 10000 MO ann AYITI ,te fe anviwon 100 MO an DOMINIKANI.
SE MENM ZILE an e MOUN ale vini ant 2 PEYI yo.
Se senp ,paske KOLERA se yon "waterborne disease" se DLO POLYE ki transmet MALADI an ,DOMINIKANI gen yon SISTEM SANITASYON,AYITI pa genyen.
Yon bagay ki ka fe MOUN SEZI ,POTOPRENS se sel VIL sou PLANET lan ,ki gen plis ke 1 MILYON MOUN ki pa gen yon "sewer system",yon SISTEM EVAKWASYON DECHE.
Konpayi PULITZER te voye yon JOUNALIS al ANKETE .Men sa l jwenn e sa l di yo FAMILYE a MOUN ki ap viv ann AYITI:
http://pulitzercenter.org/reporting/haiti-trash-paradise
Haïti: Trash in Paradise
01 août 2017 |
Notes de terrain
par
Rebecca Hersher
Ajouter à un plan de leçon
Post_3_photo_1.jpg
Les gens travaillent et jouent dans un quai à Cité Soleil, près de Port-au-Prince, en Haïti. Peu de gens dans la communauté ont accès à des installations d'égout sécuritaires. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
Les gens travaillent et jouent dans un quai à Cité Soleil, près de Port-au-Prince, en Haïti. Peu de gens dans la communauté ont accès à des installations d'égout sécuritaires. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
C'est une après-midi heureuse sur le quai Cite Soleil. Les hommes réparent les filets de pêche et les tirent dans l'eau. Les femmes nettoient les poissons, enlevant les têtes et les écailles. Les enfants sautent dans l'eau bleu-vert. Les musiciens aspirants et les gangsters actuels se promènent sur les motos chinoises. L'un d'eux me montre sa dernière vidéo musicale. C'est un bon samedi. Le soleil est sorti, il n'a pas plu dans les jours et il y a un concert prévu ce soir-là.
Cite Soleil, à quelques kilomètres du centre-ville de Port-au-Prince, est une collection de projets de logements de blocs de ciment d'une histoire datant de plusieurs décennies. L'emplacement est idyllique, à certains égards. Mais quand il pleut, il se transforme en cauchemar.
Un canal ouvert étouffé avec des eaux usées brutes se trouve à quelques mètres de la famille de Cite Soleil. Quand il pleut, les canaux débordent rapidement et inondent la communauté avec trois pieds ou plus d'eau et de boues dangereuses. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
Un canal ouvert étouffé avec des eaux usées brutes se trouve à quelques mètres de la famille de Cite Soleil. Quand il pleut, les canaux débordent rapidement et inondent la communauté avec trois pieds ou plus d'eau et de boues dangereuses. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
L'eau des quartiers les plus riches en montée et des quartiers urbains bondés se précipite dans les canaux qui traversent la ville. Dans de nombreux quartiers, y compris dans Cite Soleil lui-même, les gens jettent le contenu des latrines dans le canal ou se soulagent directement dans celui-ci.
Au fur et à mesure que l'eau monte, elle porte un mur de détritus et d'excréments vers des projets de logement de Cite Soleil sur la mer. Les inondations ont de plus en plus pire, disent les habitants. Les maisons se remplissent de trois pieds ou plus d'eau et de boues. Après une inondation autour de Pâques cette année, les résidents disent avoir trouvé quatre corps dans le canal. Et les gens sont devenus malades. Il y a encore une flambée de choléra en Haïti (la maladie a été introduite par les soldats de l'ONU après le séisme de 2010).
Après la pluie, les gens utilisent des seaux, des pelles - tout ce qu'ils peuvent trouver - pour nettoyer la boue putride des rues. Et puis ils attendent la prochaine tempête de pluie. C'est le prix de l'absence de système d'assainissement fonctionnel dans une ville de millions.
Cette histoire fait partie de:
Solution d'égout en Haïti
Voir plus dans ce projet
Auteur
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Rebecca Hersher
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Rebecca Hersher écrit sur la santé et les conflits. Elle a signalé en Afrique de l'Ouest, au Groenland, en Afghanistan et aux États-Unis pour la radio publique nationale et en tant que journaliste indépendant.
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Région:
Caraïbes
Pays:
Haïti
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• Haïti: des millions passés et encore nul part ailleurs
• La gestion des déchets au Ghana: elle prend deux
• Trash de la Thaïlande: Y a-t-il un espace pour la durabilité?
Santé mondiale: les risques de pollution
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Haïti: Trash in Paradise
01 août 2017 |
Notes de terrain
par
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Les gens travaillent et jouent dans un quai à Cité Soleil, près de Port-au-Prince, en Haïti. Peu de gens dans la communauté ont accès à des installations d'égout sécuritaires. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
Les gens travaillent et jouent dans un quai à Cité Soleil, près de Port-au-Prince, en Haïti. Peu de gens dans la communauté ont accès à des installations d'égout sécuritaires. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
C'est une après-midi heureuse sur le quai Cite Soleil. Les hommes réparent les filets de pêche et les tirent dans l'eau. Les femmes nettoient les poissons, enlevant les têtes et les écailles. Les enfants sautent dans l'eau bleu-vert. Les musiciens aspirants et les gangsters actuels se promènent sur les motos chinoises. L'un d'eux me montre sa dernière vidéo musicale. C'est un bon samedi. Le soleil est sorti, il n'a pas plu dans les jours et il y a un concert prévu ce soir-là.
Cite Soleil, à quelques kilomètres du centre-ville de Port-au-Prince, est une collection de projets de logements de blocs de ciment d'une histoire datant de plusieurs décennies. L'emplacement est idyllique, à certains égards. Mais quand il pleut, il se transforme en cauchemar.
Un canal ouvert étouffé avec des eaux usées brutes se trouve à quelques mètres de la famille de Cite Soleil. Quand il pleut, les canaux débordent rapidement et inondent la communauté avec trois pieds ou plus d'eau et de boues dangereuses. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
Un canal ouvert étouffé avec des eaux usées brutes se trouve à quelques mètres de la famille de Cite Soleil. Quand il pleut, les canaux débordent rapidement et inondent la communauté avec trois pieds ou plus d'eau et de boues dangereuses. Image de Rebecca Hersher. Haïti, 2017.
L'eau des quartiers les plus riches en montée et des quartiers urbains bondés se précipite dans les canaux qui traversent la ville. Dans de nombreux quartiers, y compris dans Cite Soleil lui-même, les gens jettent le contenu des latrines dans le canal ou se soulagent directement dans celui-ci.
Au fur et à mesure que l'eau monte, elle porte un mur de détritus et d'excréments vers des projets de logement de Cite Soleil sur la mer. Les inondations ont de plus en plus pire, disent les habitants. Les maisons se remplissent de trois pieds ou plus d'eau et de boues. Après une inondation autour de Pâques cette année, les résidents disent avoir trouvé quatre corps dans le canal. Et les gens sont devenus malades. Il y a encore une flambée de choléra en Haïti (la maladie a été introduite par les soldats de l'ONU après le séisme de 2010).
Après la pluie, les gens utilisent des seaux, des pelles - tout ce qu'ils peuvent trouver - pour nettoyer la boue putride des rues. Et puis ils attendent la prochaine tempête de pluie. C'est le prix de l'absence de système d'assainissement fonctionnel dans une ville de millions.
Cette histoire fait partie de:
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Rebecca Hersher écrit sur la santé et les conflits. Elle a signalé en Afrique de l'Ouest, au Groenland, en Afghanistan et aux États-Unis pour la radio publique nationale et en tant que journaliste indépendant.
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Jeu de rôle: Le patriote
Re: Yon ELIT AYISYEN ENKONPETAN e KORONPI dapre JOURNAL DE MONTREAL
Sa a menm se sou SISTEM "BAYAKOU" an:
http://pulitzercenter.org/reporting/haitis-bayakou-hauling-away-human-excrement-hand
Bayakou d'Haïti: transportant à l'extérieur les excréments humains à la main
31 juillet 2017 |
Radio Nationale Publique
par
Rebecca Hersher
Gabriel Toto, âgé de 35 ans, a travaillé en tant que bayakou, ou nettoyant pour latrine, depuis une décennie. Sur les nuits sans journaliste, il travaille généralement nu. Image de Marie Arago / NPR. Haïti, 2017.
Gabriel Toto, âgé de 35 ans, a travaillé en tant que bayakou, ou nettoyant pour latrine, depuis une décennie. Sur les nuits sans journaliste, il travaille généralement nu. Image de Marie Arago / NPR. Haïti, 2017.
LULU GARCIA-NAVARRO, HÔTE:
Port-au-Prince, Haïti, est l'une des plus grandes villes du monde sans système d'égouts central. La plupart des plus de 3 millions de résidents utilisent des dépendances et comptent sur des travailleurs avec certains des pires emplois au monde, transportant les excréments humains à la main un seau à la fois. Les hommes s'appellent bayakou, et ils travaillent dans l'obscurité à la lumière des bougies. Rebecca Hersher a passé une nuit avec un groupe d'entre eux.
REBECCA HERSHER, BYLINE: Dès que nous arrivons, vous pouvez le sentir. C'est une puanteur terreuse, comme des œufs pourris et des choses grossières.
Bonsoir.
On estime que 1 Haïti sur 5 n'a pas accès à une sorte de latrine. Ceux qui ont des dépendances embauchent généralement un bayakou pour les nettoyer. Ce soir, une équipe de quatre bayakou vide une dépendance. L'un des gars, Gabriel Toto, est assis sur le bord du trou, ses pieds nus dans la soupe brune en bas, tenant un gros bâton.
GABRIEL TOTO: Oh.
HERSHER: Le bâton mesure environ 15 pieds de profondeur. Ce soir, avec un journaliste étranger, Gabriel porte des pantalons et des gants au genou. Habituellement, il travaille nu.
TOTO: (par l'intermédiaire de l'interprète) Ils ne nous donnent généralement pas ces gants et ces choses, lorsque vous n'êtes pas là.
HERSHER: Il attrape un seau, allume une cigarette et pénètre dans le trou. Il est 21h30
HOMME NON IDNTIFIÉ: Alors il va commencer maintenant.
(CROSSTALK)
HERSHER: Les hommes plaisent comme ils travaillent. De temps en temps, ils déversent un seau et trouvent quelque chose d'étrange ou dangereux - des bâtons, des pierres, des ordures, des lames de rasoir. À un moment donné, le photographe me surprend.
PHOTOGRAPHE NON IDENTIFIÉ: Oh, oh. Oh mon Dieu.
HERSHER: Il y a un fusil dans la latrine (rires).
Ils regardent l'arme à feu, déterminez que cela ne fonctionne pas et continue. Il faut environ trois heures pour Gabriel vider le trou. À la fin, il transpire et couvre les déchets humains. Ses gants sont déchirés.
Avez-vous déjà été blessé?
TOTO: (Par l'interprète) J'ai été blessé de nombreux endroits, comme mes doigts, mes bras. Et même j'ai des points de suture dans mes jambes, sur mes pieds - la même situation. J'ai même perdu un de mes ongles un jour quand je travaillais.
HERSHER: Plus tard, un autre bayakou me retient pour me montrer ses yeux, rouge et rempli de pus par une infection, il dit qu'il a eu pendant des années. La plupart des équipes de Bayakou volent les déchets partout où ils le peuvent. Environ 53 000 gallons de déchets humains font leur entrée dans les canaux de la ville et les fossés de la route tous les jours à Port-au-Prince. Il répand la maladie. Haïti est encore au milieu d'une épidémie de choléra. Il prend feu pendant les pluies. Le contenu de votre dépendance pourrait simplement apparaître sans préavis dans votre salon. Mais ce soir, les tambours sont transportés dans un endroit plus sûr et plus officiel, la seule station de traitement des eaux usées en Haïti parce que, ce soir, ces bayakou travaillent pour l'une des deux grandes entreprises d'assainissement de Port-au-Prince.
FLAURE DUBOIS: nous en tant qu'entreprise - en tant qu'entreprise privée, nous nous assurons qu'ils vont au bon endroit. Ils chargent les tambours dans un camion. Et c'est notre chauffeur.
HERSHER: Flaure Dubois est la directrice financière de Jedco. Elle et le directeur des opérations de l'entreprise, Rudy Riviere, disent qu'une façon de mieux améliorer le système d'assainissement en Haïti est de professionnaliser l'entreprise bayakou.
RUDY RIVIERE: les haïtiens ne se soucient pas de payer pour quelque chose. Mais ils veulent simplement comprendre ce qu'ils obtiennent pour cela.
HERSHER: Par exemple, Jedco a annoncé les dangers des eaux usées brutes. Si les gens ont peur, peut-être qu'ils paieront de l'avoir transporté en camion plutôt que d'être jeté dans un canal ouvert. L'avantage évident pour l'entreprise est plus de clients et plus d'argent. De retour à l'usine de traitement des eaux usées, il est 14h30 le matin, et les bayakou qui soufflent du camion alors qu'ils déchargent le transport de la nuit.
(SOUNDBITE DE SLOSHING LIQUID)
HERSHER: Gabriel est debout dans le parking, sans chemise et humide d'un bain à godets à l'arrière du camion. Sur les 175 $ que Jedco obtient du client de ce soir, Gabriel va prendre à la maison quatre dollars. La société ne fournit pas de douche, de soins de santé ou même d'eau pour les gars à boire au travail. Les quatre dollars ne suffisent pas à nourrir les trois enfants de Gabriel. Et bayakou et leurs familles sont stigmatisés et même ostracisés. C'est l'une des raisons pour lesquelles ils ne fonctionnent que dans le noir.
TOTO: (À travers l'interprète) Tant de fois, j'ai été humilié par le travail que je fais. Vous avez vu ce que j'ai fait. Certaines personnes ne seront jamais près de moi - comme si je me parle de la même manière que vous me parlez aussi près que vous. De même, ils resteront loin de moi.
HERSHER: Il dit que les gens devraient payer pour que leurs eaux usées ne soient pas suffisantes pour changer la culture autour de l'assainissement en Haïti. Les gens doivent également respecter ceux qui font le travail sale, qui commence par une meilleure rémunération et des soins de santé de base.
TOTO: (par l'intermédiaire de l'interprète) Les premières personnes qui devraient donner de la valeur au travail que nous faisons sont les gens de l'entreprise. Et, vous savez, quand ils sont assis derrière leur bureau dans l'AC, ils ne se soucient pas. Ils ne s'occupent pas de nous. Donc, s'ils ne donnent pas une valeur à ce que nous faisons, qui d'autre va donner de la valeur à cela?
HERSHER: Mais il ne prend pas son souffle pour que les choses changent. Il dit que son rêve est d'obtenir son permis de conduire. Si Dieu veut, dit-il, ses enfants ne feront jamais ce travail. Pour NPR News, je suis Rebecca Hersher à Port-au-Prince.
GARCIA-NAVARRO: Cette histoire a été soutenue par une subvention du Centre Pulitzer sur les rapports de crise.
Cette histoire fait partie de:
Solution d'égout en Haïti
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Auteur
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Rebecca Hersher
Bénéficiaire
Rebecca Hersher écrit sur la santé et les conflits. Elle a signalé en Afrique de l'Ouest, au Groenland, en Afghanistan et aux États-Unis pour la radio publique nationale et en tant que journaliste indépendant.
Région:
Caraïbes
Pays:
Haïti
Mots clés:
Travail , santé publique
Médias:
l'audio
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Jeff Barrus
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http://pulitzercenter.org/reporting/haitis-bayakou-hauling-away-human-excrement-hand
Bayakou d'Haïti: transportant à l'extérieur les excréments humains à la main
31 juillet 2017 |
Radio Nationale Publique
par
Rebecca Hersher
Gabriel Toto, âgé de 35 ans, a travaillé en tant que bayakou, ou nettoyant pour latrine, depuis une décennie. Sur les nuits sans journaliste, il travaille généralement nu. Image de Marie Arago / NPR. Haïti, 2017.
Gabriel Toto, âgé de 35 ans, a travaillé en tant que bayakou, ou nettoyant pour latrine, depuis une décennie. Sur les nuits sans journaliste, il travaille généralement nu. Image de Marie Arago / NPR. Haïti, 2017.
LULU GARCIA-NAVARRO, HÔTE:
Port-au-Prince, Haïti, est l'une des plus grandes villes du monde sans système d'égouts central. La plupart des plus de 3 millions de résidents utilisent des dépendances et comptent sur des travailleurs avec certains des pires emplois au monde, transportant les excréments humains à la main un seau à la fois. Les hommes s'appellent bayakou, et ils travaillent dans l'obscurité à la lumière des bougies. Rebecca Hersher a passé une nuit avec un groupe d'entre eux.
REBECCA HERSHER, BYLINE: Dès que nous arrivons, vous pouvez le sentir. C'est une puanteur terreuse, comme des œufs pourris et des choses grossières.
Bonsoir.
On estime que 1 Haïti sur 5 n'a pas accès à une sorte de latrine. Ceux qui ont des dépendances embauchent généralement un bayakou pour les nettoyer. Ce soir, une équipe de quatre bayakou vide une dépendance. L'un des gars, Gabriel Toto, est assis sur le bord du trou, ses pieds nus dans la soupe brune en bas, tenant un gros bâton.
GABRIEL TOTO: Oh.
HERSHER: Le bâton mesure environ 15 pieds de profondeur. Ce soir, avec un journaliste étranger, Gabriel porte des pantalons et des gants au genou. Habituellement, il travaille nu.
TOTO: (par l'intermédiaire de l'interprète) Ils ne nous donnent généralement pas ces gants et ces choses, lorsque vous n'êtes pas là.
HERSHER: Il attrape un seau, allume une cigarette et pénètre dans le trou. Il est 21h30
HOMME NON IDNTIFIÉ: Alors il va commencer maintenant.
(CROSSTALK)
HERSHER: Les hommes plaisent comme ils travaillent. De temps en temps, ils déversent un seau et trouvent quelque chose d'étrange ou dangereux - des bâtons, des pierres, des ordures, des lames de rasoir. À un moment donné, le photographe me surprend.
PHOTOGRAPHE NON IDENTIFIÉ: Oh, oh. Oh mon Dieu.
HERSHER: Il y a un fusil dans la latrine (rires).
Ils regardent l'arme à feu, déterminez que cela ne fonctionne pas et continue. Il faut environ trois heures pour Gabriel vider le trou. À la fin, il transpire et couvre les déchets humains. Ses gants sont déchirés.
Avez-vous déjà été blessé?
TOTO: (Par l'interprète) J'ai été blessé de nombreux endroits, comme mes doigts, mes bras. Et même j'ai des points de suture dans mes jambes, sur mes pieds - la même situation. J'ai même perdu un de mes ongles un jour quand je travaillais.
HERSHER: Plus tard, un autre bayakou me retient pour me montrer ses yeux, rouge et rempli de pus par une infection, il dit qu'il a eu pendant des années. La plupart des équipes de Bayakou volent les déchets partout où ils le peuvent. Environ 53 000 gallons de déchets humains font leur entrée dans les canaux de la ville et les fossés de la route tous les jours à Port-au-Prince. Il répand la maladie. Haïti est encore au milieu d'une épidémie de choléra. Il prend feu pendant les pluies. Le contenu de votre dépendance pourrait simplement apparaître sans préavis dans votre salon. Mais ce soir, les tambours sont transportés dans un endroit plus sûr et plus officiel, la seule station de traitement des eaux usées en Haïti parce que, ce soir, ces bayakou travaillent pour l'une des deux grandes entreprises d'assainissement de Port-au-Prince.
FLAURE DUBOIS: nous en tant qu'entreprise - en tant qu'entreprise privée, nous nous assurons qu'ils vont au bon endroit. Ils chargent les tambours dans un camion. Et c'est notre chauffeur.
HERSHER: Flaure Dubois est la directrice financière de Jedco. Elle et le directeur des opérations de l'entreprise, Rudy Riviere, disent qu'une façon de mieux améliorer le système d'assainissement en Haïti est de professionnaliser l'entreprise bayakou.
RUDY RIVIERE: les haïtiens ne se soucient pas de payer pour quelque chose. Mais ils veulent simplement comprendre ce qu'ils obtiennent pour cela.
HERSHER: Par exemple, Jedco a annoncé les dangers des eaux usées brutes. Si les gens ont peur, peut-être qu'ils paieront de l'avoir transporté en camion plutôt que d'être jeté dans un canal ouvert. L'avantage évident pour l'entreprise est plus de clients et plus d'argent. De retour à l'usine de traitement des eaux usées, il est 14h30 le matin, et les bayakou qui soufflent du camion alors qu'ils déchargent le transport de la nuit.
(SOUNDBITE DE SLOSHING LIQUID)
HERSHER: Gabriel est debout dans le parking, sans chemise et humide d'un bain à godets à l'arrière du camion. Sur les 175 $ que Jedco obtient du client de ce soir, Gabriel va prendre à la maison quatre dollars. La société ne fournit pas de douche, de soins de santé ou même d'eau pour les gars à boire au travail. Les quatre dollars ne suffisent pas à nourrir les trois enfants de Gabriel. Et bayakou et leurs familles sont stigmatisés et même ostracisés. C'est l'une des raisons pour lesquelles ils ne fonctionnent que dans le noir.
TOTO: (À travers l'interprète) Tant de fois, j'ai été humilié par le travail que je fais. Vous avez vu ce que j'ai fait. Certaines personnes ne seront jamais près de moi - comme si je me parle de la même manière que vous me parlez aussi près que vous. De même, ils resteront loin de moi.
HERSHER: Il dit que les gens devraient payer pour que leurs eaux usées ne soient pas suffisantes pour changer la culture autour de l'assainissement en Haïti. Les gens doivent également respecter ceux qui font le travail sale, qui commence par une meilleure rémunération et des soins de santé de base.
TOTO: (par l'intermédiaire de l'interprète) Les premières personnes qui devraient donner de la valeur au travail que nous faisons sont les gens de l'entreprise. Et, vous savez, quand ils sont assis derrière leur bureau dans l'AC, ils ne se soucient pas. Ils ne s'occupent pas de nous. Donc, s'ils ne donnent pas une valeur à ce que nous faisons, qui d'autre va donner de la valeur à cela?
HERSHER: Mais il ne prend pas son souffle pour que les choses changent. Il dit que son rêve est d'obtenir son permis de conduire. Si Dieu veut, dit-il, ses enfants ne feront jamais ce travail. Pour NPR News, je suis Rebecca Hersher à Port-au-Prince.
GARCIA-NAVARRO: Cette histoire a été soutenue par une subvention du Centre Pulitzer sur les rapports de crise.
Cette histoire fait partie de:
Solution d'égout en Haïti
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Auteur
Rebecca Hersher's picture
Rebecca Hersher
Bénéficiaire
Rebecca Hersher écrit sur la santé et les conflits. Elle a signalé en Afrique de l'Ouest, au Groenland, en Afghanistan et aux États-Unis pour la radio publique nationale et en tant que journaliste indépendant.
Région:
Caraïbes
Pays:
Haïti
Mots clés:
Travail , santé publique
Médias:
l'audio
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