Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
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Rodlam Sans Malice
piporiko
Marc-Henry
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Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Transparency International : Je récuse
Je me suis longtemps gardé d’intervenir dans les débats publics de mon pays ne me trouvant pas suffisamment « légitime » pour en parler depuis que j’ai accepté d’assumer des missions professionnelles à l’étranger pour des organisations internationales. Mes amis journalistes à qui je refuse d’accorder des entrevues me pardonneront ce « bref coup de colère » pourtant public qui marque mon refus d’accepter la « laideur collective » véhiculée par les haïtiens eux-mêmes acceptant cette perception de pays corrompu tellement dommageable. En effet, Je récuse qu’Haïti soit l’un des quatre pays les plus corrompus de la planète, telle que sous-entendu dans le dernier rapport en date de Transparency International qui vient d’être publié. On aurait progressé de 3 points, car le rapport de 2006 nous classait bon dernier à l'échelle de la planète. Une fois encore, tous les Haïtiens, pas seulement les politiques comme on pourrait le croire, sont donc perçus comme des corrupteurs, des corrompus, des blanchisseurs directs ou indirects d’avoirs corrompus, des bénéficiaires directs ou indirects de cette corruption. Nos institutions politiques, nos institutions financières, notre société civile, nos médias par action ou omission sont perçus à l’échelle internationale comme vivant dans ou de la corruption.
Hélas, « perception vaut fait » car même s’il s’agit bien que d’un indice de perception, ce rapport mondial sera lu, décortiqué, interprété de différentes manières par tous nos partenaires politiques et financiers. Encore une fois, l’aide publique au développement, les investissements étrangers, les nouveaux emplois, et le peu de touristes qui « s’aventuraient » chez nous iront dans des endroits perçus comme étant plus sûrs, car la corruption entraîne la violence, l’insécurité, l’instabilité etc… S’il en est ainsi, le décollage économique n’est pas pour demain, déjà dans un pays où la « perception » des investisseurs voire dans ce cas la réalité est que ce sont des forces étrangères qui contribuent à assurer sa sécurité.
Pourtant, tous ceux qui comme moi ont pu vivre dans d’autres pays un peu semblables à la notre, savent que cette perception est très loin de la réalité et en plus on est même en droit de questionner cette perception. Peut-être devrais-je taire ma colère ou la modérer à voir certains de mes concitoyens, responsables publics, se donner en spectacle quotidiennement dans les médias dans des accusations et contre accusations de toutes sortes, parfois sans évidence.
Je pourrais citer une dizaine de pays connus pour leur haut niveau de corruption bien pire qu’Haïti, mais cela ne servira à rien car les citoyens de ces pays font tout pour vendre une image différente de leur pays, car ils savent qu’ils sont dans un monde global où chacun se bat pour attirer des investissements et à ce jeu on ne doit pas être perçu comme le dernier ou le plus laid. Ma colère vient aussi du fait que nous semblons activement accepter cette perception, l’assumer et la revendre « version améliorée » sur la scène internationale. Pire, on semble s’en servir pour se débarrasser d’adversaires politiques ou économiques.
Pourtant, à coté de chez nous, la république dominicaine s’est récemment levée d’un seul bloc pour récuser l’épithète d’état en faillite, ou d´état esclavagiste avec un lobby international très performant et des moyens financiers conséquents. Ce pays voisin réalise actuellement une opération publique pour consommation à la fois nationale et internationale en jugeant des responsables financiers accusés de faillite frauduleuse d’une banque locale, mais sur la base d’évidences et non de commérage. Le pays tout entier gère son image publique qui est son fonds de commerce et de quoi dépend toutes ses activités économiques, la création d’emplois et la stabilité politique. Je sais qu’il y a plus d’un que ces comparaisons agacent, mais on s’enferme trop souvent dans des querelles internes oubliant notre appartenance à un espace économique fait de challenges et de compétitions. On oublie aussi le capital-image d’un pays est aujourd’hui son principal actif. Il suffit de regarder
la publicité que s’offrent les pays sur les principales chaines internationales pour se positionner pas seulement pour le tourisme mais pour accueillir les compétitions sportives, les événements internationaux de façon à faire tourner l’économie et ainsi créer des emplois. Ainsi va le monde global d’aujourd’hui et accepter sans réagir ce classement de Transparency International équivaut à un suicide. Certes, il ne s’agit pas d’aller crier sur tous les toits qu’on est des incorruptibles, mais accepter année après année ce classement sans réagir est la forme la plus sûre de garder la dernière place. D’ailleurs, personne ne pensera à nous en déloger.
On devrait arrêter cette autoflagellation collective et promouvoir l’image d’Haïti que nous voulons construire pour nos enfants par des actes anti-corruption quand il y a des évidences et en le faisant savoir. Il ne faudrait pas rajouter au contenu ces sites internet officiels qui déconseillent aux touristes de se rendre en Haïti, à ces documentaires de journalistes sensationnalistes qui ressassent les images d’une Haïti en crise ou dans le meilleur des cas attendant la prochaine crise. Nous ne lutterons pas durablement contre la pauvreté en tolérant la moindre forme de corruption dans un pays où l’accès aux services sociaux de base est critique, mais nous ne créerons pas non plus la richesse en se faisant passer ou en acceptant « activement » d’être perçus comme les plus corrompus. Un peu de dignité !
Nesmy Manigat, citoyen
27 septembre 2007
Je me suis longtemps gardé d’intervenir dans les débats publics de mon pays ne me trouvant pas suffisamment « légitime » pour en parler depuis que j’ai accepté d’assumer des missions professionnelles à l’étranger pour des organisations internationales. Mes amis journalistes à qui je refuse d’accorder des entrevues me pardonneront ce « bref coup de colère » pourtant public qui marque mon refus d’accepter la « laideur collective » véhiculée par les haïtiens eux-mêmes acceptant cette perception de pays corrompu tellement dommageable. En effet, Je récuse qu’Haïti soit l’un des quatre pays les plus corrompus de la planète, telle que sous-entendu dans le dernier rapport en date de Transparency International qui vient d’être publié. On aurait progressé de 3 points, car le rapport de 2006 nous classait bon dernier à l'échelle de la planète. Une fois encore, tous les Haïtiens, pas seulement les politiques comme on pourrait le croire, sont donc perçus comme des corrupteurs, des corrompus, des blanchisseurs directs ou indirects d’avoirs corrompus, des bénéficiaires directs ou indirects de cette corruption. Nos institutions politiques, nos institutions financières, notre société civile, nos médias par action ou omission sont perçus à l’échelle internationale comme vivant dans ou de la corruption.
Hélas, « perception vaut fait » car même s’il s’agit bien que d’un indice de perception, ce rapport mondial sera lu, décortiqué, interprété de différentes manières par tous nos partenaires politiques et financiers. Encore une fois, l’aide publique au développement, les investissements étrangers, les nouveaux emplois, et le peu de touristes qui « s’aventuraient » chez nous iront dans des endroits perçus comme étant plus sûrs, car la corruption entraîne la violence, l’insécurité, l’instabilité etc… S’il en est ainsi, le décollage économique n’est pas pour demain, déjà dans un pays où la « perception » des investisseurs voire dans ce cas la réalité est que ce sont des forces étrangères qui contribuent à assurer sa sécurité.
Pourtant, tous ceux qui comme moi ont pu vivre dans d’autres pays un peu semblables à la notre, savent que cette perception est très loin de la réalité et en plus on est même en droit de questionner cette perception. Peut-être devrais-je taire ma colère ou la modérer à voir certains de mes concitoyens, responsables publics, se donner en spectacle quotidiennement dans les médias dans des accusations et contre accusations de toutes sortes, parfois sans évidence.
Je pourrais citer une dizaine de pays connus pour leur haut niveau de corruption bien pire qu’Haïti, mais cela ne servira à rien car les citoyens de ces pays font tout pour vendre une image différente de leur pays, car ils savent qu’ils sont dans un monde global où chacun se bat pour attirer des investissements et à ce jeu on ne doit pas être perçu comme le dernier ou le plus laid. Ma colère vient aussi du fait que nous semblons activement accepter cette perception, l’assumer et la revendre « version améliorée » sur la scène internationale. Pire, on semble s’en servir pour se débarrasser d’adversaires politiques ou économiques.
Pourtant, à coté de chez nous, la république dominicaine s’est récemment levée d’un seul bloc pour récuser l’épithète d’état en faillite, ou d´état esclavagiste avec un lobby international très performant et des moyens financiers conséquents. Ce pays voisin réalise actuellement une opération publique pour consommation à la fois nationale et internationale en jugeant des responsables financiers accusés de faillite frauduleuse d’une banque locale, mais sur la base d’évidences et non de commérage. Le pays tout entier gère son image publique qui est son fonds de commerce et de quoi dépend toutes ses activités économiques, la création d’emplois et la stabilité politique. Je sais qu’il y a plus d’un que ces comparaisons agacent, mais on s’enferme trop souvent dans des querelles internes oubliant notre appartenance à un espace économique fait de challenges et de compétitions. On oublie aussi le capital-image d’un pays est aujourd’hui son principal actif. Il suffit de regarder
la publicité que s’offrent les pays sur les principales chaines internationales pour se positionner pas seulement pour le tourisme mais pour accueillir les compétitions sportives, les événements internationaux de façon à faire tourner l’économie et ainsi créer des emplois. Ainsi va le monde global d’aujourd’hui et accepter sans réagir ce classement de Transparency International équivaut à un suicide. Certes, il ne s’agit pas d’aller crier sur tous les toits qu’on est des incorruptibles, mais accepter année après année ce classement sans réagir est la forme la plus sûre de garder la dernière place. D’ailleurs, personne ne pensera à nous en déloger.
On devrait arrêter cette autoflagellation collective et promouvoir l’image d’Haïti que nous voulons construire pour nos enfants par des actes anti-corruption quand il y a des évidences et en le faisant savoir. Il ne faudrait pas rajouter au contenu ces sites internet officiels qui déconseillent aux touristes de se rendre en Haïti, à ces documentaires de journalistes sensationnalistes qui ressassent les images d’une Haïti en crise ou dans le meilleur des cas attendant la prochaine crise. Nous ne lutterons pas durablement contre la pauvreté en tolérant la moindre forme de corruption dans un pays où l’accès aux services sociaux de base est critique, mais nous ne créerons pas non plus la richesse en se faisant passer ou en acceptant « activement » d’être perçus comme les plus corrompus. Un peu de dignité !
Nesmy Manigat, citoyen
27 septembre 2007
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Solidarité et Unité pour sauver Haiti
Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Qui se cache derrière la très opaque Transparency International ?
La presse internationale commente le dernier rapport de Transparency International sur la corruption dans le monde. Elle accepte les conclusions de ce documents sans se poser de questions sur ses auteurs, leur méthodologie et leur finalité.
Transparency International se présente comme « une organisation de la société civile globale conduisant la lutte contre la corruption ». En d’autres termes, sa fonction est d’ouvrir de nouveaux marchés aux entreprises multinationales en accusant de corruption les gouvernements qui leur résistent et, en définitive, de favoriser la globalisation économique.
Bien qu’elle s’affirme organisation non-gouvernementale, Transparency International est un pseudopode de la National Endowment for Democracy (NED), la principale agence d’intervention légale des gouvernement états-unien et britannique. Rien d’étonnant donc à ce que ses principaux dirigeants soient liés à la CIA états-unienne et au MI6 britannique.
Transparency International a été créée par Peter Eigen, un juriste allemand qui travailla pendant 25 ans à la Banque mondiale avant de devenir consultant à la Fondation Ford, paravent philanthropique de la CIA. Aujourd’hui, M. Eigen a rejoint la Carnegie Endowment for International Peace, autre paravent de la CIA. Surtout, il est devenu l’un des administrateurs de Crown Agents (littéralement les Agents de la Couronne), un ancien service de la Couronne britannique, privatisé en 1997, chargé de l’assistance des gouvernements étrangers dans les processus de privatisation. C’est à ce titre que Peter Eigen a joué un rôle essentiel dans le processus de privatisation de l’économie irakienne sous occupation anglo-saxonne, Crown Agents étant alors sous-traitant de l’USAID.
M. Eigen est l’époux de Gesine Schwan, l’universitaire allemande spécialisée dans la dénonciation de l’anti-américanisme et candidate malheureuse du SPD à la présidence de la République.
La canadienne Huguerre Labelle a succédé à M. Eigen à la présidence de l’organisation. Mme Labelle est elle-même l’ex-président de l’Agence canadienne pour le développement international, c’est-à-dire l’homologue canadienne de l’USAID.
M. Eigen a composé un Conseil Consultatif qui sert de caution à l’organisation. On y trouve côte-côte ses amis de Crown Agents et de la Fondation Carnegie, les anciens présidents d’Allemagne et des États-Unis Richard von Weizsäcker et Jimmy Carter, le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy, etc…
Transparency International dispose de branches dans une centaine de pays. La plus importante étant bien sûr la branche états-unienne. Elle a été co-fondée par deux personnalités au profil remarquable :
Frank Vogt, un autre ancien de la Banque mondiale, est un chantre de la globalisation. Il est aujourd’hui employé par l’American Entreprise Institute aux côtés de son ami Paul Wolfowitz, ancien directeur de la Banque mondiale.
Michael J. Hershman, un ancien officier des services de renseignement militaire, a été le n°2 de l’USAID et dirige aujourd’hui l’unité anti-terroriste de la Chambre de commerce des États-Unis.
La branche française est présidée par Daniel Lebègue, ancien vice-président de la BNP. Au conseil d’administration, on trouve l’ancien secrétaire général de l’OCDE, Jean-Claude Paye ; tandis qu’au haut-conseil, on trouve l’ancien président du Fonds monétaire international, Jacques de Larosière, aux côtés de Pierre Rosanvallon, ancien secrétaire général de la Fondation Saint-Simon.
Transparency International est le plus discret possible sur ses financements. C’est bien normal, car sesprincipaux bailleurs ne sont autre que la National Endowment for Democracy (NED) et l’USAID, suivis par la Fondation Soros et la Fondation Ford, et une kyrielle de multinationales (BP-Amoco, Exxon, Rio Tinto, Shell...) dont l’intégrité sont légendaires.
La presse internationale commente le dernier rapport de Transparency International sur la corruption dans le monde. Elle accepte les conclusions de ce documents sans se poser de questions sur ses auteurs, leur méthodologie et leur finalité.
Transparency International se présente comme « une organisation de la société civile globale conduisant la lutte contre la corruption ». En d’autres termes, sa fonction est d’ouvrir de nouveaux marchés aux entreprises multinationales en accusant de corruption les gouvernements qui leur résistent et, en définitive, de favoriser la globalisation économique.
Bien qu’elle s’affirme organisation non-gouvernementale, Transparency International est un pseudopode de la National Endowment for Democracy (NED), la principale agence d’intervention légale des gouvernement états-unien et britannique. Rien d’étonnant donc à ce que ses principaux dirigeants soient liés à la CIA états-unienne et au MI6 britannique.
Transparency International a été créée par Peter Eigen, un juriste allemand qui travailla pendant 25 ans à la Banque mondiale avant de devenir consultant à la Fondation Ford, paravent philanthropique de la CIA. Aujourd’hui, M. Eigen a rejoint la Carnegie Endowment for International Peace, autre paravent de la CIA. Surtout, il est devenu l’un des administrateurs de Crown Agents (littéralement les Agents de la Couronne), un ancien service de la Couronne britannique, privatisé en 1997, chargé de l’assistance des gouvernements étrangers dans les processus de privatisation. C’est à ce titre que Peter Eigen a joué un rôle essentiel dans le processus de privatisation de l’économie irakienne sous occupation anglo-saxonne, Crown Agents étant alors sous-traitant de l’USAID.
M. Eigen est l’époux de Gesine Schwan, l’universitaire allemande spécialisée dans la dénonciation de l’anti-américanisme et candidate malheureuse du SPD à la présidence de la République.
La canadienne Huguerre Labelle a succédé à M. Eigen à la présidence de l’organisation. Mme Labelle est elle-même l’ex-président de l’Agence canadienne pour le développement international, c’est-à-dire l’homologue canadienne de l’USAID.
M. Eigen a composé un Conseil Consultatif qui sert de caution à l’organisation. On y trouve côte-côte ses amis de Crown Agents et de la Fondation Carnegie, les anciens présidents d’Allemagne et des États-Unis Richard von Weizsäcker et Jimmy Carter, le directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy, etc…
Transparency International dispose de branches dans une centaine de pays. La plus importante étant bien sûr la branche états-unienne. Elle a été co-fondée par deux personnalités au profil remarquable :
Frank Vogt, un autre ancien de la Banque mondiale, est un chantre de la globalisation. Il est aujourd’hui employé par l’American Entreprise Institute aux côtés de son ami Paul Wolfowitz, ancien directeur de la Banque mondiale.
Michael J. Hershman, un ancien officier des services de renseignement militaire, a été le n°2 de l’USAID et dirige aujourd’hui l’unité anti-terroriste de la Chambre de commerce des États-Unis.
La branche française est présidée par Daniel Lebègue, ancien vice-président de la BNP. Au conseil d’administration, on trouve l’ancien secrétaire général de l’OCDE, Jean-Claude Paye ; tandis qu’au haut-conseil, on trouve l’ancien président du Fonds monétaire international, Jacques de Larosière, aux côtés de Pierre Rosanvallon, ancien secrétaire général de la Fondation Saint-Simon.
Transparency International est le plus discret possible sur ses financements. C’est bien normal, car sesprincipaux bailleurs ne sont autre que la National Endowment for Democracy (NED) et l’USAID, suivis par la Fondation Soros et la Fondation Ford, et une kyrielle de multinationales (BP-Amoco, Exxon, Rio Tinto, Shell...) dont l’intégrité sont légendaires.
piporiko- Super Star
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Mwen dako ak sa manigat di ya, wi genyen anpil lot peyi ki pi koronpi ke ayiti e pa genyen peyi ki pa genyen koriptyon.Mwen sonje Senatè Damato te monte nan televisyon pou li denonse "Pork barill "ki genyen nan bidjè ke yo te pwopose lè li te nan Senat ,bagay saa te fè yon skandal.Yo konn mete menot nan men Senatè ou byen lobbyst tou tan o Zeta Zuni .Alo zafè di ke ayiti se yonn nan peyi ki pi koronpi sa depann ak ki mezi yo servi'si se yon lonn ki pentire tout an blan (lol) nou pa genyen oken chans.
men tou lè yon nonm ap tande konbyen kob presidan ayisyen yo kite peyi ak yo, menm kob ki soti nan peyi afrik yo ou pa ka neglije koriptyon ki genyen nan peyi nou an.Nou konnen pou nou genyen respè devan kras se pou nou benyen.se netoyaj ak desenfectan pou nou touye tout mikrob tankou presidan iranyen an di ya ki ap sal non peyi ya.
men tou lè yon nonm ap tande konbyen kob presidan ayisyen yo kite peyi ak yo, menm kob ki soti nan peyi afrik yo ou pa ka neglije koriptyon ki genyen nan peyi nou an.Nou konnen pou nou genyen respè devan kras se pou nou benyen.se netoyaj ak desenfectan pou nou touye tout mikrob tankou presidan iranyen an di ya ki ap sal non peyi ya.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Nesmy Manigat a dit :
Mais quant quelqu’un vous dit que vous êtes corrompus, la façon de vous défendre ce n’est pas de répondre que vous aussi vous êtes corrompus. Il faut d’abord avoir une prise de conscience pour aborder le problème.
Si yon moun di’m ke mwen sal. Tout o tan ke mwen pa rekonet ke mwen sal vre, sepap yon problem pou mwen.
Fok mwen analize pou’m we si se pa denigre ke moun sa ap denigre mwen. Fok mwen pran opinyon lot moun e si lot moun yo gen menm opinyon an tou, se posib ke mwen sal vre,
e fok mwen pran yon desisyon sou sa.
Jan Nesmi Manigat di a, mwen pafe Transparency International confians et mwen di yo sa an plizye fwa nan fiqui yo.
Rapo a bias, yo mete Haiti en tete de list paske nou se yon peyi nwa e okipe pa yon fos international.
Kidonk, ti neg nwa pakab jere te yo. Fok nou soti anba MINUSTAH sa!!
Min malerezman Prezidan nou an mande pou yo rete e pou banou bouldoze ak trakte pou nou travail te.
Li vle ke MINUSTAH tounin yon "babysitè"
Transparansi Internasyonal la Burma ou Myamar an dezyemm pozisyon a koz de dezod ke monk yo ap fe a. Yo fel tounin yon bagay politik o lye relijyez. Answit yo mete preske tout pays l’Afrique yo e band ansyen pays la russie yo. Antouka al sou site sa avanke Forbes retireli e bay opinyon nou sou zafe corripsyon sa.
You can read the whole story by David A. Andelman and see all corrupt countries in pictures. Just click on this link.
http://www.forbes.com/home/2007/04/03/corruption-countries-nations-biz-07caphosp-cx_da_0403corrupt_slide_2.html?thisSpeed=15000
Revelation
Oui, plus de la moitie des pays dans le monde sont d’une façon ou d’autre corrompus.Je pourrais citer une dizaine de pays connus pour leur haut niveau de corruption bien pire qu’Haïti, mais cela ne servira à rien car les citoyens de ces pays font tout pour vendre une image différente de leur pays, car ils savent qu’ils sont dans un monde global où chacun se bat pour attirer des investissements et à ce jeu on ne doit pas être perçu comme le dernier ou le plus laid. Ma colère vient aussi du fait que nous semblons activement accepter cette perception, l’assumer et la revendre « version améliorée » sur la scène internationale. Pire, on semble s’en servir pour se débarrasser d’adversaires politiques ou économiques.
Mais quant quelqu’un vous dit que vous êtes corrompus, la façon de vous défendre ce n’est pas de répondre que vous aussi vous êtes corrompus. Il faut d’abord avoir une prise de conscience pour aborder le problème.
Si yon moun di’m ke mwen sal. Tout o tan ke mwen pa rekonet ke mwen sal vre, sepap yon problem pou mwen.
Fok mwen analize pou’m we si se pa denigre ke moun sa ap denigre mwen. Fok mwen pran opinyon lot moun e si lot moun yo gen menm opinyon an tou, se posib ke mwen sal vre,
e fok mwen pran yon desisyon sou sa.
Jan Nesmi Manigat di a, mwen pafe Transparency International confians et mwen di yo sa an plizye fwa nan fiqui yo.
Rapo a bias, yo mete Haiti en tete de list paske nou se yon peyi nwa e okipe pa yon fos international.
Kidonk, ti neg nwa pakab jere te yo. Fok nou soti anba MINUSTAH sa!!
Min malerezman Prezidan nou an mande pou yo rete e pou banou bouldoze ak trakte pou nou travail te.
Li vle ke MINUSTAH tounin yon "babysitè"
Transparansi Internasyonal la Burma ou Myamar an dezyemm pozisyon a koz de dezod ke monk yo ap fe a. Yo fel tounin yon bagay politik o lye relijyez. Answit yo mete preske tout pays l’Afrique yo e band ansyen pays la russie yo. Antouka al sou site sa avanke Forbes retireli e bay opinyon nou sou zafe corripsyon sa.
You can read the whole story by David A. Andelman and see all corrupt countries in pictures. Just click on this link.
http://www.forbes.com/home/2007/04/03/corruption-countries-nations-biz-07caphosp-cx_da_0403corrupt_slide_2.html?thisSpeed=15000
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Se pa Transparency Internationa sèlman non ki nan klib salopri sa a. Kit se Reporters Sans Frontières k ap jwe wòl ajan neyo-kolonyal pou mate gouvènman ki ap fè wondomon kont oswa Lafrans oswa Angletè, oswa Etazini, pandan l ap ranmase lajan nan men NED epi di li se yon oganizasyon endepandan. Tout swadizan oganizasyon non-gouvènmantal sa yo, se figi tou nèf "misyonè" yo pran nan peryòd neyokolonyal la.
Fòmil lan pa chanje. MMM (misyonè, militè, machann)
Yo voye misyonè yo anpremye, ansanm ak militè yo pou yo demantibile ou moralman epi fizikman. Apresa, machann yo debake, men se pa achte yo achte, se pran yo pran.
Manigat byen pale nètalkole. Detay Piporiko pote yo menm vin klere lantèn nou pi byen sou ki kote bann zwezo sa yo souche.
Solisyon pwoblèm nan se pou AQyisyen koumanse fokis sou mete sosyete li opa - pou byennèt nasyon 10 milyon Ayisyen ki vivan an plis plizyè jenerasyon ki gen pou vini yo. Nou preyokipe tèt nou twòp de sa zòt ap di, sa zòt ap panse, menm lè nou konnen zòt sa a gen tout kalite rezon istorik ak sikolojik pou li aji an lennmi nou.
Libète mantal la, se chimen libète !
Jaf
Fòmil lan pa chanje. MMM (misyonè, militè, machann)
Yo voye misyonè yo anpremye, ansanm ak militè yo pou yo demantibile ou moralman epi fizikman. Apresa, machann yo debake, men se pa achte yo achte, se pran yo pran.
Manigat byen pale nètalkole. Detay Piporiko pote yo menm vin klere lantèn nou pi byen sou ki kote bann zwezo sa yo souche.
Solisyon pwoblèm nan se pou AQyisyen koumanse fokis sou mete sosyete li opa - pou byennèt nasyon 10 milyon Ayisyen ki vivan an plis plizyè jenerasyon ki gen pou vini yo. Nou preyokipe tèt nou twòp de sa zòt ap di, sa zòt ap panse, menm lè nou konnen zòt sa a gen tout kalite rezon istorik ak sikolojik pou li aji an lennmi nou.
Libète mantal la, se chimen libète !
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Jeu de rôle: Bon neg guinen
The World's Most Corrupt Countries
Special Report
The World's Most Corrupt Countries
Avan ke nou komanse voye roch deye blan,
Avan ke blankofobia monte nan tet nou li atik la byen pou nou sa ye ke Se pa Haiti ki invante koripsyon dan le mond.
Se fason ke nou viv avek yon ak lot pou nou chanje!!
Ke yo mete nou an tet list la ou byen anba list la.
Se pa la pwoblem nanye.
Fok nou konprand ke nou pap jamb soti nan list sa a mwenke tout ayisyen tounin ti zanj.
David A. Andelman 04.03.07, 6:00 PM ET
Corruption in nearly half the world's nations is not getting much better and, indeed, in many countries is intensifying--affecting virtually every aspect of life among peoples on every continent.
While a year ago, some 72 out of 158 nations surveyed by the international watchdog group Transparency International were classified as "corrupt," now 74 of 163 countries fall into the same category. A few, most notably India, managed to bootstrap themselves (just barely) out of the truly corrupt group, while others, particularly Iran, dug themselves more firmly into that camp.
TI has developed an index from 0 to 10 comprised of surveys of specialists, opinion leaders, business officials and human rights monitors who live, work or travel extensively in each of the countries ranked. The higher the score, the less corrupt the country. Tied for No. 1 this year, with a CPI “score” of 9.6 are Finland, Iceland and New Zealand. At the bottom, with a score of 1.8 is Haiti.
In Pictures: Most Corrupt Nations
Clearly, as those who monitor the ebb and flow of corruption around the world confess, the rankings are heavily subjective, and the nature of the corruption, particularly in the most severely corrupt nations, can differ markedly. But all share one particular characteristic. "You are dealing with societies where corruption filters into everyday life," says Laurence Cockroft, a senior TI official. "Most of us don't experience [it] in our daily life. My guess is that when the TI Index drops below 5, certainly below 3, you get into a different kind of territory."
Below 5, you have 119 countries out of 163, including such nations as Italy, Greece, South Africa, Brazil and China. Below 3 on the TI scale, some 47 nations drop off, though many are very close to the line.
Corruption can take on a host of different forms. It can, and often does, involve the police and judicial systems, including questionable enforcement of business contracts and other commercial litigation. It frequently involves diversion of a percentage of funds from critical projects into the pockets of senior government officials or their families--often in systematic skimming operations. Indeed, the U.S. State Department has labeled Belarus Europe's only remaining outpost of tyranny.
Unfortunately, most of the corruption occurs in countries whose populations are least equipped to deal with the consequences--the world's most deprived nations. In Cambodia, where two-thirds of the population earns less than $2 a month and one-third earns less than $1, a "substantial portion" of the $500 million to $600 million in donor aid each year is "lost to unofficial fees, an informal system of patronage, illicit 'facilitation' payments by businesses and individuals," one Transparency official said.
Such under-the-counter payments for everything from the simplest municipal services to appointments to many of the nation's highest offices, particularly those where there is the greatest access to illicit profits, are the effective rule of law in most of the nations surveyed--especially in Africa, Central Asia, and Latin America.
In general, the most corrupt nations are those with "an extremely weak institutional setting," according to Transparency officials. In Haiti, for instance, President Jean-Bertrand Aristide fled in the face of an internal uprising and international pressure after he sought to move a number of his political allies into the highest positions within the justice system.
However, a corrupt police force is still almost ubiquitous there, helping to cement the country's place alone at the top of the most corrupt list.
The former Central Asian republics of the Soviet Union are grouped near the top of the list of most-corrupt nations. The U.S. State Department reports that "Turkmenistan has laws to combat corruption, but they are ineffective, and corruption is rampant." At the same time, nearby Tajikistan is subsisting largely on a narco economy. Another State Department report noted that "rampant illicit trafficking of Afghan opium and heroin through Tajikistan remains a serious long-term threat to Tajikistan's stability and development, fostering corruption, violent crime, HIV/AIDS and economic distortions."
Venezuela President Hugo Chavez, who repeatedly locks horns with the United States, has helped establish his country's presence on the most-corrupt roster by turning the national police force from a once professional body of crime fighters into an institution that is used largely for political issues, according to a Transparency official. The result is a collapse of control mechanisms that is a broad feature of administrations in many of the nations on the most-corrupt list. Moreover, in Venezuela, substantial income from the nation's vast oil wealth goes directly into the pocket of the chief executive according to TI.
"That's almost like pocket money," says the TI official. "There is a large share of the income, and we are talking many millions, used in a non-controlled fashion."
Among the least corrupt nations, the United States has slipped to No. 20 this year from No. 17 last year, while France, Belgium, Ireland and Japan leap-frogged over the U.S. in the rankings. The top 10--the world's least corrupt countries--has remained virtually unchanged with Finland, Iceland and New Zealand tied for the lead, followed closely by Denmark, Singapore and Sweden.
Furthermore, there does seem to have been some improvement in anti-corruption mechanisms in many nations, particularly the more developed countries. In the past year, such nations as Indonesia, China, the Philippines, Sri Lanka and Australia have ratified the United Nations Convention Against Corruption. Ironically, Japan, the 17th least corrupt country in the world, and South Korea, the 42nd least corrupt, have failed to ratify the U.N. document.
There is some skepticism over the recent ratification of the U.N. convention by Bangladesh, the world's eighth most corrupt country, though there is some hope that the recent seizure of power by a military junta may help the country turn the corner on corruption there. Some 40 business executives and public officials were seized in an anti-corruption push, while property ranging from a Hummer to three golden pheasant and some pet peacocks were seized in raids there, according to The New York Times.
One Transparency official observed that some countries like Japan have failed to ratify the convention because "that means you have sorted out your whole legal system by which you can enact all provisions of the convention," while others with more questionable records in stamping out corruption "perceive [the convention] more as a standard of [future] achievement."
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The World's Most Corrupt Countries
Avan ke nou komanse voye roch deye blan,
Avan ke blankofobia monte nan tet nou li atik la byen pou nou sa ye ke Se pa Haiti ki invante koripsyon dan le mond.
Se fason ke nou viv avek yon ak lot pou nou chanje!!
Ke yo mete nou an tet list la ou byen anba list la.
Se pa la pwoblem nanye.
Fok nou konprand ke nou pap jamb soti nan list sa a mwenke tout ayisyen tounin ti zanj.
David A. Andelman 04.03.07, 6:00 PM ET
Corruption in nearly half the world's nations is not getting much better and, indeed, in many countries is intensifying--affecting virtually every aspect of life among peoples on every continent.
While a year ago, some 72 out of 158 nations surveyed by the international watchdog group Transparency International were classified as "corrupt," now 74 of 163 countries fall into the same category. A few, most notably India, managed to bootstrap themselves (just barely) out of the truly corrupt group, while others, particularly Iran, dug themselves more firmly into that camp.
TI has developed an index from 0 to 10 comprised of surveys of specialists, opinion leaders, business officials and human rights monitors who live, work or travel extensively in each of the countries ranked. The higher the score, the less corrupt the country. Tied for No. 1 this year, with a CPI “score” of 9.6 are Finland, Iceland and New Zealand. At the bottom, with a score of 1.8 is Haiti.
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Clearly, as those who monitor the ebb and flow of corruption around the world confess, the rankings are heavily subjective, and the nature of the corruption, particularly in the most severely corrupt nations, can differ markedly. But all share one particular characteristic. "You are dealing with societies where corruption filters into everyday life," says Laurence Cockroft, a senior TI official. "Most of us don't experience [it] in our daily life. My guess is that when the TI Index drops below 5, certainly below 3, you get into a different kind of territory."
Below 5, you have 119 countries out of 163, including such nations as Italy, Greece, South Africa, Brazil and China. Below 3 on the TI scale, some 47 nations drop off, though many are very close to the line.
Corruption can take on a host of different forms. It can, and often does, involve the police and judicial systems, including questionable enforcement of business contracts and other commercial litigation. It frequently involves diversion of a percentage of funds from critical projects into the pockets of senior government officials or their families--often in systematic skimming operations. Indeed, the U.S. State Department has labeled Belarus Europe's only remaining outpost of tyranny.
Unfortunately, most of the corruption occurs in countries whose populations are least equipped to deal with the consequences--the world's most deprived nations. In Cambodia, where two-thirds of the population earns less than $2 a month and one-third earns less than $1, a "substantial portion" of the $500 million to $600 million in donor aid each year is "lost to unofficial fees, an informal system of patronage, illicit 'facilitation' payments by businesses and individuals," one Transparency official said.
Such under-the-counter payments for everything from the simplest municipal services to appointments to many of the nation's highest offices, particularly those where there is the greatest access to illicit profits, are the effective rule of law in most of the nations surveyed--especially in Africa, Central Asia, and Latin America.
In general, the most corrupt nations are those with "an extremely weak institutional setting," according to Transparency officials. In Haiti, for instance, President Jean-Bertrand Aristide fled in the face of an internal uprising and international pressure after he sought to move a number of his political allies into the highest positions within the justice system.
However, a corrupt police force is still almost ubiquitous there, helping to cement the country's place alone at the top of the most corrupt list.
The former Central Asian republics of the Soviet Union are grouped near the top of the list of most-corrupt nations. The U.S. State Department reports that "Turkmenistan has laws to combat corruption, but they are ineffective, and corruption is rampant." At the same time, nearby Tajikistan is subsisting largely on a narco economy. Another State Department report noted that "rampant illicit trafficking of Afghan opium and heroin through Tajikistan remains a serious long-term threat to Tajikistan's stability and development, fostering corruption, violent crime, HIV/AIDS and economic distortions."
Venezuela President Hugo Chavez, who repeatedly locks horns with the United States, has helped establish his country's presence on the most-corrupt roster by turning the national police force from a once professional body of crime fighters into an institution that is used largely for political issues, according to a Transparency official. The result is a collapse of control mechanisms that is a broad feature of administrations in many of the nations on the most-corrupt list. Moreover, in Venezuela, substantial income from the nation's vast oil wealth goes directly into the pocket of the chief executive according to TI.
"That's almost like pocket money," says the TI official. "There is a large share of the income, and we are talking many millions, used in a non-controlled fashion."
Among the least corrupt nations, the United States has slipped to No. 20 this year from No. 17 last year, while France, Belgium, Ireland and Japan leap-frogged over the U.S. in the rankings. The top 10--the world's least corrupt countries--has remained virtually unchanged with Finland, Iceland and New Zealand tied for the lead, followed closely by Denmark, Singapore and Sweden.
Furthermore, there does seem to have been some improvement in anti-corruption mechanisms in many nations, particularly the more developed countries. In the past year, such nations as Indonesia, China, the Philippines, Sri Lanka and Australia have ratified the United Nations Convention Against Corruption. Ironically, Japan, the 17th least corrupt country in the world, and South Korea, the 42nd least corrupt, have failed to ratify the U.N. document.
There is some skepticism over the recent ratification of the U.N. convention by Bangladesh, the world's eighth most corrupt country, though there is some hope that the recent seizure of power by a military junta may help the country turn the corner on corruption there. Some 40 business executives and public officials were seized in an anti-corruption push, while property ranging from a Hummer to three golden pheasant and some pet peacocks were seized in raids there, according to The New York Times.
One Transparency official observed that some countries like Japan have failed to ratify the convention because "that means you have sorted out your whole legal system by which you can enact all provisions of the convention," while others with more questionable records in stamping out corruption "perceive [the convention] more as a standard of [future] achievement."
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Corruption au Venezuela : la honte
La honte! Dans l’indice 2007 des perceptions de la corruption dans le monde (IPC) que publie Transparency International, le Venezuela figure en 162e position sur 179 pays.
Seul Haïti fait pire en Amérique latine. Pas vraiment brillant... Bien sûr, le rapport ne calcule pas la corruption en tant que telle - bien difficile à évaluer -, mais seulement la perception de corruption. Il n’empêche, cela ne trompe pas : la corruption est ici partout.
Partout ? Oui, du plus haut au plus bas de l’échelle sociale, il existe au Venezuela une véritable culture de la corruption. Au plus haut, c’est le fonctionnaire qui prélève au passage son pourcentage (jusqu’à 30 %, dit-on !) sur les contrats publics qu’il accorde et, en face de lui, l’entreprise qui prévoit ce surcoût dans son devis. Au plus bas, c’est l’automobiliste en infraction qui « arrange la chose » avec le policier.
Plus symptomatique encore : je connais le cas, dans une école primaire, de gamins chargés par l’instituteur de surveiller momentanément la classe qui se font payer par leurs camarades pour ne pas dénoncer leurs petites incartades... Une culture, je vous dis, qui s’apprend et s’internalise dès le plus jeune âge. C’est comme la potion magique d’Obélix, on tombe dedans quand on est petit.
Il y a aussi la corruption institutionnalisée. Si vous avez besoin d’un quelconque document administratif, on vous demande si vous le voulez habilitado. Il s’agit d’une invite presque légale à agilizar le processus : moyennant un supplément parfois conséquent, vous recevrez votre document dans des délais raisonnables. Sinon, bonne chance...
Impossible donc de vivre au quotidien au Venezuela sans avoir trempé, un jour ou l’autre, dans une affaire de corruption, petite ou grande. Et n’oublions pas que dans toute affaire de corruption, il y a au moins deux intervenants : celui qui demande et celui qui accepte ; celui qui offre et celui qui reçoit. L’un et l’autre partagent un sentiment de culpabilité, à un degré divers, mais de culpabilité tout de même. Cela n’incite pas, évidemment, à faire se délier les langues.
Racines historiques
Il existe bien entendu des racines historico-anthropologiques à de tels comportements. Bolivar lui-même dénonçait déjà en son temps le mauvais usage des fonds publics par l’administration. La faiblesse de l’appareil d’État, au XIXe siècle, n’a fait que renforcer la tendance, imprimant la corruption dans son fonctionnement même.
Au XXe siècle, l’économie du pétrole a permis à la corruption d’atteindre de nouveaux sommets. Désormais, on traitait en dollars, et qui plus est avec des multinationales désireuses de s’assurer une part du gâteau pétrolier vénézuélien, quel qu’en soit le prix. Le prix, c’est la corruption. Cela n’aide pas les pratiques éthiques...
Et au XXIe siècle ? Avec le prix du barril de pétrole qui atteint des sommets inégalés, il n’y a jamais eu autant d’argent dans le pays. Le contrôle des changes, dont l’effet est de créer un dollar parallèle valant plus de deux fois le dollar officiel, ne fait qu’aggraver les choses. Finalement, l’arrivée, avec Hugo Chávez, d’un nouveau personnel politique longtemps écarté des affaires et désireux de prendre enfin sa revanche (À moi le tour !), facilite encore cette course à l’argent facile.
Officiellement, on parle de combattre la corruption. Hugo Chávez a même dit qu’il allait se charger personnellement de ce dossier. Mais rien n’y fait, pas même la « morale socialiste ». On reste à la case départ, comme avec les gouvernements précédents. Trop d’amis, sans doute, sont impliqués, maintenant comme avant.
Dans l’opposition, on crie au scandale : jamais, selon ses représentants, la corruption n’a été aussi élevée. En fait, on a plutôt l’impression que ce qui les dérange, c’est que ce ne sont plus eux qui en profitent, mais de nouveaux venus sur le marché...
Source:
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=29837
La honte! Dans l’indice 2007 des perceptions de la corruption dans le monde (IPC) que publie Transparency International, le Venezuela figure en 162e position sur 179 pays.
Seul Haïti fait pire en Amérique latine. Pas vraiment brillant... Bien sûr, le rapport ne calcule pas la corruption en tant que telle - bien difficile à évaluer -, mais seulement la perception de corruption. Il n’empêche, cela ne trompe pas : la corruption est ici partout.
Partout ? Oui, du plus haut au plus bas de l’échelle sociale, il existe au Venezuela une véritable culture de la corruption. Au plus haut, c’est le fonctionnaire qui prélève au passage son pourcentage (jusqu’à 30 %, dit-on !) sur les contrats publics qu’il accorde et, en face de lui, l’entreprise qui prévoit ce surcoût dans son devis. Au plus bas, c’est l’automobiliste en infraction qui « arrange la chose » avec le policier.
Plus symptomatique encore : je connais le cas, dans une école primaire, de gamins chargés par l’instituteur de surveiller momentanément la classe qui se font payer par leurs camarades pour ne pas dénoncer leurs petites incartades... Une culture, je vous dis, qui s’apprend et s’internalise dès le plus jeune âge. C’est comme la potion magique d’Obélix, on tombe dedans quand on est petit.
Il y a aussi la corruption institutionnalisée. Si vous avez besoin d’un quelconque document administratif, on vous demande si vous le voulez habilitado. Il s’agit d’une invite presque légale à agilizar le processus : moyennant un supplément parfois conséquent, vous recevrez votre document dans des délais raisonnables. Sinon, bonne chance...
Impossible donc de vivre au quotidien au Venezuela sans avoir trempé, un jour ou l’autre, dans une affaire de corruption, petite ou grande. Et n’oublions pas que dans toute affaire de corruption, il y a au moins deux intervenants : celui qui demande et celui qui accepte ; celui qui offre et celui qui reçoit. L’un et l’autre partagent un sentiment de culpabilité, à un degré divers, mais de culpabilité tout de même. Cela n’incite pas, évidemment, à faire se délier les langues.
Racines historiques
Il existe bien entendu des racines historico-anthropologiques à de tels comportements. Bolivar lui-même dénonçait déjà en son temps le mauvais usage des fonds publics par l’administration. La faiblesse de l’appareil d’État, au XIXe siècle, n’a fait que renforcer la tendance, imprimant la corruption dans son fonctionnement même.
Au XXe siècle, l’économie du pétrole a permis à la corruption d’atteindre de nouveaux sommets. Désormais, on traitait en dollars, et qui plus est avec des multinationales désireuses de s’assurer une part du gâteau pétrolier vénézuélien, quel qu’en soit le prix. Le prix, c’est la corruption. Cela n’aide pas les pratiques éthiques...
Et au XXIe siècle ? Avec le prix du barril de pétrole qui atteint des sommets inégalés, il n’y a jamais eu autant d’argent dans le pays. Le contrôle des changes, dont l’effet est de créer un dollar parallèle valant plus de deux fois le dollar officiel, ne fait qu’aggraver les choses. Finalement, l’arrivée, avec Hugo Chávez, d’un nouveau personnel politique longtemps écarté des affaires et désireux de prendre enfin sa revanche (À moi le tour !), facilite encore cette course à l’argent facile.
Officiellement, on parle de combattre la corruption. Hugo Chávez a même dit qu’il allait se charger personnellement de ce dossier. Mais rien n’y fait, pas même la « morale socialiste ». On reste à la case départ, comme avec les gouvernements précédents. Trop d’amis, sans doute, sont impliqués, maintenant comme avant.
Dans l’opposition, on crie au scandale : jamais, selon ses représentants, la corruption n’a été aussi élevée. En fait, on a plutôt l’impression que ce qui les dérange, c’est que ce ne sont plus eux qui en profitent, mais de nouveaux venus sur le marché...
Source:
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=29837
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tire aussi de "agoravox"
Corruption au Venezuela : la honte
par Michel Maugis (IP:xxx.x4.185.46) le 3 octobre 2007 à 16H01
Michel Maugis @ l’auteur.
Mais pourquoi est ce honteux la corruption au Venezuela ? Pourquoi est ce mal ?
Où est le problème exactement ?
La République Bolivarienne du Venezuela est actuellement le pays d’amérique Latine, avec Cuba, Bolivie, Nicaragua, Equateur dont le gouvernement a le plus grand soutien de son peuple.
Vive la corruption donc !!
Vous allez voir que transparency International va aussi classer ces pays avec un fort taux de corruption, comme par hazard.
Vive la corruption donc !! La République Bolivarienne du Venezuela est aussi le pays, avec Cuba, Bolivie, qui ont eu le plus fort de croissance en 2006 en AL, et une très forte augmentation de leurs réserves internationales.
Comme par hazard, ces pays "inquiétent" Bush et Rice, et les grands milliardaires. Les USA forment le plus grand pays corrupteur du Monde, dans les couloirs de l’ONU, et dans leurs ambassades. Et ils n’aiment pas les pays qui résistent à leurs tentatives de corruption dont CUBA, Venezuela, NIcaragua, Bolivie et l’IRAN, comme par hazard.
Et vous vous en prenez à la corruption au Venezuela....
Vive la corruption au Venezuela qui permet, quelle coincidence extraordinaire,
de construire des hopitaux comme jamais vu en AL, d’abaisser le taux de pauvreté comme jamais vu en AL, d’opérer de la vue des centaines de milliers de pauvres en AL, de donner l’éducation au peuple comme jamais vu en AL ( sauf a Cuba).
Donner l’éducation au peuple est ce mal ?
Rien à voir avec le sujet me direz vous ?
En êtes vous vraiment sûr ?
Vive la corruption donc !!
Où est la honte exactement ?
Pour la première fois au Venezuela, la droite et l’Oligarchie s’intéresse à la corruption !!!
Parce qu’elle n’est plus au pouvoir !!
Vous êtes de droite, je parie !! Vous êtes contre l’idée de socialisme, je parie !! Vous êtes pour le libre marché et la "liberté", je parie !!
par Michel Maugis (IP:xxx.x4.185.46) le 3 octobre 2007 à 16H01
Michel Maugis @ l’auteur.
Mais pourquoi est ce honteux la corruption au Venezuela ? Pourquoi est ce mal ?
Où est le problème exactement ?
La République Bolivarienne du Venezuela est actuellement le pays d’amérique Latine, avec Cuba, Bolivie, Nicaragua, Equateur dont le gouvernement a le plus grand soutien de son peuple.
Vive la corruption donc !!
Vous allez voir que transparency International va aussi classer ces pays avec un fort taux de corruption, comme par hazard.
Vive la corruption donc !! La République Bolivarienne du Venezuela est aussi le pays, avec Cuba, Bolivie, qui ont eu le plus fort de croissance en 2006 en AL, et une très forte augmentation de leurs réserves internationales.
Comme par hazard, ces pays "inquiétent" Bush et Rice, et les grands milliardaires. Les USA forment le plus grand pays corrupteur du Monde, dans les couloirs de l’ONU, et dans leurs ambassades. Et ils n’aiment pas les pays qui résistent à leurs tentatives de corruption dont CUBA, Venezuela, NIcaragua, Bolivie et l’IRAN, comme par hazard.
Et vous vous en prenez à la corruption au Venezuela....
Vive la corruption au Venezuela qui permet, quelle coincidence extraordinaire,
de construire des hopitaux comme jamais vu en AL, d’abaisser le taux de pauvreté comme jamais vu en AL, d’opérer de la vue des centaines de milliers de pauvres en AL, de donner l’éducation au peuple comme jamais vu en AL ( sauf a Cuba).
Donner l’éducation au peuple est ce mal ?
Rien à voir avec le sujet me direz vous ?
En êtes vous vraiment sûr ?
Vive la corruption donc !!
Où est la honte exactement ?
Pour la première fois au Venezuela, la droite et l’Oligarchie s’intéresse à la corruption !!!
Parce qu’elle n’est plus au pouvoir !!
Vous êtes de droite, je parie !! Vous êtes contre l’idée de socialisme, je parie !! Vous êtes pour le libre marché et la "liberté", je parie !!
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Que voulez vous, les pauvres adorent être plus pauvres pour faire les riches plus riches.
C’est extrêmement logique.
Et je dois reconnaître votre superbe intelligence pour avoir découvert cela tout seul, avec l’aide du scriboullard péruvien, adorateur des facsiste Aznar, Berlusconi et Bush.
Ce n’est pas étonnant votre culture, avec vos lectures.
Donc, c’est pourquoi ces pauvres apportent, comme jamais auparavent, leur soutien à ces gouvernements qui les appauvrient
et que les riches dénient leur soutien pour ces gouvrnements qui les font encore plus riches (les riches).
Et que Bush part en guerre contre eux ( ces gouvernements)
Encore une fois bravo !!
Tenez, encore des pauvres qui ont tout compris en Equateur. Ils viennent de donner leur soutien à Raphael Correa parce qu’ils savent qu’il va les apauvrir encore plus pour enrichir les riches.
DU jamais vu
VIVE LA CORRUPTION !!!!!!! EN AMERIQUE LATINE..
Ce que je ne comprends pas, c’est que ces gouvernements leur donnent accès à l éducation ..
Sans doute pour qu’ils deviennent moins stupides et cessent de voter pour eux.
C’est extrêmement logique.
Et je dois reconnaître votre superbe intelligence pour avoir découvert cela tout seul, avec l’aide du scriboullard péruvien, adorateur des facsiste Aznar, Berlusconi et Bush.
Ce n’est pas étonnant votre culture, avec vos lectures.
Donc, c’est pourquoi ces pauvres apportent, comme jamais auparavent, leur soutien à ces gouvernements qui les appauvrient
et que les riches dénient leur soutien pour ces gouvrnements qui les font encore plus riches (les riches).
Et que Bush part en guerre contre eux ( ces gouvernements)
Encore une fois bravo !!
Tenez, encore des pauvres qui ont tout compris en Equateur. Ils viennent de donner leur soutien à Raphael Correa parce qu’ils savent qu’il va les apauvrir encore plus pour enrichir les riches.
DU jamais vu
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Ce que je ne comprends pas, c’est que ces gouvernements leur donnent accès à l éducation ..
Sans doute pour qu’ils deviennent moins stupides et cessent de voter pour eux.
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Haïti, le pays en tète de liste, le champion des champions! Le Mike Tyson de la corruption ! Il a mis tous les autres pays K.O. (Knock Out)! Ce n'est pas une blague, c'est un fait.
2 pye long, 4 zago 2 konn.
Le pays en deuxième position est dans la catégorie poids plume.
Donc pas de compétition.
Qu’on soit en tète ou en bas de la liste, on sera toujours sur cette liste maudite. Qu'on crie, qu'on se bat, qu'on pleure comme un enfant qui a une fièvre terrible de 120-dégrée. Au lieu de prendre des médicaments pour se sentir mieux, on veut écraser le thermomètre.
Kidonk Refu, refu!! No investise! No investise!! no job ! no job ! No HOPE! No HOPE!
Fok nou tout ede gouvenman Preval/Alexis chante :
Pa gen anyen pou dekouraje’n, nan un nan na retounin.
Pagen anyen pou dekouraje’n nan un nan na retounin ooohhhhh !
Revelation
2 pye long, 4 zago 2 konn.
Le pays en deuxième position est dans la catégorie poids plume.
Donc pas de compétition.
Qu’on soit en tète ou en bas de la liste, on sera toujours sur cette liste maudite. Qu'on crie, qu'on se bat, qu'on pleure comme un enfant qui a une fièvre terrible de 120-dégrée. Au lieu de prendre des médicaments pour se sentir mieux, on veut écraser le thermomètre.
Kidonk Refu, refu!! No investise! No investise!! no job ! no job ! No HOPE! No HOPE!
Fok nou tout ede gouvenman Preval/Alexis chante :
Pa gen anyen pou dekouraje’n, nan un nan na retounin.
Pagen anyen pou dekouraje’n nan un nan na retounin ooohhhhh !
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Bon an palan de koriptyon o venezuela. se pa lotrejou yo site non Chavez kom yon gwo magouyè ki ap ranpli kof li ak lajan lwil la .Eske se vre.Rayi chen dil danl blan nou pa janm tande non Fidel nan lis chef deta ki pi korompi non.
mwen konnen press gwo chalbrak la pa vle wè Chavez men ayisyen di:" la fimen pa janm soti san di fe."Eske genyen mouin ki ka eklersi nou sou sa.
mwen konnen press gwo chalbrak la pa vle wè Chavez men ayisyen di:" la fimen pa janm soti san di fe."Eske genyen mouin ki ka eklersi nou sou sa.
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Re: Nesmy Manigat conteste le rapport Transparency International
Il y a 2 ou 3 ans le magazine Forbes avait avance que le chef d'etat cubain possedait une fortune depassant le milliard de dollars, dans son Top 100 (ou Top 50) des chefs d'etat les plus riches du monde.
Pour parvenir a cette richesse, on avait place toutes les entreprises d'Etat (ou du moins un bon nombre d'entre elles) comme etant la propriete privee de Castro, entre autres choses.
Comme il fallait s'y attendre, Fidel avait proteste energiquement et avait demande des preuves qu'ils possedent des comptes en banque a l'etranger ou a Cuba. Ce qui n'a pu etre fait, bien entendu.
L'annee d'apres, son nom sortait de la liste.
Il est meme dit que Cuba n'a jamais touche un centime de l'argent que les Americains paient chaque annee pour occuper Guantanamo.
Pour parvenir a cette richesse, on avait place toutes les entreprises d'Etat (ou du moins un bon nombre d'entre elles) comme etant la propriete privee de Castro, entre autres choses.
Comme il fallait s'y attendre, Fidel avait proteste energiquement et avait demande des preuves qu'ils possedent des comptes en banque a l'etranger ou a Cuba. Ce qui n'a pu etre fait, bien entendu.
L'annee d'apres, son nom sortait de la liste.
Il est meme dit que Cuba n'a jamais touche un centime de l'argent que les Americains paient chaque annee pour occuper Guantanamo.
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