H en M: Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
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H en M: Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
Je copie l'article en entier car l'hebdomadaire Haiti en Marche, sur son site Internet, ne conserve pas d'archives des articles precedents
Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
EDITORIAL
PORT-AU-PRINCE, 7 Janvier 2007 - Le nombre d'actes de kidnapping rapportés semble avoir diminué considérablement ces derniers jours.
La fin décembre a été moins catastrophique que les semaines précédentes avaient laissé prévoir.
Aujourd'hui la Police nationale d'Haïti (PNH), ainsi que la mission onusienne (Minustah), ont annoncé tout un catalogue de dispositions afin de garantir que la reprise des classes ce lundi 8 janvier se déroule sans coup férir.
Tout le monde le souhaite de toutes ses forces.
Dans les banlieues résidentielles, au centre ville de la capitale Port-au-Prince, des policiers (dont ceux de la récente promotion de plus de 500 membres) sont à tous les coins de rue.
Ils arrêtent des véhicules, procèdent aussi à des fouilles individuelles sur des passants...
Toute la population est alertée et s'y prête volontiers. Le kidnapping est devenu la première préoccupation nationale.
Toutefois on ne peut s'empêcher de s'étonner d'une baisse aussi soudaine.
Ce ne sont pas les dernières dispositions qui auraient pu produire un effet aussi instantané.
Oui, la Police nationale rapporte tous les jours des arrestations de présumés kidnappeurs. Des armes, faux uniformes et autres équipements sont saisis.
La Minustah a entrepris l'opération de Bois Neuf (Cité Soleil) pour déloger le chef de gang Bélony soupçonné de kidnappings.
Si le Bélony en question court toujours, son fief a été en partie démoli, assure la mission internationale.
De plus, vendredi, un communiqué de la Minustah a annoncé l'arrestation d'un nommé " Zachari " qui serait " le chef de la cellule chargée des kidnappings au sein (du) gang " de Bélony.
Une décrispation de l'atmosphère...
Mais le vrai changement ressenti dans l'état d'esprit général doit être attribué aux jeunes agents de la Police nationale d'Haïti (PNH) dont la présence quasiment partout permet une décrispation de l'atmosphère. On se sent un peu plus encouragé à remettre le nez dehors.
Ils ont l'air sérieux, disciplinés, pas d'attirail trop lourd qui leur donnerait un air rébarbatif et l'œil aux aguets.
Qu'ils vous demandent d'arrêter votre voiture, on le fait en toute confiance.
Ou bien de procéder à la fouille de votre valise (ou plus rarement de soulever votre chemise, veston ou T-shirt), les gens n'y font aucune objection.
La population a confiance. Circonstances obligent, les responsables semblent gagner ce premier pari d'une police de proximité - la bataille contre le kidnapping ne pouvant être remportée, estiment-ils, sans la coopération de toute la nation.
Cependant là encore tout se fait à l'haïtienne...
On n'imagine pas dans un grand pays démocratique de pareilles dispositions mises en application sans l'existence d'une législation.
Ici pas même un décret.
De la suite dans les idées et le respect de tous...
Ceci témoigne qu'Haïti n'est pas un pays tellement difficile à gouverner si les dirigeants savent s'y prendre. Cette lutte actuelle contre le kidnapping devrait servir de leçon pour l'avenir, faire jurisprudence. Elle exige tout à la fois ténacité, imagination et suite dans les idées. Les gouvernants haïtiens sont plutôt connus pour agir au coup par coup, toujours en situation d'urgence. Toujours en retard sur l'événement.
Secundo, pour obtenir une franche collaboration de la population, il faut surtout un fonctionnement basé sur le respect de tous.
Tant que le gouvernement intérimaire (et ses supporters) s'acharnaient à ne voir de kidnappeurs que chez les partisans d'Aristide, cela ne pouvait marcher.
Ce n'est pas la peur, c'est la confiance qui est ici le secret de la réussite.
Comme d'un futur tremplin électoral...
Ce n'est pas le battage politique non plus qui y peut grand chose.
Les parlementaires doivent continuer à mettre la pression. Par le truchement des médias. Mais quant à se servir du kidnapping (ou plutôt de la peur - de la psychose du kidnapping) comme d'un futur tremplin électoral (et des médias dans ces cas là plutôt comme d'une caisse de résonance), alors faut demander à ceux-là s'ils s'attendent que les kidnappings durent jusqu'aux présidentielles de 2011 ?
Car il ne suffit pas de prévenir les actes de kidnapping, il faut veiller aussi à tout ce qui en alimente l'atmosphère, que dis-je, cette véritable psychose.
Nous sommes d'accord avec le numéro 1 de la Minustah, M. Edmond Mulet, que les médias doivent se garder de donner une tribune à des individus faisant la promotion du kidnapping, ou bien de l'impunité.
Le kidnapping est un mal national et, en sabotant toutes les activités productrices du pays, il devient la plus grande menace à la sécurité nationale.
Mais on peut en faire aussi la promotion d'une autre manière. Par ex. en sautant sur l'occasion pour l'utiliser à des fins politiques.
Il y va donc d'une certaine maîtrise de soi chez tous ceux qui sont appelés à des interventions publiques. Cela peut nous exiger dans certains cas de faire un accroc à la liberté d'expression.
Toutefois les opérations contre les gangs, menées par la PNH ou la Minustah, ne doivent pas moins être monitorées par la presse. Car d'un côté, elles peuvent donner lieu à de nombreux dérapages...
Nous sommes en pleine improvisation...
D'un autre côté, nous sommes en pleine improvisation, rien n'est encore légiféré : les fouilles individuelles, les opérations et arrestations opérées de nuit et sans mandat, l'auto-censure. Etc.
Combien de temps cela doit-il (ou peut-il) durer ainsi ? C'est une question importante...
D'autant qu'on a vu certains secteurs et non des moindres ne pas hésiter à tenter d'exploiter la situation pour faire avancer leur agenda politique.
L'acceptation de sacrifier momentanément une partie de ses droits constitutionnels ne peut aller de pair avec la politique politicienne, à plus forte raison quand celle-ci dissimule mal certains relents putschistes.
Car la privation des droits aboutit trop vite et trop facilement dans notre pays à la dictature.
On sait que de toujours les présidents haïtiens hésitent à proclamer l'état d'urgence, l'armée et la police (dont les pouvoirs augmentent considérablement dans ces circonstances-là) en ont profité plus d'une fois pour faire un coup d'état. Celui-ci finissant le plus souvent dans des massacres de la population civile.
On s'étonne que des parlementaires aient appelé si vite à des mesures d'exception... jusqu'au rétablissement de la peine de mort qui est abolie dans notre actuelle Constitution. Ceci avant d'avoir dressé le moindre inventaire des ressources disponibles dans les législations existantes.
Les " inconscients "...
Nous reprenons : nos parlementaires parlent comme si le kidnapping était là pour toujours.
Mais il n'y a pas que ceux-là qu'on appellerait les " inconscients " de la classe politique, ces derniers existent aussi dans nos médias.
Sur l'Internet c'est une véritable débauche. Ces dernières semaines, on vous aurait annoncé qu'un Airbus rempli de passagers a été kidnappé en Haïti que vous pourriez y croire.
C'est pour revenir à notre première interrogation : si le nombre de kidnappings a pu baisser de manière aussi dramatique ces derniers jours, force n'est-il pas de se demander, en dehors des nombreux efforts faits par les responsables du maintien de l'ordre, s'il n'y avait pas aussi une part de manipulation ?
C'est aux autorités d'investiguer (car n'oubliez pas que dans notre code judiciaire : complicité de crime vaut crime).
Manipulation qui peut revêtir diverses formes, aussi bien de contenu que de contenant, des articles ou des déclarations ou des citations ou des titres très à sensation - et parfois en accord avec le ou les intervenants (nationaux ou internationaux) pour faire monter artificiellement la pression. Mais ce n'est pas à nous d'en juger.
Nous ne sommes pas là pour monter la tête ni au gouvernement ni à aucun secteur de la population contre des confrères, comme cela s'est vu sous le dernier régime intérimaire.
L'épée de Damoclès de la surenchère entretenue...
Cependant en ne faisant rien - serait-ce par la persuasion, en laissant planer comme si de rien n'était cette autre épée de Damoclès de la surenchère entretenue et de la psychose provoquée, les responsables passeraient à côté d'un élément important de la dernière vague de kidnappings. Tous leurs efforts actuels seraient comme un coup d'épée dans l'eau.
La lutte contre le kidnapping exige un certain dépassement de soi, et de la part de tous les secteurs quels qu'aient été nos différends passés. Comme on dit encore chez nous, un véritable " tête ensemble. " Et les médias en tête. Hier c'était hier. Aujourd'hui c'est un devoir civique auquel nul ne peut échapper. Ni par sottise ou inconscience, ni par intérêt. Les lois punissent la complicité de crime ainsi que la non-assistance à personne en danger, Voire mettre toute une population en danger par des déclarations ou des informations ou des considérations inconsidérées.
Cependant un Etat pusillanime - qui n'est pas capable de prendre en main la totalité de ses responsabilités, ne peut relever un tel défi.
Editorial, Mélodie 103.3 FM, Port-au-Prince
Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
EDITORIAL
PORT-AU-PRINCE, 7 Janvier 2007 - Le nombre d'actes de kidnapping rapportés semble avoir diminué considérablement ces derniers jours.
La fin décembre a été moins catastrophique que les semaines précédentes avaient laissé prévoir.
Aujourd'hui la Police nationale d'Haïti (PNH), ainsi que la mission onusienne (Minustah), ont annoncé tout un catalogue de dispositions afin de garantir que la reprise des classes ce lundi 8 janvier se déroule sans coup férir.
Tout le monde le souhaite de toutes ses forces.
Dans les banlieues résidentielles, au centre ville de la capitale Port-au-Prince, des policiers (dont ceux de la récente promotion de plus de 500 membres) sont à tous les coins de rue.
Ils arrêtent des véhicules, procèdent aussi à des fouilles individuelles sur des passants...
Toute la population est alertée et s'y prête volontiers. Le kidnapping est devenu la première préoccupation nationale.
Toutefois on ne peut s'empêcher de s'étonner d'une baisse aussi soudaine.
Ce ne sont pas les dernières dispositions qui auraient pu produire un effet aussi instantané.
Oui, la Police nationale rapporte tous les jours des arrestations de présumés kidnappeurs. Des armes, faux uniformes et autres équipements sont saisis.
La Minustah a entrepris l'opération de Bois Neuf (Cité Soleil) pour déloger le chef de gang Bélony soupçonné de kidnappings.
Si le Bélony en question court toujours, son fief a été en partie démoli, assure la mission internationale.
De plus, vendredi, un communiqué de la Minustah a annoncé l'arrestation d'un nommé " Zachari " qui serait " le chef de la cellule chargée des kidnappings au sein (du) gang " de Bélony.
Une décrispation de l'atmosphère...
Mais le vrai changement ressenti dans l'état d'esprit général doit être attribué aux jeunes agents de la Police nationale d'Haïti (PNH) dont la présence quasiment partout permet une décrispation de l'atmosphère. On se sent un peu plus encouragé à remettre le nez dehors.
Ils ont l'air sérieux, disciplinés, pas d'attirail trop lourd qui leur donnerait un air rébarbatif et l'œil aux aguets.
Qu'ils vous demandent d'arrêter votre voiture, on le fait en toute confiance.
Ou bien de procéder à la fouille de votre valise (ou plus rarement de soulever votre chemise, veston ou T-shirt), les gens n'y font aucune objection.
La population a confiance. Circonstances obligent, les responsables semblent gagner ce premier pari d'une police de proximité - la bataille contre le kidnapping ne pouvant être remportée, estiment-ils, sans la coopération de toute la nation.
Cependant là encore tout se fait à l'haïtienne...
On n'imagine pas dans un grand pays démocratique de pareilles dispositions mises en application sans l'existence d'une législation.
Ici pas même un décret.
De la suite dans les idées et le respect de tous...
Ceci témoigne qu'Haïti n'est pas un pays tellement difficile à gouverner si les dirigeants savent s'y prendre. Cette lutte actuelle contre le kidnapping devrait servir de leçon pour l'avenir, faire jurisprudence. Elle exige tout à la fois ténacité, imagination et suite dans les idées. Les gouvernants haïtiens sont plutôt connus pour agir au coup par coup, toujours en situation d'urgence. Toujours en retard sur l'événement.
Secundo, pour obtenir une franche collaboration de la population, il faut surtout un fonctionnement basé sur le respect de tous.
Tant que le gouvernement intérimaire (et ses supporters) s'acharnaient à ne voir de kidnappeurs que chez les partisans d'Aristide, cela ne pouvait marcher.
Ce n'est pas la peur, c'est la confiance qui est ici le secret de la réussite.
Comme d'un futur tremplin électoral...
Ce n'est pas le battage politique non plus qui y peut grand chose.
Les parlementaires doivent continuer à mettre la pression. Par le truchement des médias. Mais quant à se servir du kidnapping (ou plutôt de la peur - de la psychose du kidnapping) comme d'un futur tremplin électoral (et des médias dans ces cas là plutôt comme d'une caisse de résonance), alors faut demander à ceux-là s'ils s'attendent que les kidnappings durent jusqu'aux présidentielles de 2011 ?
Car il ne suffit pas de prévenir les actes de kidnapping, il faut veiller aussi à tout ce qui en alimente l'atmosphère, que dis-je, cette véritable psychose.
Nous sommes d'accord avec le numéro 1 de la Minustah, M. Edmond Mulet, que les médias doivent se garder de donner une tribune à des individus faisant la promotion du kidnapping, ou bien de l'impunité.
Le kidnapping est un mal national et, en sabotant toutes les activités productrices du pays, il devient la plus grande menace à la sécurité nationale.
Mais on peut en faire aussi la promotion d'une autre manière. Par ex. en sautant sur l'occasion pour l'utiliser à des fins politiques.
Il y va donc d'une certaine maîtrise de soi chez tous ceux qui sont appelés à des interventions publiques. Cela peut nous exiger dans certains cas de faire un accroc à la liberté d'expression.
Toutefois les opérations contre les gangs, menées par la PNH ou la Minustah, ne doivent pas moins être monitorées par la presse. Car d'un côté, elles peuvent donner lieu à de nombreux dérapages...
Nous sommes en pleine improvisation...
D'un autre côté, nous sommes en pleine improvisation, rien n'est encore légiféré : les fouilles individuelles, les opérations et arrestations opérées de nuit et sans mandat, l'auto-censure. Etc.
Combien de temps cela doit-il (ou peut-il) durer ainsi ? C'est une question importante...
D'autant qu'on a vu certains secteurs et non des moindres ne pas hésiter à tenter d'exploiter la situation pour faire avancer leur agenda politique.
L'acceptation de sacrifier momentanément une partie de ses droits constitutionnels ne peut aller de pair avec la politique politicienne, à plus forte raison quand celle-ci dissimule mal certains relents putschistes.
Car la privation des droits aboutit trop vite et trop facilement dans notre pays à la dictature.
On sait que de toujours les présidents haïtiens hésitent à proclamer l'état d'urgence, l'armée et la police (dont les pouvoirs augmentent considérablement dans ces circonstances-là) en ont profité plus d'une fois pour faire un coup d'état. Celui-ci finissant le plus souvent dans des massacres de la population civile.
On s'étonne que des parlementaires aient appelé si vite à des mesures d'exception... jusqu'au rétablissement de la peine de mort qui est abolie dans notre actuelle Constitution. Ceci avant d'avoir dressé le moindre inventaire des ressources disponibles dans les législations existantes.
Les " inconscients "...
Nous reprenons : nos parlementaires parlent comme si le kidnapping était là pour toujours.
Mais il n'y a pas que ceux-là qu'on appellerait les " inconscients " de la classe politique, ces derniers existent aussi dans nos médias.
Sur l'Internet c'est une véritable débauche. Ces dernières semaines, on vous aurait annoncé qu'un Airbus rempli de passagers a été kidnappé en Haïti que vous pourriez y croire.
C'est pour revenir à notre première interrogation : si le nombre de kidnappings a pu baisser de manière aussi dramatique ces derniers jours, force n'est-il pas de se demander, en dehors des nombreux efforts faits par les responsables du maintien de l'ordre, s'il n'y avait pas aussi une part de manipulation ?
C'est aux autorités d'investiguer (car n'oubliez pas que dans notre code judiciaire : complicité de crime vaut crime).
Manipulation qui peut revêtir diverses formes, aussi bien de contenu que de contenant, des articles ou des déclarations ou des citations ou des titres très à sensation - et parfois en accord avec le ou les intervenants (nationaux ou internationaux) pour faire monter artificiellement la pression. Mais ce n'est pas à nous d'en juger.
Nous ne sommes pas là pour monter la tête ni au gouvernement ni à aucun secteur de la population contre des confrères, comme cela s'est vu sous le dernier régime intérimaire.
L'épée de Damoclès de la surenchère entretenue...
Cependant en ne faisant rien - serait-ce par la persuasion, en laissant planer comme si de rien n'était cette autre épée de Damoclès de la surenchère entretenue et de la psychose provoquée, les responsables passeraient à côté d'un élément important de la dernière vague de kidnappings. Tous leurs efforts actuels seraient comme un coup d'épée dans l'eau.
La lutte contre le kidnapping exige un certain dépassement de soi, et de la part de tous les secteurs quels qu'aient été nos différends passés. Comme on dit encore chez nous, un véritable " tête ensemble. " Et les médias en tête. Hier c'était hier. Aujourd'hui c'est un devoir civique auquel nul ne peut échapper. Ni par sottise ou inconscience, ni par intérêt. Les lois punissent la complicité de crime ainsi que la non-assistance à personne en danger, Voire mettre toute une population en danger par des déclarations ou des informations ou des considérations inconsidérées.
Cependant un Etat pusillanime - qui n'est pas capable de prendre en main la totalité de ses responsabilités, ne peut relever un tel défi.
Editorial, Mélodie 103.3 FM, Port-au-Prince
gwotoro- Super Star
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Localisation : Canada
Date d'inscription : 20/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: le balancier
Re: H en M: Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
Il reste à mettre la main sur le chef du bandit connu et recherché à cité soleil.
Mon Ayiti- Star
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Nombre de messages : 272
Localisation : Chibougamo
Opinion politique : pèlin tet
Loisirs : Boxe
Date d'inscription : 21/08/2006
Re: H en M: Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
Beaucoup reste a faire.
Et pleins de choses sont inquietantes. La traque aux bandits meme si elle a rapporte des fruits n'a pas atteint bcp de personnes a vrai dire...
Le potentiel de nuisance est encore la et peut ressortir n'importe quand.
Et pleins de choses sont inquietantes. La traque aux bandits meme si elle a rapporte des fruits n'a pas atteint bcp de personnes a vrai dire...
Le potentiel de nuisance est encore la et peut ressortir n'importe quand.
gwotoro- Super Star
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Nombre de messages : 3974
Localisation : Canada
Date d'inscription : 20/08/2006
Feuille de personnage
Jeu de rôle: le balancier
Re: H en M: Le kidnapping en baisse mais beaucoup reste à faire
Les dieux de la guerre ont- ils enfin réalisé les torts qu'ils causaient au pays. Les tacticiens de cette strategie sont vraiment piètres.Pensaient-ils que la population allait descendre dans les rues pour demander le départ de Preval?
C'est vraiment reconfortant d'apprendre que les rapts ont cessé ou diminué.Esperons que les forces de l'ordre resteront en etat d'alerte jusqu'à l'arrestation de tous les criminels sans distinction.
C'est vraiment reconfortant d'apprendre que les rapts ont cessé ou diminué.Esperons que les forces de l'ordre resteront en etat d'alerte jusqu'à l'arrestation de tous les criminels sans distinction.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Localisation : USA
Loisirs : Lecture et Internet
Date d'inscription : 21/08/2006
Feuille de personnage
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