La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
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La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Rappel du premier message :
C'était un vendredi soir, il faisait un temps radieux et des amis m'ont invité à un cocktail créole. Bien confortable sur le siège arrière du véhicule, je m'installais comme un chat curieux sur le bord de la fenêtre pour voir les chattes en chaleur déambulant dans les rues de Pétion -ville.
Au premier abord, je tiens à dire aux lecteurs que je ne me suis jamais tapé une péripatéticienne. Ce qui veut dire que je n'ai jamais eu l'envie ni à Montréal ni ailleurs de payer pour ce que je peux avoir gratuitement. Rassurez-vous je n’ai jamais tapé de bouzins.
Les femmes au coin des rues
C'est écrit dans leur face. Elles se tiennent près des clubs ou des bars, une cigarette aux becs, elles lancent leur regard de chatte en chaleur aux automobilistes et aux hommes qu'elles considèrent tous comme des clients potentiels.
A chaque tombée du jour , elles font les trottoirs comme des lougarou ki bral manje ti moun dans les nuits noires d‘Haïti. A dire vrai ,j’ai toujours aimé regarder cette scène de filles de joie , même à Montréal. Les autos passaient devant les putes stationnées au coin des rues Saint -Laurent et Sainte Catherine pour ceux et celles qui connaissent un peu le centre -Ville de Montréal . Certains automobilistes jettent un regard couleur désir sur les Bouzins. Le véhicule s’immobilise . La pute s’approche et embarque dans l’auto. J’en ai observé la même scène en Haïti, à Pétion -ville.
En effet, j’aime regarder ce show . C‘est toujours la même scène, peu importe le pays. Les travailleuses du sexe s’assemblent et se ressemblent. Elles sont faciles à remarquer . Elles sont souvent trop voyantes, trop maquillées et trop insistantes. Certes, on peut bien dire que je suis un voyeur mais je suis surtout nourri par le désir de comprendre ce métier qui existe depuis que le monde est monde.
Nous poursuivions notre route et à une intersection, une de ces filles de joie a intercepté notre véhicule. Toujours curieux, j’ai demandé au chauffeur de s’arrêter.
-Je demande à elle s'il faut que je paye pour jaser avec elle pour quelques minutes ?
-Elle m'a répondu ; le temps c'est de l'argent monsieur.
-Combien tu veux pour quelques minutes mademoiselle ?
-Tu veux un petit bœuf monsieur me demande-t-elle ?
-Non pour te parler , lui dis-je ?
- Mademoiselle, je suis sérieux . Je veux juste te parler. Pas de sexe ni de sexualité. Juste te parler.
-Parler de quoi Monsieur ?
-Je veux que tu me parles de toi, de ton travail de sexe, etc.
Le temps passe et elle commence à s'impatienter. Tout compte fait, après quelques échanges, elle m'a trouvé ''bizarre'' et m’a dit carrément qu'elle perdait son temps avec moi. Elle a donc mis fin à notre conversation. Wou pose’m twop kessyon monsieur.
Sans délaisser du regard cette jeune femme, je demande au chauffeur de poursuivre notre route. Elle a dit Messieurs: Mwen ka manje nou tout ki lan machinn sa wi. Voici la phrase qui vient chercher l'homme en nous. Je résiste à sa provocation sexuelle. Je ne dis rien . Mes yeux rougis par l’effet du rhum Barbancourt peuvent laisser croire que je suis fatigué ou ...
Je résiste encore à cette tentation . Il faut résister mais le chauffeur, un haïtien natif natal succombe à la tentation. Misye excite..
Elle s'allume une autre cigarette, comme il faut et elle attend. Elle était certaine d’avoir fait un nouveau client. Une voiture de police passe, elle ne semble pas troublée. Ils se connaissent peut-être. On est en Haïti quand même...La police n'arrête pas les putes.
Finalement, je suis retourné à mon Hotel comme si de rien n'était puisqu'il ne s'est rien passé entre la péripatéticienne et moi.
C'était un vendredi soir, il faisait un temps radieux et des amis m'ont invité à un cocktail créole. Bien confortable sur le siège arrière du véhicule, je m'installais comme un chat curieux sur le bord de la fenêtre pour voir les chattes en chaleur déambulant dans les rues de Pétion -ville.
Au premier abord, je tiens à dire aux lecteurs que je ne me suis jamais tapé une péripatéticienne. Ce qui veut dire que je n'ai jamais eu l'envie ni à Montréal ni ailleurs de payer pour ce que je peux avoir gratuitement. Rassurez-vous je n’ai jamais tapé de bouzins.
Les femmes au coin des rues
C'est écrit dans leur face. Elles se tiennent près des clubs ou des bars, une cigarette aux becs, elles lancent leur regard de chatte en chaleur aux automobilistes et aux hommes qu'elles considèrent tous comme des clients potentiels.
A chaque tombée du jour , elles font les trottoirs comme des lougarou ki bral manje ti moun dans les nuits noires d‘Haïti. A dire vrai ,j’ai toujours aimé regarder cette scène de filles de joie , même à Montréal. Les autos passaient devant les putes stationnées au coin des rues Saint -Laurent et Sainte Catherine pour ceux et celles qui connaissent un peu le centre -Ville de Montréal . Certains automobilistes jettent un regard couleur désir sur les Bouzins. Le véhicule s’immobilise . La pute s’approche et embarque dans l’auto. J’en ai observé la même scène en Haïti, à Pétion -ville.
En effet, j’aime regarder ce show . C‘est toujours la même scène, peu importe le pays. Les travailleuses du sexe s’assemblent et se ressemblent. Elles sont faciles à remarquer . Elles sont souvent trop voyantes, trop maquillées et trop insistantes. Certes, on peut bien dire que je suis un voyeur mais je suis surtout nourri par le désir de comprendre ce métier qui existe depuis que le monde est monde.
Nous poursuivions notre route et à une intersection, une de ces filles de joie a intercepté notre véhicule. Toujours curieux, j’ai demandé au chauffeur de s’arrêter.
-Je demande à elle s'il faut que je paye pour jaser avec elle pour quelques minutes ?
-Elle m'a répondu ; le temps c'est de l'argent monsieur.
-Combien tu veux pour quelques minutes mademoiselle ?
-Tu veux un petit bœuf monsieur me demande-t-elle ?
-Non pour te parler , lui dis-je ?
- Mademoiselle, je suis sérieux . Je veux juste te parler. Pas de sexe ni de sexualité. Juste te parler.
-Parler de quoi Monsieur ?
-Je veux que tu me parles de toi, de ton travail de sexe, etc.
Le temps passe et elle commence à s'impatienter. Tout compte fait, après quelques échanges, elle m'a trouvé ''bizarre'' et m’a dit carrément qu'elle perdait son temps avec moi. Elle a donc mis fin à notre conversation. Wou pose’m twop kessyon monsieur.
Sans délaisser du regard cette jeune femme, je demande au chauffeur de poursuivre notre route. Elle a dit Messieurs: Mwen ka manje nou tout ki lan machinn sa wi. Voici la phrase qui vient chercher l'homme en nous. Je résiste à sa provocation sexuelle. Je ne dis rien . Mes yeux rougis par l’effet du rhum Barbancourt peuvent laisser croire que je suis fatigué ou ...
Je résiste encore à cette tentation . Il faut résister mais le chauffeur, un haïtien natif natal succombe à la tentation. Misye excite..
Elle s'allume une autre cigarette, comme il faut et elle attend. Elle était certaine d’avoir fait un nouveau client. Une voiture de police passe, elle ne semble pas troublée. Ils se connaissent peut-être. On est en Haïti quand même...La police n'arrête pas les putes.
Finalement, je suis retourné à mon Hotel comme si de rien n'était puisqu'il ne s'est rien passé entre la péripatéticienne et moi.
Dernière édition par Marc H le Mer 11 Mar 2015 - 21:17, édité 1 fois
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Marc,
Honnetement, entre amis, je peux vous dire que je n'ai pas apprécié cette histoire de "mes valeurs québécoises canadiennes".
Vous etes trop ancré dans la politique haitienne pour etre si attaché à une nation étrangère. Cela m'irrite personnellement.
Honnetement, entre amis, je peux vous dire que je n'ai pas apprécié cette histoire de "mes valeurs québécoises canadiennes".
Vous etes trop ancré dans la politique haitienne pour etre si attaché à une nation étrangère. Cela m'irrite personnellement.
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Sans Malice
C'est de la mauvaise foi car j'ai bien dit que je constate que vivre dans le fatra en haiti ne dérange personne . Lisez bien le mot : Personne dans mon texte avant de lancer des propos comme l'origine de la haine c'est la hjaine . Comme quoi je desteste les gens pauvres parce que j'etais un pauvre en haiti.
ma foi Dire qu'il y a des poubelles au marché croix des bossales est une haine contre les gens. J'ai mon voyage avec vous Sans malice. On entend de tout de votre bouche.
C'est de la mauvaise foi car j'ai bien dit que je constate que vivre dans le fatra en haiti ne dérange personne . Lisez bien le mot : Personne dans mon texte avant de lancer des propos comme l'origine de la haine c'est la hjaine . Comme quoi je desteste les gens pauvres parce que j'etais un pauvre en haiti.
ma foi Dire qu'il y a des poubelles au marché croix des bossales est une haine contre les gens. J'ai mon voyage avec vous Sans malice. On entend de tout de votre bouche.
Dernière édition par Marc le Lun 8 Juin 2009 - 0:07, édité 1 fois
Marc H- Super Star
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Dernière édition par lent=slow le Lun 7 Sep 2009 - 11:59, édité 2 fois
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
colocolo a écrit:Marc,
Honnetement, entre amis, je peux vous dire que je n'ai pas apprécié cette histoire de "mes valeurs québécoises canadiennes".
Vous etes trop ancré dans la politique haitienne pour etre si attaché à une nation étrangère. Cela m'irrite personnellement.
En ce qui me concerne j'apprecie votre commentaire sur mon commentaire. De plus, il faut analyser ce commentaire dans le contexte. Sans Malice a voulu par une personne interposée faire passer un message en m'insultant. Ce à quoi j'ai répondu que je n'ai pas tapé la pute parce que dans les valeurs acquises ici au Quebec, on nous apprend de nous proteger contrairement aux valeurs haitiennes. depi fanm lan bay bobotte li , nou mete pou li. On comprendra pourquoi que le taux de sida est aussi élevé en Haiti.
Je comprends, toutefois , que la manière de l'exprimer fait grincer les dents mais j'assume ce que j'ai Écrit.
Dernière édition par Marc le Lun 8 Juin 2009 - 9:31, édité 1 fois
Marc H- Super Star
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Rodlam Sans Malice a écrit:Se domaj ke lè nou panse ke lidè a, lè lale an Ayiti, se sou pwojè developman lale travay, e poutan se zafè seks kap regle.
Se domaj.
se mwen ki ap fè zigzani?ki donk ou pè pou marc pa revoke w?(lol)
Une derniere chose, j'ai une formation en intervention psychosociale autre que le commerce. A cet égard quand je vais en haiti, je rencontre les agents de la paix, les politiciens et j'estime tout à fait normal voir éducatif de parler de ces choses .
Marc H- Super Star
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
marc
Entendons-nous sur cette question de putes qui circulent dans les rues de petion-ville.Si tel est votre desir allez y ;avilissez votre pays;montrez comment les haitiens sont malpropres ;ils prefèrent vivre dans l'insalubrité au lieu d'habiter des maisons propres;ainsi vous inciterez vos amis canadiens à visiter le pays.
Cependant vous ne pouvez pas empecher que vos commentaires degoutent certains haitiens et haitiennes qui comprennent mieux la situation de leurs soeurs et frères.Oui nous devons parler des tares de notre societé,mais la facon dont vous le faites ressemble plutot à une condamnation des victimes.C'est la raison de mon objection.
Sim mete yon bobot nan mitan janm w epi mwen lage w yon kote san travay , san manje ,san edikatyon mwen pa ba w 2 jou pou ta vann li ak yon ti boss tou pou manje.kitem pran nenpot gran zouzounn yo mwen mete yo Darfour san manje epi ti boss ki ap distribiye sekou a di yo si w banm yon ti kout bobot map ba w manje wi.pou wè si yo ta prefere mouri grangou.se pa tout fanm ki ap genyen kouraj pou yo touye tet yo o lye yo vann li yon ti moso bobot.Genyen yon gran fanm yo rele maya Angelou ki avwe genyen yon epok afè l pat bon li te fè yon kout pwostitutyon tou.Petet yon sè w .yon kousinn w ta ka nan kondityon fanm sa yo tou.ou byen yon vye paran moun nan sid ou yo ta ka rantre Port-au-prince vinn chache la vi epi se nan site katon li blije rete paske ou pa vle ke yo peye yo plis pase 70 goud pa jou ki pa menm permet yo manje.se sak fè si yon fanm ka fè 200 goud pa jou nan pwostitutyon li pito fè li, e nou wè sa nan tout peyi ti fanm ki tap soti ak Spitzer nan new york la ki te abite nan bel apatman modern byen lizye li pa pi bon ke sa w wè Petion ville yo non ;li koute pi chè vre.Sekretè ki nan biro ki ap ba boss li bon ti jan poul konserve job li se yon fom de pwostitutyon tou.
Entendons-nous sur cette question de putes qui circulent dans les rues de petion-ville.Si tel est votre desir allez y ;avilissez votre pays;montrez comment les haitiens sont malpropres ;ils prefèrent vivre dans l'insalubrité au lieu d'habiter des maisons propres;ainsi vous inciterez vos amis canadiens à visiter le pays.
Cependant vous ne pouvez pas empecher que vos commentaires degoutent certains haitiens et haitiennes qui comprennent mieux la situation de leurs soeurs et frères.Oui nous devons parler des tares de notre societé,mais la facon dont vous le faites ressemble plutot à une condamnation des victimes.C'est la raison de mon objection.
Sim mete yon bobot nan mitan janm w epi mwen lage w yon kote san travay , san manje ,san edikatyon mwen pa ba w 2 jou pou ta vann li ak yon ti boss tou pou manje.kitem pran nenpot gran zouzounn yo mwen mete yo Darfour san manje epi ti boss ki ap distribiye sekou a di yo si w banm yon ti kout bobot map ba w manje wi.pou wè si yo ta prefere mouri grangou.se pa tout fanm ki ap genyen kouraj pou yo touye tet yo o lye yo vann li yon ti moso bobot.Genyen yon gran fanm yo rele maya Angelou ki avwe genyen yon epok afè l pat bon li te fè yon kout pwostitutyon tou.Petet yon sè w .yon kousinn w ta ka nan kondityon fanm sa yo tou.ou byen yon vye paran moun nan sid ou yo ta ka rantre Port-au-prince vinn chache la vi epi se nan site katon li blije rete paske ou pa vle ke yo peye yo plis pase 70 goud pa jou ki pa menm permet yo manje.se sak fè si yon fanm ka fè 200 goud pa jou nan pwostitutyon li pito fè li, e nou wè sa nan tout peyi ti fanm ki tap soti ak Spitzer nan new york la ki te abite nan bel apatman modern byen lizye li pa pi bon ke sa w wè Petion ville yo non ;li koute pi chè vre.Sekretè ki nan biro ki ap ba boss li bon ti jan poul konserve job li se yon fom de pwostitutyon tou.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Men yon ti fraz ke mwen te li lontan nan yon klasik franseuuu yo:
"Le réalisme se trouve à la fois dans le souci de la documentation exacte et dans une certaine qualité de la vision:à cet egard d'ailleurs l'etude du réalisme rejoint celle de la technique proprement dite."
"faubert a voulu que ce drame soit localisé de facon exacte dans le temps et dans l'espace;pour y parvenir ,il n'a pas menagé des efforts de documentation."Tiré de "Madame Bovary."
Quand on analyse un phenomène social il faut le faire dans le temps et dans l'espace pour bien instruire ses lecteurs.
"Le réalisme se trouve à la fois dans le souci de la documentation exacte et dans une certaine qualité de la vision:à cet egard d'ailleurs l'etude du réalisme rejoint celle de la technique proprement dite."
"faubert a voulu que ce drame soit localisé de facon exacte dans le temps et dans l'espace;pour y parvenir ,il n'a pas menagé des efforts de documentation."Tiré de "Madame Bovary."
Quand on analyse un phenomène social il faut le faire dans le temps et dans l'espace pour bien instruire ses lecteurs.
Rodlam Sans Malice- Super Star
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Re: La femme au coin de la rue ...à Pétion -Ville
Merci pour la citation sauf qu'il ne s'agit pas seulement d'analyser les problèmes de la société haitienne mais bien d'encourager les gens à participer et à trouver eux -même des solutions.
Il va sans dire on n'a pas les mêmes perceptions des problèmes d'Haiti. Dans cette perspective, la culture dans laquelle nous avons grandi influe sur notre perception sociale. De par notre connaissance , apprentissage et d'expérience (vecue), nous choisissons dans quelle situation nous deciderons d'interagir. C'est ce que je suis en train de faire en rédigeant un texte sur une observation faite lors de mon séjour en Haiti.
Si vous décidez d'aller en Haiti, je suis presque certain que ce genre de sujet ne vous interessera pas ? En somme , cette documentation est basée sur un fait divers que tout le monde pourrait aller vérifier à juste titre; des femmes au coin des rues ... C'est aussi simple que cela , dirait Madame Bovary ..lol
Il va sans dire on n'a pas les mêmes perceptions des problèmes d'Haiti. Dans cette perspective, la culture dans laquelle nous avons grandi influe sur notre perception sociale. De par notre connaissance , apprentissage et d'expérience (vecue), nous choisissons dans quelle situation nous deciderons d'interagir. C'est ce que je suis en train de faire en rédigeant un texte sur une observation faite lors de mon séjour en Haiti.
Si vous décidez d'aller en Haiti, je suis presque certain que ce genre de sujet ne vous interessera pas ? En somme , cette documentation est basée sur un fait divers que tout le monde pourrait aller vérifier à juste titre; des femmes au coin des rues ... C'est aussi simple que cela , dirait Madame Bovary ..lol
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